‎Edición original‎

‎Grandes constructions faciles n°44 : Gare américaine à Maryland‎

‎Pellerin, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm.‎

‎Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Bel état, couleurs très bien conservées.Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 26628

‎Grandes constructions n°19 : Coffret‎

‎Pellerin, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm.‎

‎Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Un infime manque angulaire, sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 26644

‎Grandeur de Paul Claudel‎

‎Numéro spécial sur Claudel Broché Médiocre nrf Paris 1936 1 volume in-8°‎

‎édition originale‎

Referencia librero : 8767

‎Groupe des 13‎

‎Catalogue de l'exposition tenue à Avignon du 3 au 18 mars 1951. Broché Très bon Avignon 1951‎

‎édition originale‎

Referencia librero : 12377

‎Groupe des 13‎

‎Catalogue de l'exposition tenue à Avignon du 13 au 28 octobre 1945. Invitation pour le vernissage et catalogue. Broché Très bon Avignon 1945‎

‎édition originale‎

Referencia librero : 12374

‎Groupe des 13‎

‎Catalogue de l'exposition tenue à Avignon du 6 au 22 juin 1952. Broché Très bon Avignon 1952‎

‎édition originale‎

Referencia librero : 12378

‎Groupements (genre Constructions) n°1 : Le Village‎

‎Pellerin, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm.‎

‎Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Légères rousseurs, sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 26550

‎Groupements (genre Constructions) n°3 : Chasse sous Louis XIV‎

‎Pellerin, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm.‎

‎Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 26553

‎Hamburgisches Magazin, oder gesammlete Schriften zum Unterricht und Vergnügen aus der Naturforschung und den angenehmen Wissenschaften überhaupt. BAND 20, Stücke 1-6 in 1 Bd. [Hrsg. von Abraham Gotthelf Kästner, Johann August Unzer u. a.].‎

‎Hamburg, Georg Christian Grund / Leipzig, A. H. Holle, 1757/1758. 672 S., 8 Bl. Register. Mit 1 gest. Titelvignette, 5 Textholzschnitten, 1 Textkupfer (Schleifen des Diamants) u. 1 gefalt. Kupfertafel (Beschreibung e. Winkelmessers). 15 cm. HLdr. d. Zt. m. RSch. mit marmor. Schnitt.‎

‎Erste Ausgabe. Rapp S. 142, La 10; Kirchner I, 3197; Diesch 128. - U.a. Nierenstein. Menschlicher Blutkreislauf, Muttermähler (Muttermal). Über den Straußvogel. Hülfsmittel f.d. Ackerbau und Weinbau in Guienne (Guyenne, Aquitanien). Schneiden von Edelsteinen. Gewißheit der Todeszeichen. Gebrauch gefärbter Gläser bei Mondfinsternis. Oryctologie. Zusammenhang von Witterung und auftretenden Krankheiten in Danzig 1739-1754. Zucht von Bäumen für Zimmerholz. Fälle von von selbst entstandener Wasserscheuheit (ohne Biß eines tollwütige Tieres). Wirkung v. Sonnenhitze in Bienenstöcken. Mikroskopische und physikalische Beobachtungen. Zur Stadt Elbing in Ostpreußen u.a.m. - Zu dem Mathematiker u. Dichter A. G. Kästner (auch: Kaestner, 1719-1800) siehe ADB 15, S. 439-451; NDB 10, S. 734 ff.; zu dem Mediziner J. A. Unzer siehe ADB 39, S. 331; Schröder 4109. - Einband gering wurmstichig. Gutes, sauberes Exemplar‎

Referencia librero : 91092

‎Hamburgisches Magazin, oder gesammlete Schriften zum Unterricht und Vergnügen aus der Naturforschung und den angenehmen Wissenschaften überhaupt. BAND 1, Stücke 1-6 in 1 Bd. [Hrsg. von Abraham Gotthelf Kästner, Johann August Unzer u. a.].‎

‎Hamburg, Georg Christian Grund, 1748 [recte: 1747]. [4 Bll]., 487 S., 196 S., [7 Bll.]. Mit 1 gest. Titelvignette sowie 3 Kupfertafeln (Türkisgruben in Frankreich) u. 1 Textkupfer (Empfängnis außerhalb der Bärmutter (Gebärmutter). 18 cm. Geprägt. HLdr. d. Zt. mit marmor. Schnitt.‎

‎Erste Ausgabe. Kirchner I, 3197; Diesch 128; Rapp S. 142, La 10. - Aus dem Inhalt: Versteinerungen aus dem Wssser. Über die Spinnen. Haltbarmachung von Früchten. Abschaffung von Latein als Gelehrtensprache. Vermutung einer Eierstockschwangerschaft einer Frau im Hamburger Pesthof. Zucht von Seidenwürmern. Reanimation durch Mund-zu-Mund-Beatmung. Über das Aufsteigen der Dünste. Ferngläser. Von den Farben der Menschen in versch. Weltgegenden. Auszug aus Paul Rollis Bericht über den Brandtod von Cornelia Zangheri Bandi. Über den natürlichen Trieb der Tiere. Schwimmen der Tiere. Magnetismus. Elektrizität. Entdeckungen durch Vergrößerungsgläser. Zufällige Farben. In der Erde gelegenen gr. Elephantenzahn. Mathematik der Glücksspiele. Die Milz. Masse und Dichte. Türkisgruben in Frankreich. Vom Färben der Zeuge. Englische Ameisen. "Das seltsame Betragen der Menschen bey einem Gewitter" u.v.m. Mit Register. - Die populärwissenschaftliche Monatsschrift war eine der bedeutendsten Zeitschriften der Aufklärung u. diente der Verbreitung neuer Erkenntnisse, Verfahren u. Theorien aus den Gebieten der Medizin, Naturlehre, Technologie, Anthropologie, Ethnologie, Geschichts- u. Kulturwissenschaften, Ökonomie u. allen damit verbundenen Rand- u. Hilfswissenschaften. Das Hamburgische Magazin führte den Begriff des "Magazins" als einer Rüstkammer des Wissens in die Publizistik ein. - Zu dem Mathematiker u. Dichter A. G. Kästner (auch: Kaestner, 1719-1800) siehe ADB 15, S. 439-451; NDB 10, S. 734 ff.; zu dem Mediziner J. A. Unzer siehe ADB 39, S. 331; Schröder 4109. - Deckel beschabt, Ledergelenk sowie ein Papierlage mit kurzem Wurmgang; eine Lage mit durchgehendem Braunfleck, sonst gut‎

Referencia librero : 91084

‎Henry GOLTIUS. Peintre et graveur.‎

‎Très beau portrait, peut-être pour la suite d'Odieuvre. en feuille Très bon XVIIIè. 17,2 x 12,3 cm.‎

‎édition originale‎

Referencia librero : 8083

‎HISTOIRE DE Ptolémée AULETES, Dissertation sur une pierre gravée antique du cabinet de Madame‎

‎Édition originale. - In-12, 465 pp. 2 parties en 1 volume. - Veau brun, dos a nerfs, pièce de titre marocain rouge, titre doré. Ouvrage illustré de nombreuses vignettes sur cuivre dans le texte. Cioranescu, 10321. Page de garde décollée, coins émoussés. Manque à la coiffe, restauration au dos, 14 pages en début d'ouvrage sont récolées (déchirure sans gravitée en haut de page) travail professionnel quelques rares rousseure). Paris : P. Auboüin et C. Clouzier.‎

‎Hors frais d'envoi. édition originale.Vignettes gravées dans le texte. Plein veau, titre sur pièce‎

Referencia librero : HistoiredePtolémée-1.

‎Hommage à Claude MONET‎

‎Exposition au Grand Palais à Paris en 1980. Broché sous couverture illustrée Très bon Paris Réunion des Musées Nationaux 1980 1 fort volume in-8°‎

‎édition originale‎

Referencia librero : 12175

‎Hommage à Michel Feuillas‎

‎Extrait des Mémoires de l'Académie de Vaucluse Broché Très bon Avignon Académie de Vaucluse 1989 1 plaquette in-8°‎

‎édition originale‎

Referencia librero : 14785

‎Il Ciarlatano. Costruzione n°70‎

‎s.d. (Circa 1890), 37 x 49 cm, une feuille.‎

‎Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Deux déchirures en marge de droite avec atteinte à l'estampe, léger manque en marge de gauche, coins pliés. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 35816

‎Infanterie de Ligne. Grenadiers.‎

‎N° 97 de la Galerie militaire. Armée française (1840). Rehaussée et gommée. en feuille Très bon Paris Martinet XIXè 30 x 23 cm‎

‎édition originale‎

Referencia librero : 14756

‎Jahrbuch der bildenden Kunst 1905/06. JG. 4. Begründet durch Max Martersteig unter Mitwirkung von Woldemar von Seidlitz. Hrsg. von Wilhelm Schäfer.‎

‎Düsseldorf, Fischer & Franke, 1905. VII, 128 S., 26 Bll. (= 150 Sp.), XXIV S. Anzeigen in Rot-Schwarz. Mit Jugendstil-Buchschmuck u. zahlr. Abb. u. Illustr. im Text u. auf Taf. 4to (30 cm). OLn. mit goldgepr. Deckelillustr. von Emil Doepler d.J. u. goldgepr. Deckel- u. Rtitel.‎

‎Erste Ausgabe für Wilhelm Schäfer (WG 2, 15). - Text-Beiträge von Ludwig Hevesi, Hans Wolfgang Singer, Max Semrau, Wilhelm Schäfer, Erich Haenel, Ernst Schur, Wilhelm Niemeyer u.a.; Abbildungen nach Gustav Schönleber, Hans Thoma, Ferdinand Hodler, Leopold von Kalckreuth, Thomas Theodor Heine, Emil Rudolf Weiß, Adolf Menzel u.a. Mit Verzeichnissen von Museen, Galerien, Akademien, Ausstellungen, Kunst-Zeitschriften u. -Verlagen, Werkstätten u.a.m. im Anhang. - Leicht berieben, kl. Notiz aV‎

Referencia librero : 81459

‎Jean de La Fontaine‎

‎Catalogue de l'exposition à la B. N. en 1995 et 1996. Important catalogue avec de nombreuses reproductions en couleurs. Cartonnage d'éditeur sous jaquette illustrée. Très bon Paris B.N.F. 1995 1 volume in-4°‎

‎édition originale‎

Referencia librero : 14438

‎Jean Vilar par lui-même‎

‎Très important catalogue, richement illustré. 1/2 chagrin lilas à coins, dos à nerfs orné, filets dorés mors et coins, couvertures conservées. Avignon Maison Jean Vilar 1991 1 volume in-4°‎

‎édition originale‎

Referencia librero : 4618

‎Jonathan Meese. 23. Januar 1970. - 23. Januar 2008.‎

‎Berlin, Contemporary Fine Arts, 2008. 65 : 48 cm 12 leaves on stiff cardboard with coloured illustrations throughout. Original editors boards.‎

‎The legendary publication of Jonathan Meese's work, a worldwide know contemporary artist. - English translation below. Contemporary Fine Arts zeigt anlässlich des Doppelgeburtstags von Georg Baselitz und Jonathan Meese neue Arbeiten des Künstlers. "Es sollte sich noch viel Seltsames ereignen?" Mit diesem lapidaren Satz beendete Jonathan Meese vor etwa zehn Jahren eine seiner zahlreichen kuriosen Kurzgeschichten. Und er hatte Recht, wenn auch die Geschichte ? seine Geschichte ? einen etwas anderen, aber nicht weniger erstaunlichen Verlauf nahm, als die seiner einsamen Helden. Meese, vor zehn Jahren von der Galerie Contemporary Fine Arts entdeckt, zählt seit seiner ersten, inzwischen legendären Ausstellung, zu den erfolgreichsten zeitgenössischen Künstlern weltweit. - Dem Gebot des "rituallosen Spiels" folgend, bewegt Jonathan Meese sich mit schlafwandlerischer Sicherheit zwischen allen Medien, die sich ihm darbieten: in den Anfängen vor allem durch seine raumgreifenden Collagen bekannt geworden, profiliert sich Meese in den letzten Jahren vorwiegend in den klassischen Feldern der Zeichnung, Malerei, und Skulptur. In Anlehnung an die berühmte Gangster-Komödie "Fra Diavolo" (1933) mit Laurel und Hardy in der Hauptrolle ist jetzt eine Serie Selbstporträts entstanden, denen offensichtlich der Teufel Pate stand. "Alle Dämonen sind der Kunst untergeordnet", sagt Meese und malt sich, den bekennenden Kunst-Diener, zehn Mal als schwarz-roten Diábolos ? was aus dem Griechischen übersetzt soviel wie Durcheinanderwerfer, Verwirrer bedeutet. Tatsächlich wirkt Meeses Werk in seiner gestalterischen Vielfalt und inhaltlichen Fülle verwirrend. Insbesondere das malerische Werk hat sich in den letzten Jahren allerdings zunehmend von einer vielschichtig-flächendeckenden hin zu einer reduziert-präzisen Bildsprache entwickelt. Das Verfahren der Reduktion basiert in erster Linie auf dem Prinzip der Geschwindigkeit, dem daraus resultierenden partiellen Freilassen der Leinwand und der Wiederholung bestimmter Grundformen, anhand derer der Künstler malerische Fragen von Linie und Farbe, Raum und Fläche, Positiv und Negativ immer neu durchspielt. Dabei provoziert Meese eine regelrechte Kollision paradoxer Elemente, schafft es mit ungebrochener Dynamik, in unmittelbarer Nähe die Farbe lasierend und pastos, kraftvoll und flächig sowie dekorativ und kleinteilig nebeneinander aufzusetzen. Die Widersprüchlichkeit in Folge der Negation von Selbstbezüglichkeit ? dieses Paradoxon ist wahrscheinlich die treffendste Formel für Meeses nach Autonomie der Kunst strebende Position. Denn letztlich geht es nicht um das Künstlerego, das sich in der Kunst verwirklicht, sondern um die Utopie der vollständigen Loslösung beider Sphären. Die Kunst wird Staat machen, eine neue liebevolle Diktatur führen, das steht für Jonathan Meese außer Frage. Bis es soweit ist, arbeitet der Künstler an den Insignien des neuen Staates. Erstmals bei Contemporary Fine Arts zu sehen ist die bisher monumentalste Skulptur Meeses: ein dreiflügliger, janusköpfiger Adler, den er jüngst aus dem Ei der Kunst schlüpfen ließ. Über dem Grundriss des Kreises angelegt, stellt diese Skulptur seinen Idealentwurf des hieratischen Tiers dar, an dem sich alle Charakteristika seiner Kunst, das Prinzip des Performativen, der Collage und die endlos mäandernde Linie, sowie die Beherrschung der Fläche beispielhaft vereinen. Chipsdosen, Küchenbretter, Kinderschmuck ? Meese hat hier einige Preziosen für eine neue Welt eingearbeitet. Gehütet werden sie von vier grimmig dunklen Wächterfiguren. On the occasion of the shared birthdays of Georg Baselitz and Jonathan Meese, Contemporary Fine Arts is showing new works by the artist. ?A lot of remarkable things were going to happen?? With this laconic sentence, Jonathan Meese closed one of his numerous odd short stories ten years ago. And he was right, even if the story ? his story ? took a rather different course, though not a less remarkable one, than that of his lonely heroes. Ever since his first, now legendary exhibition, Meese, discovered ten years ago by the gallery Contemporary Fine Arts, has been one of the most successful contemporary artists around the globe. To celebrate this anniversary, new paintings and sculptures are being shown by the gallery. Following the law of the ?game without rituals?, Jonathan Meese, with a sleepwalker?s secure step, moves between all the media that present themselves to him: having become initially known mainly for his expansive collages, in recent years Meese distinguished himself mainly in the classic areas of drawing, painting, and sculpture. Inspired by the famous gangster-comedy Fra Diavolo (1933) with Laurel and Hardy playing the leading parts, he now made a series of self-portraits that obviously have the devil as their godfather. ?All demons are subjected to art?, says Meese and paints himself, the self-proclaimed art-servant, ten times as a black and red Diábolos, which translated from Greek means something like ?he who mixes things, the confuser?. Indeed, in its great variety and richness in terms of content, Meese?s work does seem confusing. Especially his painting has developed from a multilayered and expansive to a reduced, precise visual vocabulary. The process of reduction is based above all on the principle of speed, thus leaving the canvas partially empty, and the repetition of certain basic forms with which the artist keeps exploring questions of painting: about line and colour, space and surface, positive and negative. In so doing, Meese provokes a downright collision of paradox elements, and with great dynamism manages to apply the paint side by side as a glaze and impasto, with broad strokes as well as decoratively, with delicate, small strokes. The contradiction as a consequence of self-referentiality ? this paradox is probably the most fitting articulation of Meese?s position, which strives for the autonomy of art. Because finally the point is not the artist?s ego that realises itself in art, but rather the utopia of a complete dissociation of the two spheres. Art will enter the body politic and conduct a new loving dictatorship, that is quite clear to Jonathan Meese. Until that point is here, the artist is working on the insignia of the new state. For the first time, Contemporary Fine Arts is showing the most monumental sculpture Meese has produced so far: a three-winged, Janus-faced eagle that he recently hatched from the egg of art. Designed around a circle, this sculpture represents his ideal of a hieratic animal that unifies all the characteristics of his art: the principle of the performative, of collage and the endlessly meandering line, as well as mastery of the area, in an exemplary fashion. Cans of crisps, kitchen boards, children?s jewellery ? Meese here integrated some of the treasuries for a new world. They are watched by four grimly dark guard figures.‎

Referencia librero : 19712AB

‎L'Affiche Rouge - Tract de propagande antisémite et anticommuniste "Des Libérateurs ? La Libération par l'armée du crime !" - Joint : L'armée du crime‎

‎S.n., s.l. 1944, 20,5x26,5cm & 22x30cm, une feuille + une brochure agrafée.‎

‎| "Des Libérateurs ? La Libération par l'armée du crime !" | Rare exemplaire de ce tract de propagande éditée par l'Occupant nazi et devenula plus célèbre image de la Résistance. Cette réduction de la célèbre affiche rouge au recto, comporte, au verso, un paragraphe de commentaire fustigeant «l'Armée du crime contre la France». On lit au début de ce tract une dénonciation du «rêve mondial du complot juif», et que «si des Français sabotent, pillent et tuent (...) ce sont toujours des juifs qui les inspirent». Un discret pli horizontal, sinon superbe état pour un document à vocation éphémère. Nous joignons la rare brochure intitulée "L'armée du crime" sous le format d'un journal illustré de photographies de 14 pages. Une trace de pliure horizontale. Bel exemplaire. *** «Au fil des années, l'image de l'Affiche rouge s'est progressivement gravée dans la mémoire des Français. On ne se lasse pas de la regarder, de la revoir, de temps à autre, dans un journal, dans un document télévisé... C'est avec la même émotion que l'on écoute le poème d'Aragon avec la voix de Léo Ferré. Car il émane de cette affiche une force que ses auteurs ne soupçonnaient pas.» (Adam Rayski) Par un formidable renversement de son but initial, l'affiche rouge est devenue, dès son apparition sur « les murs de nos villes », le symbole du courage des résistants, de leurs exploits et de la solidarité internationale des combattants de la liberté. Tout semblait étudié pour provoquer «un effet de peur sur les passants»: la couleur de «l'affiche qui semblait une tache de sang», les portraits de Manouchian et de ses hommes, «Noirs de barbe et de nuit, hirsutes menaçants», les noms étranges «difficiles» «à prononcer», le calcul des «crimes» de chacun et les preuves photographiques sous un chapelet de visages gris pris en entonnoir. Et pourtant, lorsqu'Aragon écrit 11 ans plus tard «Mais à l'heure du couvre-feu des doigts errants avaient écrit sous vos photos: morts pour la France», il ne s'agit pas d'une simple licence poétique. Comme le souligne sur son site le Musée de l'histoire de l'immigration: «Il est certain qu'ici et là des mains anonymes ont déposé des fleurs au pied de ces affiches ou ont collé dessus des bandeaux où l'on pouvait lire : "Des martyrs", ou "Oui ! L'armée de la Résistance".» C'est également ce qu'affirme la revue clandestine Les Lettres Françaises publiée le mois suivant comme le tract diffusé par le Mouvement national contre le racisme, une des organisations de résistance issue de la section juive de la MOI dirigée par Adam Rayski: «Très haute et dramatique avec ses dix médaillons sur un fond rouge-sang. C'est l'affiche « Des libérateurs ? » qui représente des « terroristes » juifs : un hongrois, un espagnol, un arménien, un italien, des polonais. La foule se presse silencieuse. Au-dessus de chacun de leurs portraits, - et pour nous faire horreur sans doute ? - on a noté leurs exploits. L'un d'eux a eu à son actif 56 déraillements, 150 morts et 600 blessés. - Beau tableau de chasse, dit quelqu'un. Une femme confie à son compagnon : - Ils ne sont pas parvenus à leur faire de sales gueules. Et c'était vrai. Malgré les passages à tabac, malgré la réclusion et la faim. Les passants contemplent longuement ces visages énergiques aux larges fronts. Longuement et gravement comme on salue des amis morts. Dans les yeux aucune curiosité malsaine, mais de l'admiration, de la sympathie, comme s'ils étaient des nôtres. Et en fait ils étaient des nôtres puisqu'ils luttaient parmi des milliers des nôtres pour notre Patrie, parce qu'elle est aussi la Patrie de la liberté. Sur l'une des affiches, la nuit, quelqu'un a écrit au charbon en lettres capitales ce seul mot : MARTYRS. C'est l'hommage de Paris à ceux qui se sont battus pour la liberté.» Ce cuisant échec de la propagande nazie et collaborationniste est d'ailleurs confirmé par un rapport interne des Renseignements Généraux qui, très rapidement prennent acte de la réaction inattendue de la population. Imprimée en 15.000 exemplaires placardés dans les villes et villages de France entre le 22 et le 24 février 1944, l'affiche devait être le point d'orgue d'une violente tentative médiatique de décrédibilisation des groupes résistants de plus en plus efficaces et qui allaient bientôt se fédérer en Forces Françaises de l'Intérieur. Le "Centre d'Etude Antibolchévique"à qui est confié la réalisation du placard,réutilise la graphie et les slogans des précédentes affiches mais tente d'innover en utilisant pour la première fois la photographie. Mais en substituant les habituelles caricatures stigmatisantes par les portraits des véritables protagonistes, l'affiche met un visage sur la Résistance, par définition secrète, et offre au peuple des icônes héroïques dont les nationalités étrangères accentuent encore le caractère universel du combat pour la Liberté. C'est d'ailleurs cette Liberté qui domine l'espace visuel de l'affiche, écrasant le «crime» de sa double présence en blanc et rouge à travers les majestueux caractères utilisés pour les mots «libérateurs» et «libération». Même la mention d'«armée du crime» devient éminemment positive dans cette composition. Dix jeunes gens, au visages lumineux et aux regards toujours déterminés devant ce qui ressemble à leur mur d'exécution, héritent du qualificatif d'«armée»capable de «libérer» le pays de la prétendue invincible force hitlérienne. Le rouge de l'affiche, choisipour évoquer les crimes autant que le Communisme et ainsi provoquer le rejet est rayé de larges traits noirs qui l'associent plus au drapeau nazi qu'à la focille russe. L'immense V ainsi dessiné voulait moquer le signe de ralliement des résistants. Il évoque au contraire irrésistiblement un morceau de croix gammée renversée et transformée en une proclamation de Victoire. L'entonnoir sanglant qui devait paraitre se refermer comme une nasse sur les "terroristes", se mue en calice consacrant ces héros de l'ombreoccupant le haut de l'affiche, cependant qu'en pied, la pointe noire jette l'opprobre sur l'occupant en déroute. Il est difficile d'imaginer une plus grande contre-efficacité médiatique alliée à une telle puissance évocatrice. Immédiatement perçue par la population comme le symbole du renversement des forces et surtout d'une réelle contribution française à l'avancée des troupes alliées, l'affiche placardée sur tous les murs de France, déclinée en tracts et en brochures, offre l'image d'une Résistance tentaculaire, et contribue à instituer l'idée d'une France majoritairement combattante, gaulliste et anti-pétainiste. Affiches caviardées, tracts délaissés, brochures détruites,il reste aujourd'hui très peu d'exemplaires de ces documents qui marquèrent pourtant un tournant majeur de la seconde guerre. À l'instar du J'accuse de Zola, la piètre qualité des papiers et la vocation éphémère de ces documents, pourtant diffusés engrand nombre,ne les vouaient à entrer dans l'Histoire, et la préservation des quelques exemplaires qui nous sont parvenus sont l'oeuvre précieusede "bibliophiles patriotes", comme les nommait Vercors. Car plus encore que des pièces historiques majeures, ces documents constituent surtout une des rares sources d'informations sur ce crime. Le procès des 23 fut expédié en une journée par le tribunal militaire allemand installé à l'Hôtel Continental rue de Rivoli le 19 février. Le 21 février, ils n'étaient en fait que 22 «quand les fusils fleurirent» sur le Mont-Valérien, Golda (Olga) Bancic sera, elle, décapitée le 10 mai à Stuttgart. Étrangement, et contrairement aux affaires précédentes, on ne sait presque rien d'autre du procès du «Groupe Manouchian» dont il ne subsiste en archive que le verdict et les célèbres lettres des condamnés à leur famille. Celles-ci contribueront à forger notre imaginaire de la Résistance: «Il n'est rien de plus beau que de mourir pour la France.» (Georges Cloarec, 20 ans); «vous avez toujours été pour moi le Paradis, c'est pourquoi j'ai sacrifié ma vie» (Rino DellaNegra, 20 ans); «Vous ne devez pas vous attrister mais être gais au contraire, car pour vous viennent les lendemains qui chantent.» (Thomas Elek, 19 ans); «Je n'ai pas peur de mourir. Je trouve quand même que c'est un peu trop tôt. Comme cadeau d'anniversaire, c'est réussi, n'est-ce pas ? (...) Vive la France.» (Léon Goldberg, 20 ans) «Je meurs pour la Liberté.» (Stanislas Kubacki, 35 ans) «Bonheur à ceux qui vont nous survivre et goûter la douceur de la Liberté et de la Paix de demain.» (Missak Manouchian, 37 ans); «J'aime tout le monde et vive la vie.» (Marcel Rayman, 20 ans); «Bientôt la vie sera plus belle.» (Robert Witchitz, 19 ans) De fait, c'est paradoxalement uniquement grâce à l'affiche et plus encore au tract et à la brochureL'armée du crimeque, à défaut d'autres sources, nous sont parvenus quelques éléments de ce procès secret. La presse collaborationniste ne reproduit que les « notes » diffusées par l'Office français d'information (OFI) sous le contrôle de Vichy qui lui-même ne semble guère plus informé: «On publiera à la suite des dépêches sur la répression du banditisme et du terrorisme, les informations sur le procès des terroristes qui se déroule actuellement à Paris.» (Consigne n° 1460, dimanche 20 février). Ainsi, l'affiche, véritable avis d'exécution qui ne dit pas son nom et souhaite profaner la mémoire des morts par des propos xénophobes et antisémites, est devenue a contrario l'ultime et indélébile trace de la vie héroïque des «vingt et trois étrangers et nos frères pourtant», des jeunes visages de ces «vingt et trois amoureux de vivre à en mourir» et des noms désormais panthéonisés des 23 combattants du Groupe Manouchian «qui criaient la France en s'abattant»! - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

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‎L'après-dinée des Dames de la Juifverie, conversation comique, par le Sieur de Nonnantès‎

‎Nantes, N, Verger, 1722 - EDITION ORIGINALE - In-12 - Cartonnage de l'époque, dos cassé - 77 pages = Privilège (4) - toutes tranches rouges - Envoi rapide et soigné .‎

‎L'ermitage N°1 de la treizième année‎

‎L'Ermitage, Paris Janvier 1902, 14,5x19cm, broché.‎

‎Edition originale. Revue mensuelle de littérature fondée en 1890 par Henri Mazel et qui tint une place importante dans le mouvement symboliste. Valéry, Boislesve, Gide, Claudel, de Gourmont, Viélé-Griffin entre autres y contribuèrent. Au sommaire de ce numéro, Ballades françaises par Paul Fort, des chroniques de Charles-Louis Philippe ou Henri Ghéon, et une contribution d'Eugène Rouart. Une trace de pliure transversale sur le premier plat, agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

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‎L'ermitage N°7 de la dixième année‎

‎L'Ermitage, Paris Juillet 1899, 14x19cm, broché.‎

‎Edition originale. Revue mensuelle de littérature fondée en 1890 par Henri Mazel et qui tint une place importante dans le mouvement symboliste. Valéry, Boislesve, Gide, Claudel, de Gourmont, Viélé-Griffin entre autres y contribuèrent. Dans ce numéro, 'la jeune fille nue' par Francis Jammes, un extrait de roman d'Henri Ghéon, un conte de Viélé-Griffin, et 'Bobok' de Dostoievsky. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

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‎L'heure nouvelle N°1‎

‎Editions du Sagittaire, Paris 1945, 15x22,5cm, broché.‎

‎Editions originales. Contributions de Arthur Adamov, Roger Gilbert-Leconte, Jacques Prévert, Antonin Artaud, Armen Lubin. Traductions de textes de Franz Kafka. Illustrations de Picasso, Gruber, Garbell, Bolin. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

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