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‎(VAN VELDE Bram) TRIVIER Marc‎

‎Bram Van Velde. Photographie Originale‎

‎Par l'auteur, s.l. 1983, 42x42cm sur papier Ilford 60x50cm, 1 planche photographique.‎

‎Portrait photographique original en noir et blanc de Bram Van Velde réalisé par Marc Trivier. Portrait d'artiste, d'anonyme, de fou, d'abattoir ou d'arbre : Marc Trivier a photographié chaque sujet avec la même intensité interrogative. Toutes réalisées dans le même format carré, élémentaire et clos, sans retouche ni recadrage, les photographies semblent moins mettre en scène un sujet - célèbre ou inconnu, élu ou déchu, vivant ou mort - qu'interroger une présence. «Ce qui m'intéressait, ce n'était pas de photographier simplement un corps ou un visage, mais cette situation particulière qui est quelqu'un en train de faire la photo de quelqu'un d'autre.» Trivier dévêt l'oeuvre de ses effets et dévoile l'énigmatique nudité du corps photographique. "Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude. " (Luc Desbenoit in Télérama, le 05/03/2011 à l'occasion de la rétrospective Marc Trivier à la Maison Européenne de la Photographie). Tirage argentique non signé, comme la plupart des oeuvres de Trivier. Epreuve unique tirée par l'artiste.Traces de pliure et angulaires, quelques pâles taches marginales en pied sans atteinte à la photo. Rarissime photographie en très grand format d'un des photographes contemporains les plus importants. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 35394

‎(VALLOTTON Félix) MIRBEAU Octave‎

‎Exposition rétrospective d'oeuvres inédites de Félix Vallotton (1865-1925)‎

‎Jacques Rodrigues-Henriques, Paris 1928, 12,5x16cm, agrafé.‎

‎Edition originale de cette plaquette d'exposition. Préface de Octave Mirbeau, premier plat illustré d'un portrait photographique en buste de F. Vallotton sur laquelle figure la signature manuscrite du galeriste J. Rodrigues-Henriques. Iconographie. Petites taches sans gravité sur le premier plat. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 21646

‎(VAUGEOIS & BINOT ) GRANGIER Jean‎

‎Le Parfum nouveau. Robes et manteau doublé, en tissus de Vaugeois et Binot (pl. 16, La Gazette du Bon ton, 1924-1925 n°2)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1924-1925, 18x24cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 55140

‎(VALERY Paul) COLLECTIF‎

‎Paul Valéry vivant‎

‎Les cahiers du sud, Marseille 1946, 14x22,5cm, broché.‎

‎Edition originale sur papier courant. Nombreuses contributions dont celles de A. Gide, L.P. Fargue, J. Bousquet, J. Supervielle, V. Ocampo, A. Monnier, R. Caillois, H. Bosco, R.M.L Rilke... Iconographie. Agréable exemplaire au regard de la médiocre qualité de ce papier de guerre. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 31641

‎(VERLAINE Paul) CHRISTIANSEN Hans‎

‎"L'heure du berger" - Lithographie originale sur Japon - L'Estampe Moderne‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Mars 1898), sujet : 22,5x35cm, planche : 40,8x55cm, une feuille et une serpente.‎

‎Rare lithographie originale imprimée en couleurs, exécutée par Hans Christiansen pour L'Estampe Moderne, série numéro 11 publiée en mars 1898. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Japon à grandes marges, papier velin contrecollé sur Japon, signature de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, tampon numéroté du tirage de luxe au dos ; gravure précédée d'une serpente légendée du nom de l'artiste, du titre et d'un poème ; serpente vierge. Lithographie inspirée d'un extrait de poème de Paul Verlaine, reproduit sur la serpente de l'estampe. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur le plus prestigieux des papiers: le Japon. Epais, soyeux, satiné et nacré, il contribue à faire de chaque page une uvre à part entière. Sa qualité d'absorption de l'encre et son affinité avec les couleurs en font également le support idéal de ces très belles lithographies. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire dans le style Art Nouveau. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 74374

‎(VERLAINE Paul) CHRISTIANSEN Hans‎

‎"L'heure du berger" - Lithographie originale sur Chine - L'Estampe Moderne‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Mars 1898), sujet : 22,5x35cm, planche : 40,8x55cm, une feuille.‎

‎Rare lithographie originale, exécutée par Hans Christiansen pour L'Estampe Moderne, série numéro 11 publiée en mars 1898. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Chine à grandes marges, signature de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, contrecollée sur un feuillet de papier vélin avec au dos le tampon numéroté du tirage de luxe, pâles rousseurs marginales. Lithographie inspirée d'un extrait de poème de Paul Verlaine. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899,L'Estampe modernese constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues commeLesMaîtres de l'Afficheet tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur l'un des plus prestigieux papiers: le Chine. «Malgré toutes ses qualités, le papier de Chine, trop inconsistant, doit sa réputation, non pas à sa propre beauté, mais bien à ses affinités particulières avec l'encre d'impression. Son tissu, lisse et mou tout ensemble, est plus apte qu'aucun autre à recevoir un beau tirage. Cette propriété fait rechercher le papier de Chine pour le tirage des gravures...» (Anatole France). L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire dans le style Art Nouveau. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 74375

‎(VERLAINE Paul) IBELS André‎

‎"Pantomime" - Lithographie originale sur Japon - L'Estampe Moderne‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Août 1898), sujet : 35x26,5cm, planche : 55x40,8cm, une feuille et une serpente.‎

‎Rare lithographie originale en couleurs, exécutée par André Ibels pour L'Estampe Moderne, série numéro 16 publiée en août 1898. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Japon à grandes marges, signature de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, tampon numéroté du tirage de luxe au dos ; gravure précédée d'une serpente légendée du nom de l'artiste, du titre, et d'un poème. Lithographie inspirée d'un extrait de Vitrauxde Laurent Tailhade, reproduit sur la serpente de l'estampe. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Époque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur le plus prestigieux des papiers: le Japon. Epais, soyeux, satiné et nacré, il contribue à faire de chaque page une uvre à part entière. Sa qualité d'absorption de l'encre et son affinité avec les couleurs en font également le support idéal de ces très belles lithographies. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire dans le style Post-impressionnisme. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 74570

‎(VERLAINE Paul) IBELS André‎

‎"Pantomime" - Lithographie originale sur Chine - L'Estampe Moderne‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Août 1898), sujet : 35x26,5cm, planche : 55x40,8cm, une feuille.‎

‎Rare lithographie originale en manière de sanguine, exécutée par André Ibels pour L'Estampe Moderne, série numéro 16 publiée en août 1898. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Chine à grandes marges, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, contrecollée sur un feuillet de papier vélin avec au dos le tampon numéroté du tirage de luxe, pâles rousseurs marginales. Lithographie inspirée d'un poème de Paul Verlaine paru dans le recueil Fêtes galantes. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899,L'Estampe modernese constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues commeLesMaîtres de l'Afficheet tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur l'un des plus prestigieux papiers: le Chine. «Malgré toutes ses qualités, le papier de Chine, trop inconsistant, doit sa réputation, non pas à sa propre beauté, mais bien à ses affinités particulières avec l'encre d'impression. Son tissu, lisse et mou tout ensemble, est plus apte qu'aucun autre à recevoir un beau tirage. Cette propriété fait rechercher le papier de Chine pour le tirage des gravures...» (Anatole France). L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire dans le style Post-impressionnisme. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 74571

‎(VERLAINE Paul) PETITFILS Pierre‎

‎Album Verlaine‎

‎Gallimard, Bibliothèque de La Pléiade, Paris 1981, 10,5x17,5cm, reliure de l'éditeur.‎

‎Edition originale. Riche iconographie. Bel exemplaire complet de sa jaquette et de son rhodoïd. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 37075

‎(VERLAINE Paul) PETITFILS Pierre‎

‎Album Verlaine‎

‎Gallimard, Bibliothèque de La Pléiade, Paris 1981, 10,5x17,5cm, reliure de l'éditeur.‎

‎Edition originale. Reliure éditeur en plein mouton grainé marron, tête orange, dos lisse orné de filets dorés. Riche iconographie. Bel exemplaire complet de sa jaquette et de son rhodoïd. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 54094

‎(VERLAINE Paul) COLLECTIF‎

‎Album Verlaine‎

‎Gallimard, Bibliothèque de La Pléiade, Paris 1981, 10,5x17,5cm, reliure de l'éditeur.‎

‎Edition originale. Riche iconographie. Bel exemplaire complet de sa jaquette et de son rhodoïd. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 83229

‎(VERNET Horace)‎

‎Catalogue de l'oeuvre lithographique de Mr. J.E. Horace Vernet‎

‎Imp. de J. Gratiot, Paris 1826, 13,5x22cm, relié.‎

‎Edition originale. Reliure en demi chagrin noir, dos lisse comportant des traces de frottements, premier plat détaché, coins émoussés avec manque de papier sur les deux plats. Rare exemplaire exempt de rousseurs. Il a été relié à la suite la fin de la description de l'oeuvre lithographiée de H. Vernet sur un feuillet manuscrit. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 18290

‎(VERNET Horace) LOMENIE L. de‎

‎M. Horace Vernet par un homme de rien. 46eme livraison de la galerie des contemporains illustres‎

‎A. René et Cie, Paris 1842, 11x17cm, broché.‎

‎Edition originale complète de sa couverture de parution en livraison. Un portrait lithographié du peintre en frontispice. Rare et bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 19566

‎(VERLAINE Paul) MALLARME Stéphane‎

‎Variations sur un sujet. In La revue blanche N°58 de la 6ème année‎

‎La Revue Blanche, Paris 1er Novembre 1895, 16,5x25,5cm, broché.‎

‎Edition originale, un des ex du service de presse. Autres contributions de P. Verlaine "Poèmes", E.A. Poe avec des lettres, P. Adam, les mémoires du général Rossignol, R. Coolus... Numéro illustré de 2 bois de C. Maurin. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 28823

‎(VIELE-GRIFFIN Francis) COLLIN Raphael‎

‎"Le départ" - Lithographie originale sur Japon - L'Estampe Moderne‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Février 1899), sujet : 23,5x34,5cm, planche : 40,8x55cm, une feuille et une serpente.‎

‎Rare lithographie originale en couleurs, exécutée par Raphaël Collin pour L'Estampe Moderne, série numéro 22 publiée en février 1899. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Japon à grandes marges, signature de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, tampon numéroté du tirage de luxe au dos ; gravure précédée d'une serpente légendée du nom de l'artiste, du titre, et d'un poème. Lithographie inspirée du poème Partenzade Francis Vièlé-Griffin, reproduit sur la serpente de l'estampe. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Époque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur le plus prestigieux des papiers: le Japon. Epais, soyeux, satiné et nacré, il contribue à faire de chaque page une uvre à part entière. Sa qualité d'absorption de l'encre et son affinité avec les couleurs en font également le support idéal de ces très belles lithographies. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 74816

‎(VIELE-GRIFFIN Francis) COLLIN Raphaël‎

‎"Le départ" - Lithographie originale sur Chine - L'Estampe Moderne‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Février 1899), sujet : 23,5x34,5cm, planche : 40,8x55cm, une feuille.‎

‎Rare lithographie originale, exécutée par Raphaël Collin pour L'Estampe Moderne, série numéro 22 publiée en février 1899. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Chine à grandes marges, signature de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, contrecollée sur un feuillet de papier vélin avec au dos le tampon numéroté du tirage de luxe, quelques rousseurs. Lithographie inspirée du poème Partenzade Francis Vièlé-Griffin. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899,L'Estampe modernese constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues commeLesMaîtres de l'Afficheet tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur l'un des plus prestigieux papiers: le Chine. «Malgré toutes ses qualités, le papier de Chine, trop inconsistant, doit sa réputation, non pas à sa propre beauté, mais bien à ses affinités particulières avec l'encre d'impression. Son tissu, lisse et mou tout ensemble, est plus apte qu'aucun autre à recevoir un beau tirage. Cette propriété fait rechercher le papier de Chine pour le tirage des gravures...» (Anatole France). L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 74817

‎(VIONNET Madeleine) THAYAHT‎

‎A Biarritz, chez Madeleine Vionnet (pl.11, La Gazette du Bon ton, 1924-1925 n°2)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1924-1925, 36x24cm, une feuille.‎

‎Estampe double originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en haut à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 55135

‎(VIGNY Alfred de) EUDE Robert‎

‎Alfred de Vigny intime‎

‎Comité Alfred de Vigny, Paris 1912, 14x22,5cm, relié.‎

‎Edition originale collective dont il n'a pas été tiré de grands papiers. Reliure en demi chagrin vert bouteille, dos légèrement passé à cinq nerfs, couvertures conservées, tête dorée. Contributions de L. Tailhade, Sully-Prudhomme, V. Margueritte, L. Dierx entre autres. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 8901

‎(VIONNET Madeleine) RUEG Madeleine‎

‎Allons au jardin. Robe d'après-midi, de Madeleine Vionnet (pl.64, La Gazette du Bon ton, 1924-1925 n°8)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1924-1925, 18x24cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 55191

‎(VITTA Emile) DELLEVAUX François‎

‎Guirlande pour Emile Vitta‎

‎S.n., s.l. s.d. (circa 1910), 16x25cm, broché.‎

‎Edition originale imprimée à petit nombre et dont il n'a pas été tiré de grands papiers. Bel envoi de E. Vitta couvrant le verso du premier plat et une partie de la page de faux-titre, agrémenté de deux pensées autographes rimées de E. Vitta encollées sur papier calque aux pages 7 et 17 et d'une dernière autre en regard de la dernière garde. Deux corrections manuscrites d'Emile Vitta sur le feuillet d'annonce de sa prochaine parution. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 21545

‎(VIAN Boris) HODEIR André‎

‎Introduction à la musique de jazz‎

‎Librairie Larousse, Paris 1945, 11,5x16,5cm, relié.‎

‎Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Très précieux envoi autographe signé d'André Hodeir à Boris Vian : "Bien amicalement à toi mon cher Boris.André Hodeir." Quelle provenance! - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 73034

‎(VILLON Jacques) RENE-JEAN‎

‎Jacques Villon‎

‎Les éditions Braun & Cie, Lyon 1945, 16x23,5cm, broché.‎

‎Edition originale dont il n'a pas été tiré de grands papiers. Texte de René-Jean, iconographie. Deux petites déchirures sans gravité affectant le dos, sinon bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 6308

‎(VIONNET Madeleine) RUEG Madeleine‎

‎La Porte fermée. Robe du soir, de Madeleine Vionnet (pl.18, La Gazette du Bon ton, 1924-1925 n°3)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1924-1925, 18x24cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 55142

‎(VIONNET Madeleine) RUEG Madeleine‎

‎La Vitrine. Manteau, de Madeleine Vionnet (pl.30, La Gazette du Bon ton, 1924-1925 n°4)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1924-1925, 18x24cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 55153

‎(VILLON François) LE PILEUR L. Dr.‎

‎Les maladies de Vénus dans l'oeuvre de François Villon‎

‎H. Champion, Paris 1910, 16,5x24cm, agrafé.‎

‎Edition originale de ce tiré à part du 'Journal de médecine de Paris', imprimé à seulement 150 exemplaires sur vergé. Ex-dono et tampon sur le premier plat, exemplaire à toutes marges qui sont salies. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 9734

‎(VITET Ludovic)‎

‎Les barricades, scènes historiques Mai 1588‎

‎Brière, Paris 1826, 14x22cm, broché.‎

‎Edition originale. Une déchirure recollée en pied du dos, un mors recollé, mouillures. Rare. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 10069

‎(VIONNET Madeleine) THAYAHT‎

‎On part...on part... Costume de voyage, de Madeleine Vionnet (pl.49, La Gazette du Bon ton, 1924 n°9)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1924, 18x24cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 55095

‎(VIAN Boris) BLESH Rudi & JANIS Harriet‎

‎They all played ragtime - The true story of an american music - L'exemplaire de Boris Vian‎

‎Alfred A. Knopf, New York 1950, 14,5x22cm, reliure de l'éditeur.‎

‎Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Reliure de l'éditeur en pleine toile grise, dos lisse. Iconographie. Exemplaire complet de sa jaquette illustrée par Jimmy Ernst, la jaquette étant en mauvais état et présentant de nombreuses déchirures et manques angulaires. Très précieux envoi autographe signé d'Harriet Janis à Boris Vian : "To Boris Vian with Paris greetings for Rudi Blesh & myself, Harriet Janis. May 1953." - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 73035

‎(VIGNY Alfred de) MARCELLUS Comte de‎

‎Un dernier mot sur la Vénus de Milo‎

‎Bureau de la Revue contemporaine, Paris 1854, 16x25,5cm, relié.‎

‎Edition originale imprimée à petit nombre de ce tiré à part de la Revue contemporaine. Reliure à la bradel en demi percaline sable, dos lisse avec étiquette manuscrite comportant le nom de l'auteur et le titre de l'ouvrage, plats de papier à la cuve, couverture conservée, reliure de l'époque. Précieux envoi autographe signé du comte de Marcellus à Alfred de Vigny. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 70014

‎(VIONNET Madeleine) THAYAHT‎

‎Une robe de Madeleine Vionnet (pl.62, La Gazette du Bon ton, 1922 n°8)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1922, 18x24cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 84735

‎(VIALATTE Alexandre) WERFEL Franz‎

‎Verdi, roman de l'Opéra‎

‎Victor Attinger, Paris 1933, 13,5x20,5cm, broché.‎

‎Edition originale de la traduction française établie par Alexandre Vialatte et Dora Kris, un des ex du service de presse. Il n'a pas été tiré de grands papiers. Ex-libris encollé au verso du premier plat. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 29046

‎(VIEIRA DA SILVA ) LASSAIGNE Jacques & WEELEN Guy‎

‎Vieira da Silva‎

‎Editiones Poligrafa, Barcelona 1979, 25,5x29,5cm, reliure de l'éditeur.‎

‎Edition originale de la traduction espagnole. Reliure de l'éditeur en pleine toile sable. Riche iconographie. Agréable exemplaire bien complet de sa jaquette illustrée qui comporte de petites déchirures avec légers manques en tête du dos. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 30615

‎(VOLTAIRE ) VAN DEN HEUVEL Jacques & COLLECTIF‎

‎Album Voltaire‎

‎Gallimard, Bibliothèque de La Pléiade, Paris 1983, 10,5x18cm, reliure de l'éditeur sous étui.‎

‎Edition originale. Riche iconographie. Bel exemplaire complet de sa jaquette, de son rhodoïd et de son étui. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 51155

‎(VOLTAIRE ) VAN DEN HEUVEL Jacques & COLLECTIF‎

‎Album Voltaire‎

‎Gallimard, Bibliothèque de La Pléiade, Paris 1983, 10,5x18cm, reliure de l'éditeur sous étui.‎

‎Edition originale. Reliure éditeur en plein mouton grainé marron, tête orange, dos lisse orné de filets dorés. Riche iconographie. Bel exemplaire complet de sa jaquette, de son rhodoïd et de son étui qui comporte une petite tache en pied. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 67818

‎(VOLTAIRE ) VAN DEN HEUVEL Jacques & COLLECTIF‎

‎Album Voltaire‎

‎Gallimard, Bibliothèque de La Pléiade, Paris 1983, 10,5x18cm, reliure de l'éditeur sous étui.‎

‎Edition originale. Reliure éditeur en plein mouton grainé marron, tête orange, dos lisse orné de filets dorés. Riche iconographie. Bel exemplaire complet de sa jaquette, de son rhodoïd et de son étui. Deux manques sur le rhodoïd et une tache marginale sur le second plat de la jaquette. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 70601

‎(VOLTAIRE ) VAN DEN HEUVEL Jacques & COLLECTIF‎

‎Album Voltaire‎

‎Gallimard, Bibliothèque de La Pléiade, Paris 1983, 10,5x18cm, reliure de l'éditeur sous étui souple et cartonné.‎

‎Edition originale. Reliure éditeur en plein mouton grainé marron, tête orange, dos lisse orné de filets dorés. Riche iconographie. Bel exemplaire complet de sa jaquette, de son rhodoïd et de son étui souple. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 83242

‎(VOLTAIRE François -Marie Arouet de) .‎

‎Dieu et les Hommes, oeuvre théologique mais raisonnable par le Docteur Obern, Traduit par Jaques (!) Aimon.‎

‎1769 Berlin, chez Christian de Vos, 1769; in-8°, plein veau blond époque, triple filet doré encadré les plats, dos lisse orné de filets, fleurons et petits fers dorés, titre doré sur étiquette de maroquin rouge, filet doré sur les coupes tranches dorées; VIII - 264pp. 2 petits manques de cuir au 1er plat, charnière supérieure fendue (reliure encore solide), trace de mouillure dans la marge supérieure de certains feuillets tache d'encre dans la marge de 2 pages.‎

‎Virulent pamphlet de Voltaire contre les traditions et écrits judéo-chrétiens tant sur le déluge, que sur les juifs, leurs moeurs, l'immortalité de l'âme, les fraudes et progrès, les barbaries chrétiennes, l'Egype, les phéniciens et Zoroaste, la vie et mort de moise, il examine également les autres religions, les brames, grecs, romains, la métempsicose, la doctrine platonicienne. Edition originale. (Reu-Bur)‎

Bookseller reference : 10654

Livre Rare Book

Livres Anciens N. Rousseau
Reuilly France Francia França France
[Books from Livres Anciens N. Rousseau]

€750.00 Buy

‎(Voltaire, François-Marie Arouet dit)‎

‎Histoire de l'Empire de Russie sous Pierre le Grand‎

‎1759 Sans Nom (éditions Cramer), sans Lieu, 1759-1765. 2 volumes petit in-8 demi basane (moderne). (xxxix), 302, 283 pages. Frontispice (portrait de la Tsarine Elisabeth, d'après une médaille). 2 cartes rempliées, couleurs aux frontières, une carte gravée (sur bois) in texte au 2ème volume. "par l'auteur de l'histoire de Charles XII"‎

‎1er volume en édition originale. Très beaux exemplaires‎

Bookseller reference : 2044

Livre Rare Book

Livres Anciens Gilles Barbero
Arles France Francia França France
[Books from Livres Anciens Gilles Barbero]

€280.00 Buy

‎(Voyages)LE TOURMELIN‎

‎Kurun autour du Monde 1949-1952‎

‎in 8 demi-cuir marron raciné à nerfs,titre doré,faux-titre,titre,341 pages,cartes croquis,l’aventure vécue 1953 édition originale,couverture et dos conservés.‎

Bookseller reference : 2033

Livre Rare Book

Charbonnel
Bar le Duc France Francia França France
[Books from Charbonnel]

€30.00 Buy

‎(VODAINE Jean) PILON Veno‎

‎L'oracle des peintres‎

‎Vodaine, Basse-Yutz 1968, 24,5x16cm, broché.‎

‎Edition originale, un des 150 exemplaires numérotés sur Ingres chiffon rose ancien signés et numérotés par l'auteur. Plats et dos partiellement ombrés, sinon bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 28367

‎(VOLTAIRE ) BERSOT E.‎

‎La philosophie de Voltaire‎

‎Ladrange, Paris 1848, 11,5x18,5cm, relié.‎

‎Edition originale. Reliure en demi chagrin chocolat, dos à quatre nerfs orné d'un caisson doré, de caissons à froid et de pointillés dorés, petites éraflures en tête et en pied du dos. Agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 10667

‎(WAGNER Richard) BUSSIERE Gaston‎

‎"Brunnhild" - Lithographie originale sur Chine - L'Estampe Moderne‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Mai 1898), sujet : 21x34cm, planche : 40,8x55cm, une feuille.‎

‎Rare lithographie originale, exécutée par Gaston Bussière pour L'Estampe Moderne, série numéro 13 publiée en mai 1898. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Chine à grandes marges, signature de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, contrecollée sur un feuillet de papier vélin avec au dos le tampon numéroté du tirage de luxe, pâles rousseurs marginales. Lithographie inspirée de quelques vers intitulés La Valkyrie, extraits de L'Anneau du Nibelung de Richard Wagner, traduit par A. Ernst. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899,L'Estampe modernese constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues commeLesMaîtres de l'Afficheet tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur l'un des plus prestigieux papiers: le Chine. «Malgré toutes ses qualités, le papier de Chine, trop inconsistant, doit sa réputation, non pas à sa propre beauté, mais bien à ses affinités particulières avec l'encre d'impression. Son tissu, lisse et mou tout ensemble, est plus apte qu'aucun autre à recevoir un beau tirage. Cette propriété fait rechercher le papier de Chine pour le tirage des gravures...» (Anatole France). L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire dans le style Art Nouveau. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 74392

‎(WARHOL Andy) TRIVIER Marc‎

‎Portrait d'Andy Warhol. Photographie Originale tirée par l'artiste.‎

‎Par l'auteur, s.l. 1981-1982, 22x22cm sur papier Ilford 30x40cm, une planche photographique.‎

‎Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : «Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition.» (Xavier-Gilles inLe Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette «brûlure» de la lumièrenous renvoie à un instant réel, au «ça a été» de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). «La photographie ne dit qu'une chose : «C'était.» On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là.» (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Young Photographer Award de L'international Center of Photography en 1988 ainsi que le Prix Photographie Ouverte (Charleroi). Après le Palais de Tokyo à Paris, le musée de l'Elysée à Lausanne et le Casino à Luxembourg, la Maison Européenne de la photographie à Paris lui consacre une importante rétrospective en 2011. Les photographie des grandes personnalités de son époque que Marc Trivier réalise ne cherchent pas à montrer l'image publique de ces artistes. Prises de face, avec un regard dirigé vers l'objectif, elles nous montrent une image d'intimité: «(...) au lieu d'être un portraitiste d'écrivains et d'artistes parmi tant d'autres, il se marginalise par son dispositif: sous prétexte de réglages, il fait attendre ses modèles, il les fait poser plusieurs minutes ce qui leur donne un air las. Il attend peut-être un comportement plus naturel. Et on se retrouve face à Francis Bacon en équilibre précaire, Samuel Beckett, Jean Dubuffet ou encore Michel Foucault plus ou moins tassés sur leur chaise. Des images intimes.» (Sylvie Rousselle-Tellier, «Une image de fatigue chez Marc Trivier », Marges 2004). Photographiés dans leur univers personnel, la plupart du temps leur chambre, les sujets s'abandonnent, ne maitrisent plus leur image. Le déséquilibre qui en résulte révèle les fragilités de ces personnalités si fortes, etpermet à Trivier de restituer l'unité du corps intime et de l'uvre publique. «Je lisais Genet; pour moi Genet, c'était des lettres sur un livre. Et puis un jour j'ai vu son portrait, il y a eu comme une fracture. Comment était-il possible que ces signes soient aussi quelqu'un? Faire un portrait, c'est ressouder le nom et le visage.» (Marc Trivier). Plus qu'un portrait, chaque photo est le témoignage d'un échange entre le sujet et l'artiste, d'un instant de vie réelle. La présence du photographe est sensible dans chacun des portraits que réalise Trivier: « Ce qui m'intéressait, ce n'était pas de photographier simplement un corps ou un visage, mais cette situation particulière qui est quelqu'un en train de faire la photo de quelqu'un d'autre. » (Marc Trivier). Bien des choses semblent opposer Warhol et Trivier. Andy Warhol est l'artiste du multiple, dont l'art nait de la métamorphose de l'artificiel consumériste et se joue de la prolifération de l'identique. Marc Trivier, lui, est un adepte de la rareté, chacune de ses photographies est réduite à quelques rares tirages tous différents par le temps et les variations du développement réalisé par l'artiste. Andy Warhol connait l'importance de l'image qui finit même par remplacer la personne elle-même. Il sait que les hommes jouent des rôles et c'est ce jeu qu'il capture. Ses séries diverses sur Elvis Presley, Marylin Monroe, ou encore Mao, montrent ce passage au statut d'icône qui rend ces êtres humains immortels et qui détruit aussi par là leur humanité pour en faire des images. Les photographies de Trivier accentuent à l'inverse la présence d'un corps pesant et faible dont l'artiste ne peut se débarrasser et qui fait obstacle à sa sacralisation. Fidèles à l'esprit de Warhol, les clichés photographiques que l'on connait de lui le présentent tantôt en star du rock, arborant son perfecto et ses lunettes de soleil à la manière de son protégé Lou Reed, tantôt en artiste excentrique, cheveux ébouriffés, ou simulant un match de boxe contre Basquiat. Chacune de ses photographies est ainsi une savante mise en scène de son personnage, maitrisée à l'excès, image de son image, que le maître de l'icône moderne contrôle entièrement. La photographie de Warhol par Marc Trivier présente une toute autre personne. Déséquilibré par une très légère contre-plongée, et projeté sur une toile noire placée derrière lui et qui découpe la scène en triptyque, le corps d'Andy Warhol semble s'extraire de ce fond obscur, tandis que ses jambes et ses lourdes bottes, légèrement surdimensionnées par la prise de vue, trônent inutiles au premier plan. Surpris par la longue attente que Trivier impose à ses modèles, Andy Warhol fixe le spectateur avec étonnement, comme pris en flagrant délit de désuvrement, impression accentuée par les doigts croisées de l'artiste. Portrait unique d'un artiste qui voulait «être du plastique» et qui, sous l'il deTrivier, révèle sa part d'intimité et la fragile humanité d'un corps sans artifice. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 35392

‎(WAGNER Richard) ARNOUX Alexandre‎

‎Rencontres avec Richard Wagner‎

‎Grasset, Paris 1927, 12x19cm, broché.‎

‎Edition originale, un des ex du service presse. Envoi autographe signé de l'auteur. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 28620

‎(WAGNER Richard) ARNOUX Alexandre‎

‎Rencontres avec Richard Wagner‎

‎Grasset, Paris 1927, 12x19cm, broché.‎

‎Edition originale, un des ex du service de presse. Signature autographe de l'auteur sur la page de faux-titre. Petits manques en tête de la page de titre et de la dédicace imprimée, légères rousseurs affectant essentiellement les marges de certaines pages. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 31616

‎(WAGNER Richard) CHERAMY P.A.‎

‎Richard Wagner et son oeuvre‎

‎Sté française d'éditions d'art L.H. May, Paris 1901, 13x20,5cm, broché.‎

‎Edition originale imprimée à petit nombre sur vergé. Piqûres marginales sur le premier plat, agréable état intérieur. Rare. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 28476

‎(Warhol, Andy)‎

‎The philosophy of Andy Warhol. (From A to B and back again).‎

‎London, Cassell, (1975). 241 S. (= A Michael Dempsey Book). 22,5 cm. OHLn. mit SU.‎

‎Erste britische Ausgabe. - Etwas angestaubt. Gutes Exemplar‎

Bookseller reference : 95857 ISBN : 86018109

‎(WELLS Herbert George) COLLECTIF‎

‎Mercure de France, n°106 à n°108, tome XXVIII, année 1898‎

‎Mercure de France, Paris octobre-décembre 1898, 15 x 23 cm.‎

‎Édition originale. Reliure en plein cartonnage souple gris souris, taches claires sur le premier plat, couvertures conservées, reliure de l'époque. Contributions de H. de Régnier "Stéphane Mallarmé", P. Louÿs, F. Viélé-Griffin, G. Kahn "Roger Marx", E. Barthélémy "Thomas Carlyle", G. Eekhoud, R. de Gourmont, Rachilde, C. Morice "Le Couronnement de la Reine de Hollande et l'exposition de Rembrandt", A. Mockel, G. Fabre "Tendresses, partitions de musique sur la prose de P. Louÿs, H.-G. Wells "La Machine à explorer le temps", Y. Lefebvre " Contes celtiques". Exemplaire orné de dessins de H. Detouche, A. Rassenfosse et R. Thomen. Agréable état intérieur. Le 'Mercure de France' est à l'origine une revue française, fondée au XVIIe siècle sous le nom de 'Mercure Galant', qui évoluera pour devenir, au XXe siècle, une maison d'édition. Sous l'impulsion de Rémy de Gourmont et d'Alfred Jarry, une revue littéraire reprend le nom de 'Mercure de France' en 1890 et propose des textes symbolistes, notamment de Jean Moréas, Ernest Raynaud, Jules Renard, Louis Dumur. Accédant progressivement à la reconnaissance, cette revue va publier aussi bien des Parnassiens parmi les plus grands (Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé, Heredia, etc) que voir l'éclosion de la Pataphysique de Jarry. La maison d'édition naît dans la foulée. Elle publie notamment les premières uvres de Gide et de Claudel, de Colette, d'Apollinaire, de Georges Duhamel? - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 26729

‎(WELLS Herbert George) COLLECTIF‎

‎Mercure de France, n°377 à n°380, tome CII, année 1913‎

‎Mercure de France, Paris janvier-mars 1899, 15 x 23 cm.‎

‎Édition originale. Reliure en plein cartonnage souple gris souris, couvertures conservées, reliure de l'époque. Contributions de R. de Gourmont "Philosophie du cliché", A. Fontainas "Rembrandt chez lui", F. Nietzsche "Nous qui sommes sans crainte", C. Guérin "La Volupté originelle", H.-G. Wells "La Machine à explorer le temps", P. Louÿs, G. Moore "Les Conditions actuelles de l'art dramatique en Angleterre", C. Merki "Georges Rodenbach", E. Barthélémy "Thomas Carlyle", F. Viélé-Griffin "La désespérance du Parnasse", H. Mazel "Sociologues contemporains : Emile Durkheim, Rachilde. Exemplaire orné de dessins inédits de R. Thomen. Agréable état intérieur. Le 'Mercure de France' est à l'origine une revue française, fondée au XVIIe siècle sous le nom de 'Mercure Galant', qui évoluera pour devenir, au XXe siècle, une maison d'édition. Sous l'impulsion de Rémy de Gourmont et d'Alfred Jarry, une revue littéraire reprend le nom de 'Mercure de France' en 1890 et propose des textes symbolistes, notamment de Jean Moréas, Ernest Raynaud, Jules Renard, Louis Dumur. Accédant progressivement à la reconnaissance, cette revue va publier aussi bien des Parnassiens parmi les plus grands (Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé, Heredia, etc.) que voir l'éclosion de la Pataphysique de Jarry. La maison d'édition naît dans la foulée. Elle publie notamment les premières uvres de Gide et de Claudel, de Colette, d'Apollinaire, de Georges Duhamel? - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 26764

‎(WELLES Orson) BESSY Maurice‎

‎Orson Welles‎

‎Seghers, Paris 1963, 13,5x16cm, broché.‎

‎Edition originale dont il n'a pas été tiré de grands papiers. Envoi autographe signé de l'auteur à Jacques Perrey. Une petite tache sans gravité sur la page de garde, une trace de pliure sur le deuxième plat. Iconographie, de la collection 'Cinéma d'aujourd'hui'. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 13686

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