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‎DURRELL Lawrence‎

‎Carte postale autographe et dactylographiée signée adressée par "Le caïd" à Jani Brun‎

‎- Sommières 12 avril 1973, 14x10,5cm, une carte postale. - Carte postale autographe et dactylographiée, humoristiquement signée "Le caïd" Lawrence Durrell à Jani Brun. Quelques petites taches. Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎DURRELL Lawrence‎

‎Carte postale autographe inédite signée de Lawrence Durrell à son amante française : "je n'aime pas les films, les tournages. On gagne bien des sous mais on perd la raison"‎

‎- 22 juillet 1970, 14,6x10,1cm, une feuille. - Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de ses romans Bitter Lemons, il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes sur un menu de restaurant et à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. Sa correspondance reste inédite et inc Carte postale autographe inédite signée de Lawrence Durrell à sa jeune amante française à Janine Brun, prénommée "Buttons". 15 lignes à l'encre noire, signées "Larry". La carte porte au verso une photographie en noir et blanc du village de Sommières, coloriée par Durrell de couleurs vives. "Je passe tout mon temps dans la région de Fleurac avec des clochards" (ligne 5) La carte fut envoyée à une jeune amante de l'auteur, qui, à Sommières comme à Paris, égaya ses journées solitaires à la fin des années soixante et soixante-dix. Janine Brun, aussi surnommée "Buttons" dans les lettres et cartes postales de l'écrivain, fut ainsi décrite par le biographe de Durrell Ian McNiven : "She was almost thirty but she looked much younger, with a girl's small-breasted figure, as dark-haired as Claude Kiefer was blonde, and not languorous but tremendously energetic" (" Elle avait presque trente ans mais avait l'air bien plus jeune, avec une silhouette de jeune fille aux seins menus, aussi brune que Claude Kiefer [une autre de ses amantes, femme d'un chirurgien suisse] était blonde, pas tant langoureuse qu'extrêmement énergique", (Lawrence Durrell: A Biography, page 591). Durrell adresse cette carte multicolore depuis le tournage d'une série d'interviews organisée dans le Midi : "mais ce vilain temps nous a déjà coûté une semaine de tournage. Tout le monde furieux - et le [sic] météo Encore pessemiste [sic] ! Quoi faire ?". L'écrivain décrit ses innombrables conquêtes féminines à sa jeune amante : "Je rode un peu avec Diane Deriaz qui joue dans le film et apport[sic] tout les considérations possible [sic] dans les circonstances avec Margaret McCall." Il avait rencontré l'acrobate Diane Deriaz dans l'avion deux ans auparavant, et entretenait une relation houleuse avec Margaret McCall, productrice de la BBC, qui tourna plusieurs documentaires sur lui et la vie de Robert Graves et Graham Sutherland entres autres. La relation de Jani/Buttons avec l'écrivain se prolongea jusqu'à la fin des années 1970, la jeune fille apparaissant à l'occasion dans les oeuvres de Durrell (et notamment le poème « Vaumort », Collected Poems: 1931-1974) et dans la fameuse correspondance de l'écrivain avec Henry‎

‎DURRELL Lawrence‎

‎Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun : "Tout le monde cherche quelqu'un de fidèle tout en restant 'libre' en échange !"‎

‎- Sommières s.d. (circa 1970), 15x10cm, une carte postale. - Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir, au verso d'une vue des bords de la Vidourle à Sommières. Admirable et humoristique confession de l'écrivain à sa jeune amante : "Tout le monde cherche quelqu'un de fidèle tout en restant 'libre' en échange ! Bientôt je serai impuissant et le problème n'existera plus !". Durrell revient sur ses nombreuses conquêtes féminines ("Pour l'instant je suis comblé de belles et j'en profite - pourquoi pas !") et donne de précieux conseils à sa destinataire, qui avait choisi de rester indépendante malgré les prières de l'écrivain : "Tu n'es pas heureuse en amour parce que tu es intéressée - tu cherche [sic] des combines toujours au lieu de te donner sans réserve ni réservation ! C'est quand on deviens [sic] esclave qu'on est vraiment heureux !" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

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‎Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun‎

‎- Sommières 18 octobre 1971, 15x10,5cm, une carte postale. - Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre bleu, au verso d'une citation de Nietzsche soulignant une image humoristique. Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

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‎Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun : "youth at the prow and beauty at the helm" luxe et voupté - dans le Club Méditerranée, everything is done for you"‎

‎- Grèce 28 mai1981, 14,6x10,2cm, une carte postale. - Carte postale autographe signée de Lawrence Durell adressée à Jani Brun, sa jeune amante française, rédigée au feutre bleu, au verso d'une illustration humoristique mettant en scène Poséidon. L'écrivain a séjourné au Club Méditerranée et en chante les louanges par un vers du poème néomédiéval The Bard, de Thomas Gray et un de Baudelaire : "youth at the prow and beauty at the helm" (Jeunesse à la proue et beauté à la barre) luxe et voupté - dans le Club Méditerranée, everything is done for you (tout est fait pour vous) J'ai envie de rester encore vingt ans ici. That would make me 110 years old (j'aurais 110 ans)." Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

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‎Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun : tournage du film adapté de son livre "Justine"‎

‎- Sommières 3 janvier 1969, 14,6x10,2cm, une carte postale. - Carte postale autographe signée de Lawrence Durell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre violet, au verso d'une illustration humoristique de Lassalvy. L'écrivain adresse ses voeux pour l'année 1969 à sa jeune amante française, et s'apprête à suivre le tournage du film adapté de son roman "Justine", premier volume de son Quatuor d'Alexandrie : "Je vais à Londres samedi pour un mois de 'filmage'. Amuse toi bien mais sagement !" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

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‎Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun : "dear and pretty chapeau jaune [...] phone-moi veux-tu ?"‎

‎- Sommières 20 juin1968, 14,6x10,2cm, une carte postale. - Carte postale autographe signée de Lawrence Durell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir, au verso d'une photographie surmontée de la légende humoristique "Finies les vacances !! Les blés sont fauchés / Les vacanciers aussi !!" L'écrivain tente de revoir sa jeune amante française entre deux déplacements : "Dear and pretty chapeau jaune. je suis au mazet vendredi mais chez moi le soir. Vendredi je suis seul. phone-moi veux-tu ? si possible ? Car je m'en vais à Paris dimanche soir pour trois jours mais j'attends un coup de téléphone de là bas pour décider". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

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‎Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun : "si un jour vous voulez me visiter 'en frôlant'"‎

‎- Sommières 22 novembre 1967, 14,6x10,2cm, une carte postale. - Carte postale autographe signée de Lawrence Durell adressée à Jani Brun, rédigée aux feutres violet et marron, au verso d'une photographie de la Tour de Sommières. Après un séjour à Paris, l'écrivain retrouve sa maison provençale de Sommières et tente de revoir sa jeune amante montpelliéraine : "si un jour vous voulez me visiter 'en frôlant' [...] passez moi un petit coup de fil [...] je serai heureux de vous voir". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

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‎Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun : "je tripote des livres, des nuages, des femmes, et des calembours"‎

‎- Sommières 10 novembre 1969, 13,9x10,1cm, une carte postale, enveloppe jointe. - Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir au verso d'un dessin humoristique. Enveloppe jointe. L'écrivain donne des nouvelles de sa vie dans sa maison de Sommières à son amante française : "Je me force de [sic] travailler un peu - c'est à dire je tripote des livres, des nuages, des femmes, et des calembours [...] Il pleut. Je coupe du bois aussi et bientôt il faut que je ramasse les mûres. Much love, Larry D". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

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‎Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun : "m[ake] great haste"‎

‎- Sommières 2 février 1970, 8,7x12,7cm, une carte postale, enveloppe jointe. - Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir au verso d'une vue en noir et blanc de l'intérieur du temple de Diane à Nîmes. Enveloppe jointe. L'écrivain donne des nouvelles de sa fille : "Saph part pour Israel troisième semaine de février" et attend avec impatience la venue de son amante : "m[ake] great haste" (viens vite). Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

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‎Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun : "je suis vraiment navré pour le voyage"‎

‎- Sommières 16 septembre 19711971, 17,9x12,8cm, un feuillet. - Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre bleu. L'écrivain présente ses excuses à sa jeune amante française, à qui il avait promis un voyage : "Je suis vraiment navré pour le voyage. mais un peu plus tard. L.D." Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

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‎Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun : "J'espère que la pièce mérite notre déplacement"‎

‎- Sommières 6-10-1971, 10,5x15cm, une carte postale. - Carte postale autographe signée "Larry" de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir, au verso d'une reproduction d'un dessin d'Eben "Etes-vous con...ducteur?". L'écrivain donne rendez-vous à sa jeune amante montpelliéraine : "... j'arrive vers midi à l'Hôtel Royale [...] si tu es occupée viens me chercher au Coupole le soir. Tout est arrangé avec Liege pour nous recevoir ! J'espère que la pièce mérite notre déplacement. Love. Larry". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

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‎Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun : "L'oreiller militaire français"‎

‎- Sommières 14-09-1971, 10,5x14,5cm, une carte postale et enveloppe. - Carte postale autographe signée "L.D." de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre rouge, au verso d'une reproduction d'affichette Mystification imaginée par Jacques Yonnet "Pour nos Hôpitaux, Ambulances, Trains sanitaires, demandez l'Oreiller Militaire Français qui procure le plus doux des soulagements. [...]", publicité extraite d'un journal scotchée "en direct avec une glande virile...", enveloppe jointe. L'écrivain organise un voyage avec sa jeune amante montpelliéraine : "Buttons. je ne vous crois pas ! je suis ici pour 15 jours encore - puis Genève pour une semaine". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

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‎Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun : "D'avoir soixante ans et d'être aimé (très mal d'ailleurs) par les vampires"‎

‎- Sommières 20-04-1971, 10,5x14,5cm, une carte postale et enveloppe. - Carte postale autographe de Lawrence Durrell signée "Dracula" adressée à Jani Brun, rédigée à l'encre bleue, reproduction d'un dessin de Marcel Vaysse "Ils sortent...tous les soirs", enveloppe jointe. L'écrivain nargue avec humour sa jeune amante montpelliéraine : "Darling Janie - maintenant qu'il fait beau la saison est ouverte et malgré mon age je reçois pas mal des invitations; souvent les filles de dix ans m'envoient des propositions inscrites par télégramme. J'estime que le rôle de papa gâteux me va bien ("le gâtisme c'est le relachment des sphinctères" (Dictionnaire medicale - Pujot)". Je vais en Grèce avec, une, 2, 3, 4 fille(s) plus fidé(?) que vous pour faire des reportages appellation contrôlée. D'avoir soixante ans et d'être aimé (très mal d'ailleurs) par les vampires - n'est pas que c'est splendide ? Dracula" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

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‎Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun : "Tout le monde chez Bernard Stone demande de vos nouvelles"‎

‎- London 29-11-1980, 10,2x15,3cm, une carte postale. - Carte postale autographe signée "Larry" de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée aux feutres rouge et noir, au verso d'une reproduction d'une liste rose parisienne. L'écrivain, nostagique, donne des nouvelles depuis Londres alors qu'il s'apprête à signer son dernier livre chez le libraire londonien Bernard Stone. Sa librairie était connue et désignée par le poète Michael Horowitz comme "the merriest backwater of that time" : "Tout le monde chez Bernard Stone demande de vos nouvelles : ils me prient de te rappeler le changement d'adresse. Il est à Covent Garden maintenant. C'est là que je signe ce soir. Nostalgie, grisailles, souvenirs". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

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‎Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun : "Pour notre dernier jour de tournage on va filmer Pharaon"‎

‎- Egypte [1971], 10,5x15cm, une carte postale. - Carte postale autographe signée "Larry" de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir, au verso d'une photo de bas-relief égyptien. L'écrivain à sa jeune amante montpelliéraine : "Pour notre dernier jour de tournage on va filmer Pharaon en train de recevoir le Prix Bonbel pour son roman sur la vie privée d'un crocodile nilotique : "Le croc". Puis il faut rentrer pour quelques semaines à Londres. j'espère que tout va bien, dear Buttons.". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

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‎Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun : "L'amérique est plein de fric, de frustrées et d'ennui."‎

‎- Malibu s. d., 10,5x15cm, une carte postale. - Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir, au verso d'une photo d'une plage de Malibu. "Buttons hola ! L'amérique est plein de fric, de frustrées et d'ennui. Pourtant on est très bien traités et je joue un peu le rôle de Scott Fitzgerald à Malibu.". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

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‎Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée depuis Edimbourg à Jani Brun : "Si tu es libre de me joindre... faites moi signed"‎

‎- Edimbourg 4 octobre 1980, 10x14,5cm, une carte postale + une enveloppe. - Suggestive carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre violet, au verso d'une reproduction de sculpture représentant un satyre, enveloppe jointe. "Buttons dear. J'arrive mardi pour deux nuits à Paris - au Royale. Si tu es libre de me joindre... faites moi signed. Suis fatigué après Athens, Londres, Edinburgh! Love. Larry Durrell." Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

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‎Clea‎

‎Paris Corréa Buchet / Chastel - 1960 In-8 Broché Dédicacé par l'auteur‎

‎EDITION ORIGINALE française, parue dans la collection "Le Chemin de la vie", dirigée par Maurice Nadeau. Traduction de l'anglais par Roger Giroux. >Bel exemplaire non coupé, portant un ENVOI AUTOGRAPHE signé et daté 1960 de Lawrence Durrell. TRES BON ETAT 0‎

书商的参考编号 : 007946

Livre Rare Book

Librairie-Galerie Emmanuel Hutin
Paris France Francia França France
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‎DURRELL Lawrence‎

‎Clea‎

‎- Faber & Faber, London 1961, 12x18,5cm, broché. - Nouvelle édition. Petites pliures angulaires sur les platsn dont une plus remarquable en tête du premier plat. Signature manuscrite de Lawrence Durrell sur la page de faux-titre. Provenance : de la bibliothèque de Jani Brun. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, Lawrence Durrell rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

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‎Justine‎

‎- Corrêa, Paris 1957, 14x19cm, broché. - Edition originale de la traduction française pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Très légères déchirures sans gravité sur le dos. Envoi autographe signé du traducteur, Roger Giroux, à Michel Mohrt. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

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‎Lettre autographe signée adressée à Jani Brun : "Je suis rentré fatigué mais content à Sommières"‎

‎- Sommières 16 octobre 1971, 13,4x20,9cm, une page, enveloppe jointe. - Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, la remerciant pour un séjour passé en sa compagnie à Liège. Onze lignes au feutre noir sur papier à en-tête personnel de l'écrivain. Enveloppe jointe. Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

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‎Lettre autographe signée adressée à Jani Brun : "le MONTAGUE HOTEL à côté du British Museum, quartier tranquil [sic] et respectable"‎

‎- Sommières 22 août 1969, 12,6x20,3cm, 2 pages sur 2 feuillets, enveloppe jointe. - Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, deux pages rédigées sur deux feuillets. Pliures centrales inhérentes à la mise sous pli de la missive. Enveloppe jointe. L'écrivain arrange pour son amante un séjour à Londres et a demandé à son éditeur Alan G. Thomas de l'accueillir : "Thomas a déjà réservé une chambre au MONTAGUE HOTEL [...] à côté du British Museum, quartier tranquil [sic] et respectable. Mais vérifiez vos dates et télégraphiez lui en avance pour qu'il refasse l'opération". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎DURRELL Lawrence‎

‎Lettre autographe signée adressée à Jani Brun : "Toi, tu peux m'écrire en Français. J'ai du mal à l'écrire mais je le comprends très bien".‎

‎- Paris 18 juillet 1969, 21,6x28cm, 1 page sur un feuillet, enveloppe jointe. - Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à son amante Jani Brun datant du début de leur relation. Une page au stylo bille bleu. Enveloppe jointe. L'écrivain adresse ici une des premières lettres de sa correspondance avec sa jeune amie montpelliéraine, qui s'étendit sur plus de deux décennies. Encore peu habitué à la langue française, il demanda de l'aide pour traduire sa lettre : "J'espère bien mieux te connaître [...] Gérard a traduit ceci de l'anglais pour moi. Comprendrais-tu si la prochaine fois j'écrivais en anglais [...] ?" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

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‎Lettre autographe signée adressée à Jani Brun depuis Montréal : "mais c'est loin, bien loin de Montpellier : c'est l'âme qui devient sourd, muet, entassée dans la neige et les brumes de printemps"‎

‎- Montréal 11 mars 1968, 13,7x21,5cm, 2 pages sur un feuillet, enveloppe jointe. - Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, deux pages rédigées au stylo sur un papier à en-être du Ritz-Carlton Hotel de Montréal. Enveloppe jointe. Durant un déplacement à Montréal, l'écrivain adresse une longue missive à sa jeune amante française, qu'il a laissée à regret dans le Midi. Il donne un avis mitigé sur la ville et ses habitants : "la ville est très belle avec les lacs glacées [sic], la neige partout ; on mange bien et on chauffe bien [...] les Quebecois sont très gentils et hospitaliers mais je sens une lourdeur d'esprit qui me rappelle Genève !" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

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‎Lettre autographe signée adressée à Jani Brun à propos du roman Tunc: "maintenant je n'ai plus d'excuses. Il faut vraiment reprendre ce sacré bouquin en main"‎

‎- Sommières 18 juillet 1968, 21,2x13,4cm, 1 feuillet sous enveloppe. - Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre brun, datant du début de leur relation. Pliure centrale inhérente à la mise sous pli de la missive. Enveloppe jointe. L'écrivain, en pleine écriture de son roman Tunc, donne des nouvelles à sa nouvelle amante française dans un français encore hésitant : "Enfin pour le moment pas des [sic] aventures à vous raconter. trop de travail. trop de correspondance. Mon fils (de Claude [-Marie Vincendon, épousée en 1961]) est ici est [sic] aide Barbie avec les papiers. Il la trouve jolie mais moi je suis plein des [sic] sentiments peu charitables. En tous cas maintenant je n'ai plus d'excuses. Il faut vraiment reprendre ce sacré bouquin en main. Je ne serais mais entièrement mécontent de te revoir un de ces jours. si l'idée vous vient". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎DURRELL Lawrence‎

‎Lettre dactylographiée et autographe signée adressée à Jani Brun : "le babysitting ; assez ennuyeux mais on a le temps de travailler ou lire"‎

‎- Sommières 23 janvier 1970, 13x20cm, 1 page sur un feuillet, enveloppe jointe. - Lettre dactylographiée et autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun. Enveloppe jointe. L'amante de l'écrivain envisage un séjour à Londres ; Durrell lui donne des conseils sur les agences de babysitting : "assez ennuyeux mais on a le temps de travailler ou lire ; pour cela il faut déclarer votre intention de rester au moins 6 mois dans le pays (on peut toujours le dire !) [...] N'oubliez pas qu'il y a toujours le grand lycée Français de Londres [...]" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎DURRELL Lawrence (EPFS Oscar)‎

‎Dessin original à l'encre, feutres, crayons et graphite portant une dédicace autographe signée à son amante française‎

‎- 1969, dessin 1963, 31,9x47,6cm, une feuille. - Original drawing in ink, pencil and felt-tip pen with an autograph inscription signed to his French lover 1969 | drawing 1963 | 31.9 x 47.6 cm | single sheet An original drawing signed and dated 1963, on thick paper, with an autograph inscription from the artist at the bottom dated 1969. An exceptional original ink, pencil, and felt-tip color drawing by Lawrence Durrell, signed with his artist's pseudonym of '[Oscar] Epfs 1963'». This work was given to his French lover Janine Brun in 1969 and has an exceptional inscription «My dear Buttons. I have asked my friend Oscar Epfs to give me a small drawing for your studio. Here it is. I hope it gives you Happy memories of Paris and meetings with Miller! Your devoted Laurence Durrell / Sommières / 1969.» This work is steeped in his long years in Greece and one can see one of Durrell's favorite themes, the Greek church with its dome and cross, recalling the island landscapes so dear to the author. In varicolored inks and colored pencils, his drawings are bathed in Mediterranean light and enriched with miniatures in felt-tip. Durrell kept up his writing and painting right to the end of his life at Sommières, paying homage to Provence and the Mediterranean with his numerous drawings and gouaches, as well as his final novel, Caesar's Vast Ghost. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Dessin original signé et daté de 1963, réalisé sur papier fort encollé sur carton au moyen d'adhésif noir, agrémenté d'une dédicace autographe en partie inférieure datée par l'artiste de 1969. Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de ses romans Bitter Lemons of Cyprus et Justine, il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «?maison Tartès?», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante «?Jany?» (Janine Brun), Montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «?Buttons?» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «?Buttons?», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes sur un menu de restaurant et à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. Exceptionnel dessin original à l'encre, au graphite, aux feutres et crayons de couleur de Lawrence Durrell, signé de son pseudonyme d'artiste «?[Oscar] Epfs 1963?». L'œuvre fut offerte en 1969 à son amante française Janine Brun, et porte une exceptionnelle dédicace «?My dear Buttons. I have asked my friend Oscar Epfs to give me a small drawing for your studio. Here it is. I hope it gives you Happy memories of Paris and meetings with Miller?! Your devoted Laurence Durrell / Sommières / 1969.?» (Ma chère «?Buttons?». J'ai demandé à mon ami Oscar Epfs de me donner un petit dessin pour votre appartement. J'espère qu'il vous rappellera d'heureux souvenirs de Paris et de rencontres avec Miller?‎

‎DURRELL Lawrence GERSON Mark‎

‎Photographie signée de Lawrence Durrell à une jeune française‎

‎- 1970, 21,9x16,2cm, une feuille. - Photograph signed by Lawrence Durrell to a young French lady 1970 | 21.9 x 16.2 cm | one photograph Original black and white photograph of Lawrence Durrell signed and dated, taken by the photographer Mark Gerson, and bearing his stamp on the back: «Photograph by MARK GERSON, FIIP. ARPS. 24, Cavendish Ave., St. John's Wood, London NW8». Original photograph in black and white of Lawrence Durrell with the author's handwritten signature: «Buttons you are impossible 1970,» addressed to Janine Brun, his young French lover. The writer is smiling in front of the camera of the photographer famous for writers' portraits, Mark Gerson, at a book signing in London for the release of Tunc, the first volume of his dystopian series entitled The Revolt of Aphrodite. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Photographie originale de Lawrence Durrell signée et datée, réalisée par le photographe Mark Gerson, et portant son tampon au verso : "¨Photograph by MARK GERSON, FIIP. ARPS. 24, Cavendish Ave., St. John's Wood, London NW8". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de ses romans Bitter Lemons, il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes sur un menu de restaurant et à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. Photographie originale en noir et blanc de Lawrence Durrell portant une signature autographe de l'auteur : "Buttons you are impossible 1970", adressé à Janine Brun, sa jeune amante française. L'écrivain pose souriant devant l'objectif du célèbre photographe portraitiste d'écrivains Mark Gerson, à l'occasion d'une séance de signatures à Londres pour la parution de Tunc, le premier voume de sa série d'ouvrages distopiques intitulée La Révolte d'Aphrodite. Cette photographie fut adressée à une jeune amante de l'auteur, qui, à Sommières comme à Paris, égaya ses journées solitaires à la fin des années soixante et soixante-dix. Janine Brun, aussi surnommée "Buttons" dans les lettres de l'écrivain, fut ainsi décrite par le biographe de Durrell Ian McNiven : "She was almost thirty but she looked much younger, with a girl's small-breasted figure, as dark-haired as Claude Kiefer was blonde, and not languorous but tremendously energetic" (" Elle avait presque trente ans mais avait l'air bien plus jeune, avec une silhouette de jeune fille aux seins menus, aussi brune que Claude Kiefer [une autre de ses amantes, femme d'un chirurgien suisse] était blonde, pas tant langoureuse qu'extrêmement énergique", (Lawrence D‎

‎DURRETT Elmer "Red" 1921 92‎

‎Signature and Inscription‎

‎The Brooklyn Dodgers debuted this ball player in 1944 where he remained for two seasons. Large and flamboyant "Respectfully Yours / Elmer 'Red' Durrett" in blue ballpoint on a lined 5" X 3" index card n.p. n.y. Near fine. unknown‎

书商的参考编号 : 21937

Biblio.com

Main Street Fine Books & Manuscripts, ABAA
United States Estados Unidos Estados Unidos États-Unis
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€ 16.92 购买

‎DURRY (Marie-Jeanne).‎

‎Orphée. Poème.‎

‎Paris Flammarion 1976 1 vol. broché in-12, broché, 77 pp. Edition originale avec un envoi de l'auteur. Très bon état.‎

书商的参考编号 : 77877

Livre Rare Book

Vignes Online
Paris France Francia França France
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€ 8.00 购买

‎DURRY (Marie-Jeanne).‎

‎Orphée. Poème.‎

‎Paris Flammarion 1976 1 vol. broché in-12, broché, 77 pp. Edition originale avec un envoi de l'auteur. Très bon état.‎

书商的参考编号 : 77877

Livre Rare Book

Vignes Online
Eymoutiers France Francia França France
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€ 8.00 购买

‎DURRY Jean.‎

‎COUBERTIN autographe I/1889-1915 .‎

‎Comité International Olypique, Editions Cabédita 2003, cartonnage éditeur illustré en couleurs, 23,5x30 cm, 356 pages, illustrations photographiques en noir et blanc, fac-similés 150 documents commentés.‎

‎coins frottés.‎

书商的参考编号 : 4304

Livre Rare Book

Le Barde Bourguignon
Dijon France Francia França France
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€ 50.00 购买

‎Durry, Marie-Jeanne‎

‎Autographes de Mariemont - Première Partie - Avant 1800 - Tome I. De Jean Rolin à Madame de Pompadour. - Tome II. De Vauvenargues à Dolomieu‎

‎Librairie Nizet, Paris, 1955. Forts in-8, deux volumes brochés, 928 pp. Tome I. : Introduction - Note - Lettres et commentaires - Tome II. : Lettres et commentaires - Appendice - Catalogue - Index des noms de personnes - Erratum - Table des illustrations - Table des matières.‎

‎Avec un envoi autographe signé de l'auteur sur le faux-titre du premier volume.Avec un frontispice et quelques reproductions en noir et blanc en hors-texte. --- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com‎

书商的参考编号 : 1888

‎DURRY, Marie-Jeanne‎

‎Orphée [ Livre dédicacé par l'auteur ]‎

‎1 vol. in-8 br., Flammarion, Paris, 1976, 77 pp.‎

‎Belle dédicacé rédigée d'une écriture tremblante : " Pour Jacqueline P... dont je voudrais tant quelle aime cet Orphée et qu'elle l'aide à ressusciter, comme Seghers croit qu'il l'est à la 4ème page de couverture de ce livre Flammarion. Avec ma vieille et toujours vive amitié". Bon état‎

书商的参考编号 : 46919

Livre Rare Book

SARL Librairie du Cardinal
Gradignan France Francia França France
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€ 25.00 购买

‎DURRY, Marie-Jeanne‎

‎Orphée [ Livre dédicacé par l'auteur ]‎

‎1 vol. in-8 br., Flammarion, Paris, 1976, 77 pp. Belle dédicacé rédigée d'une écriture tremblante : " Pour Jacqueline P... dont je voudrais tant quelle aime cet Orphée et qu'elle l'aide à ressusciter, comme Seghers croit qu'il l'est à la 4ème page de couverture de ce livre Flammarion. Avec ma vieille et toujours vive amitié". Bon état Français‎

‎Durst, Matthias, Violinist und Komponist (1815-1875).‎

‎Eigenh. Brief mit U. ("MDurst") aus seiner gedruckten Visitenkarte. O. O. u. D.‎

‎1 S. Visitkartenformat. Beiliegend eine weitere, jedoch unbeschriebene Visitenkarte. An einen namentlich nicht genannten Adressaten: "Ich übersende hier die versprochnen 3 Sperrsitze zur Jüdin v. Toledo zur 2t Vorstellung [...]". - Matthias Durst, ein Schüler von Georg Hellmesberger d. Ä. und Joseph Böhm, war Mitglied des Wiener Hofburgtheaterorchesters und der k. k. Hofkapelle. Seit 1845 spielte er in einem Streichquartett zusammen mit Leopold Jansa, Carl Heißler und Carl Schlesinger, aus dem 1849 das Hellmesberger Quartett hervorgehen sollte.‎

MareMagnum

Inlibris
Wien, AT
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€ 250.00 购买

‎Durst, Matthias, Violinist und Komponist (1815-1875).‎

‎Eigenh. Brief mit U. ("MDurst"). O. O., 4. III. 1875.‎

‎3 SS. auf Doppelblatt. Kl.-8vo. An einen namentlich nicht genannten Adressaten: "Ich erlaube mir zum heutigen 1ten Geselligkeits-Abend Karten zu übersenden. Das Programm lautet [...]". - Matthias Durst, ein Schüler von Georg Hellmesberger d. Ä. und Joseph Böhm, war Mitglied des Wiener Hofburgtheaterorchesters und der k. k. Hofkapelle. Seit 1845 spielte er in einem Streichquartett zusammen mit Leopold Jansa, Carl Heißler und Carl Schlesinger, aus dem 1849 das Hellmesberger Quartett hervorgehen sollte. - Auf Briefpapier mit gepr. Initial.‎

MareMagnum

Inlibris
Wien, AT
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€ 280.00 购买

‎DURTAIN (Luc).‎

‎Douze cent mille.‎

‎Paris, Gallimard, 1922. In-quarto tellière, broché, 266 pp.‎

‎Edition originale. Un des 108 exemplaires réimposé au format in-quarto tellière numéroté sur papier vergé Lafuma-Navarrre (tirage de tête N° VI). Envoi autographe de l'auteur au Dc Lucien Graux. Photos sur demande.‎

书商的参考编号 : 29035

Livre Rare Book

Livres de A à Z
Paris France Francia França France
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€ 180.00 购买

‎DURTAIN (Luc).‎

‎Douze cent mille.‎

‎Paris, Gallimard, 1922. In-quarto tellière, broché, 266 pp. Edition originale. Un des 108 exemplaires réimposé au format in-quarto tellière numéroté sur papier vergé Lafuma-Navarrre (tirage de tête N° VI). Envoi autographe de l'auteur au Dc Lucien Graux.‎

‎DURTAIN (Luc).‎

‎Face à face ou le poète et toi.‎

‎Paris A. Monnier et Cie, La Maison des Amis des Livres 1921 1 vol. 3 ff. non ch. + 66 pp. + 3 ff. non ch., sous couverture jaune , imprimée en noir, avec vignette de Daragnès, 193 x 144 mm. Impression en caractères Didot à Dijon par Darantière à 575 exemplaires, dont 50 sur vergé d'Arches (I-L), 25 vergé d'Arches hors commerce (A-Z) et 500 vergé (book paper) (1-500). broché Edition originale de cet essai d'inspiration unanimiste, une généreuse célébration de la poésie écrite à la deuxième personne du singulier pour mieux signifier au lecteur qu'elle est la seule réponse appropriée à ses besoins moraux. Exemplaire numéroté sur vergé enrichi d'un envoi de l'auteur. Dos usé avec légers manques de papier en coiffes. Couverture défraîchie. Intérieur propre.‎

书商的参考编号 : 65090

Livre Rare Book

Vignes Online
Paris France Francia França France
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€ 30.00 购买

‎DURTAIN (Luc).‎

‎Face à face ou le poète et toi.‎

‎Paris A. Monnier et Cie, La Maison des Amis des Livres 1921 1 vol. 3 ff. non ch. + 66 pp. + 3 ff. non ch., sous couverture jaune , imprimée en noir, avec vignette de Daragnès, 193 x 144 mm. Impression en caractères Didot à Dijon par Darantière à 575 exemplaires, dont 50 sur vergé d'Arches (I-L), 25 vergé d'Arches hors commerce (A-Z) et 500 vergé (book paper) (1-500). broché Edition originale de cet essai d'inspiration unanimiste, une généreuse célébration de la poésie écrite à la deuxième personne du singulier pour mieux signifier au lecteur qu'elle est la seule réponse appropriée à ses besoins moraux. Exemplaire numéroté sur vergé enrichi d'un envoi de l'auteur. Dos usé avec légers manques de papier en coiffes. Couverture défraîchie. Intérieur propre.‎

书商的参考编号 : 65090

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Eymoutiers France Francia França France
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€ 30.00 购买

‎DURTAIN (Luc).‎

‎La Fuite des sirènes (Mémoires de votre vie, II).‎

‎Paris Flammarion 1948 1 vol. broché in-12, broché, 440 pp. Edition originale en service de presse avec un bel envoi de l'auteur à Marcel Haedrich. Dos un peu usé en pied. Très bon état.‎

书商的参考编号 : 20848

Livre Rare Book

Vignes Online
Paris France Francia França France
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€ 18.00 购买

‎DURTAIN (Luc).‎

‎La Fuite des sirènes (Mémoires de votre vie, II).‎

‎Paris Flammarion 1948 1 vol. broché in-12, broché, 440 pp. Edition originale en service de presse avec un bel envoi de l'auteur à Marcel Haedrich. Dos un peu usé en pied. Très bon état.‎

书商的参考编号 : 20848

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Eymoutiers France Francia França France
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‎DURTAIN (Luc).‎

‎Lettre autographe signée adressée à [Ali Héritier, journaliste à Cinémonde].‎

‎1929 1 p. in-4, à son adresse imprimée du "20 Boulevard Barbès " (Paris), 13 juillet 1929. De l'influence du cinéma, art naissant, sur le théâtre. "Comme la photographie a nettoyé la peinture de ce qui n'était pas "peinture", je crois que le cinéma pourra faire apparaître dans le théâtre maintes parties, maintes habitudes qui ne sont pas "théâtre" "...‎

书商的参考编号 : 110759

Livre Rare Book

Vignes Online
Paris France Francia França France
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€ 40.00 购买

‎DURTAIN (Luc).‎

‎Lettre autographe signée adressée à [Ali Héritier, journaliste à Cinémonde].‎

‎1929 1 p. in-4, à son adresse imprimée du "20 Boulevard Barbès " (Paris), 13 juillet 1929. De l'influence du cinéma, art naissant, sur le théâtre. "Comme la photographie a nettoyé la peinture de ce qui n'était pas "peinture", je crois que le cinéma pourra faire apparaître dans le théâtre maintes parties, maintes habitudes qui ne sont pas "théâtre" "...‎

书商的参考编号 : 110759

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‎DURTAIN (Luc).‎

‎Manuscrit trouvé dans une île.‎

‎Paris, Georges Crès, Collection "Les Proses", 1913. In-12, broché, couverture rempliée et imprimée en deux tons, 175 pp.‎

‎Edition originale. Un des 60 exemplaires numérotés sur alfa teinté (N° 39), seul tirage en grand papier avec 10 ex sur Hollande. Enrichi d'un envoi autographe de l'auteur. Bel exemplaire. Photos sur demande.‎

书商的参考编号 : 6476

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Livres de A à Z
Paris France Francia França France
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€ 70.00 购买

‎DURTAIN (Luc).‎

‎Manuscrit trouvé dans une île.‎

‎Paris Georges Crès, coll. "Les proses" 1913 1 vol. Broché in-12, broché, couverture rempliée, 175 pp. Edition originale tiré à 625 exemplaires, celui-ci numéroté sur alfa teinté (sans la page de faux-titre). On joint un texte autographe signé de l'auteur pour saluer la naissance de la Guilde littéraire (1 page in-4, sur papier à en-tête, 10 mai 1933).‎

书商的参考编号 : 117193

Livre Rare Book

Vignes Online
Paris France Francia França France
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€ 30.00 购买

‎DURTAIN (Luc).‎

‎Manuscrit trouvé dans une île.‎

‎Paris Georges Crès, coll. "Les proses" 1913 1 vol. Broché in-12, broché, couverture rempliée, 175 pp. Edition originale tiré à 625 exemplaires, celui-ci numéroté sur alfa teinté (sans la page de faux-titre). On joint un texte autographe signé de l'auteur pour saluer la naissance de la Guilde littéraire (1 page in-4, sur papier à en-tête, 10 mai 1933).‎

书商的参考编号 : 117193

Livre Rare Book

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Eymoutiers France Francia França France
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€ 30.00 购买

‎DURTAIN (Luc).‎

‎Manuscrit trouvé dans une île.‎

‎Paris, Georges Crès, Collection "Les Proses", 1913. In-12, broché, couverture rempliée et imprimée en deux tons, 175 pp. Edition originale. Un des 60 exemplaires numérotés sur alfa teinté (N° 39), seul tirage en grand papier avec 10 ex sur Hollande. Enrichi d'un envoi autographe de l'auteur. Bel exemplaire.‎

????? : 64,812 (1297 ?)

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