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‎Zola emile‎

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‎ZOLA (Emile).-‎

‎Les quatre évangiles. FECONDITE..‎

‎1899 Paris,Charpentier Fasquelle, 1899, in 12 relié demi-veau rouge, dos lisse orné de filets dorés, 751 pages ; mention de mille sur le titre.‎

‎...................... Photos sur demande ..........................‎

Bookseller reference : 85375

‎[ZOLA] - MITTERAND (Henri) - BECKER (Colette) - LEDUC-ADINE (Jean-Pierre).-‎

‎Genèse, structures et style de la Curée.‎

‎1987 Paris, SEDES, 1987, in 12 broché, 231 pages.‎

‎...................... Photos sur demande ..........................‎

Bookseller reference : 85681

‎ZOLA Emile‎

‎La faute de l'Abbé Mouret. Bois de Maurice Achener.‎

‎Paris G. & A. Mornay / Les beaux livres (n° 14) 1922 Un volume in-8°, 446 pp. Reliure en demi-chagrin marron à coins, dos à nerfs orné, auteur et titre or, tête dorée, dos et couvertures conservés (AUFSCHNEIDER). (dos et mors frottés). Ravissante édition ornée de bois gravés de Maurice Achener. Tirage limité à 1000 exemplaires numérotés, un des 946 sur papier de Rives numérotés (n° 837). Intérieur frais.‎

Bookseller reference : 019656

Livre Rare Book

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€75.00 Buy

‎MANET (Édouard), ZOLA, BAUDELAIRE, MALLARMÉ, PROUST, JAMOT, VALÉRY‎

‎MANET raconté par lui-même et par ses amis.‎

‎Vésenaz-Genève Pierre Cailler / Les grands artistes racontés par eux-mêmes et par leurs amis 1945 un volume in-8°, 251 pp., couverture beige titrée en rouge et illustrée d'une vignette en noir, sous papier cristal imprimé d'origine . (couverture légèrement brunie en marge, dos un peu creusé, petites fentes au papier cristal, quelques roussseurs sur la gouttière et débordant très légèrement sur la marge des vingt dernières pages). Biographie. Bibliographie. avec 23 illustrations.‎

Bookseller reference : 022215

Livre Rare Book

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‎ZOLA (Emile)‎

‎Les Rougon-Macquart. LA CONQUÊTE de PLASSANS.‎

‎Paris G. Charpentier et Cie, éditeurs 1885 un volume in-12° (180 x 120mm), [2] ff. 402 pp. Reliure de l'époque en demi-percaline rouge à coins à la Bradel, dos lisse orné d'une pièce de titre et d'un petit fer or, gardes cailloutées. (dos insolé et légèrement frotté, un cahier détaché, présence d'une petite auréole jaune au bas des feuillets 111-112 et 113-114, une auréole claire en milieu des pages 181 à 187, feuillets légèrement brunis).‎

Bookseller reference : 023109

Livre Rare Book

Aparté
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€45.00 Buy

‎ZOLA (Émile), MAUPASSANT (G. de), HUYSMANS (J.K.), CEARD (Henri), HENNIQUE (L.), ALEXIS (Paul)‎

‎Les Soirées de Médan. Nouvelle édition.‎

‎Paris G. Charpentier et Cie, éditeurs 1890 un volume in-12°, (6) 295 pp. Reliure de l'époque à la Bradel en demi-percaline à coins rouge, étiquette de titre au dos. (dos insolé et un peu sali, corps de l'ouvrage un peu gauchi, feuillets brunis).‎

Bookseller reference : 023179

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‎ZOLA (Émile)‎

‎Les Rougon-Macquart. SON EXCELLENCE EUGÈNE ROUGON.‎

‎Paris BIBLIOTHÈQUE-CHARPENTIER, Eugène FASQUELLE, éditeur 1898 Un volume in-12°, [2] ff., 462 pp. Reliure de l'époque en demi-percaline à coins rouge à la Bradel, étiquette de titre et petit fer doré au dos, gardes de papier caillouté. (dos insolé et légèrement sali, feuillets uniformément brunis). Édition avec mention de " trente-deuxième mille ".‎

Bookseller reference : 023393

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‎ZOLA (Emile)‎

‎Carnets d'enquêtes. Une ethnographie inédite de la France.‎

‎Paris Terre Humaine / Plon 1986 un fort volume in-8°, 686 (6) pp. Reliure éditeur en toile noire, dos et plat titrés, jaquette illustrée. Avec 52 illustrations hors-texte, 49 illustrations in texte, 3 cartes et un index.‎

Bookseller reference : 026636

Livre Rare Book

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€25.00 Buy

‎ZOLA (Emile)‎

‎L'ASSOMMOIR. édition illustrée‎

‎Paris C. MARPON et E. FLAMMARION, sans date 0 un volume (275 x 182 mm), (4) 466 pp. reliure en demi-basane fauve, dos à nerfs orné, gardes de papier cailloutée. (reliure époque). (dos légèrement frotté et comportant une petite auréole sombre en tête, coiffe inférieure ouverte, gouttière et tranches roussies, feuillets brunis). Ouvrage illustré par plusieurs artistes : Gaston Latouche, André Gill, Alfred Garmer, Frederic Regamay, Maurice Leloir, G.Bellanger, Pierre Auguste Renoir( pp.137 - 193 - 273 - 369 ). Gravés par Meaulle, Kemplen, Froment, Léveillé. Peu courant.‎

Bookseller reference : 026845

Livre Rare Book

Aparté
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‎ZOLA (Emile), CSERNUS (Tibor), FONTANAROSA, TERLES (Jean)‎

‎Autres Chefs-d'ouvre. Pot-Bouille - Germinal - La bête humaine.‎

‎Paris nrf - Gallimard 1958 un fort volume in-4°, 806 pp. Reliure à la Bradel, dos et plats décorés de fers spéciaux d'après la maquette de Paul BONET, étui décoré. (rhodoïd manquant, présence de nombreux petits points sombres sur les plats et sur le dos). Édition illustrée de 32 aquarelles par CSERNUS, FONTANAROSA et Jean TERLES. Tirage limité à 10 250 exemplaires sur vélin Plumex des papeteries Téka, un des 10 000 numérotés (n° 7843). Intérieur frais.‎

Bookseller reference : 026958

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‎ZOLA Emile‎

‎NOUVELLE CAMPAGNE - 1986-‎

‎1896 NOUVELLE CAMPAGNE - 1896- Cinquième mille.Charpentier ,1897, in12 1/2 toile fauve à la bradel , 296 pp.Très bon état.‎

Bookseller reference : 165732

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‎ZOLA Emile‎

‎CONTES A NINON . Nouvelle édition.‎

‎1879 CONTES A NINON . Nouvelle édition.Charpentier ,1879 in12 1/2 toile fauve à la bradel , 360 pp.Rousseurs sur les 3 premières et dernières pages.Très bon état.‎

Bookseller reference : 165806

Livre Rare Book

Nord - Sud
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‎Émile ZOLA - Guy de MAUPASSANT‎

‎La bête humaine & Fort comme la mort. In La Vie Populaire : années 1888, 1889, 1890 complètes‎

‎La Vie Populaire | Paris 1er Janvier 1888 au 28 Décembre 1890 | 24.50 x 32.50 cm | 312 fascicules reliés en 6 volumes‎

‎Edition originale de cette revue bi-hebdomadaire illustrée publiant en feuilletons soient des textes inédits, soient des textes précédemment publiés des auteurs les plus illustres de cette fin de siècle. Reliures en demi chagrin cerise, dos à cinq nerfs orné de filets à froid comportant de petites traces de frottements, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, premiers plats de couverture illustrés conservés, reliures de l'époque. Riches contributions littéraires dont celles de G. de Maupassant avec notamment en inédit "Fort comme la mort" et aussi "Pierre et Jean" et "Notre coeur", E. Zola en inédit "La bête humaine" et aussi le "Voeu d'une morte" "Le rêve", "La terre" et "Une page d'amour", P. Loti avec un roman inédit "Le roman d'un enfant", J. Clarétie avec un roman inédit "Puy Joli", J. Richepin avec un roman inédit "Le cadet" et "Césarine, 2 inédits d'H. Malot, mais aussi A. Daudet, C. Monselet, E. Renan, L. Dierx, E. Goudeau, J. Barbey d'Aurevilly, O. Mirbeau avec notamment "L'abbé Jules", M. Beaubourg, C. Mendès, P. Arène, T. de Banville, F. Mistral, J. Bois, G. Courteline, J. Barbey d'Aurevilly, Villiers de l'Isle Adam, S. Masoch, A. Scholl, J. Gautier... Couvertures illustrées des portraits des principaux contributeurs. Une restauration marginale en pied de la page 213 du premier volume, un petit manque en pied avec atteinte au texte de la page 383 du second, quelques rares rousseurs sans gravité. Agréable et rare ensemble. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 23990

‎Émile ZOLA‎

‎Contes à Ninon‎

‎J. Hetzel et A. Lacroix | Paris s. d. [1864] | 12 x 18 cm | relié‎

‎Edition originale dont il n'a pas été tiré de grands papiers. Reliure en demi chagrin rouge, dos légèrement passé à quatre nerfs orné de triples filets à froid, reliure de l'époque. Quelques rousseurs, sinon bel et rare exemplaire du premier ouvrage d'Emile Zola établi dans une reliure d'époque de qualité très satisfaisante. Rare et recherché. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 28266

‎Émile ZOLA - COLLECTIF‎

‎Guy de Maupassant. In Europe n°482 de la 47e année‎

‎Europe | Paris Juin 1969 | 13.50 x 21.50 cm | broché‎

‎Edition originale. Contributions de P. Gamarra "Maupassant ancien et moderne", M. Cury "La notion de temps dans la nouvelle" J.-P. Han " Un précurseur du nouveau roman?"... Agréable exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 35611

‎Émile ZOLA‎

‎Documents littéraires‎

‎Charpentier | Paris 1881 | 12 x 18.50 cm | relié‎

‎Edition originale. Reliure à la bradel en pleine percaline rouge, dos lisse orné d'un motif floral doré, date et double filet dorés en queue, pièce de titre de chagrin noir, reliure de l'époque signée à froid de Pierson. Quelques petites rousseurs affectant essentiellement les premiers et tous derniers feuillets. Ex-libris d'Adolphe Racot encollé au verso du premier plat de reliure. A propos de Victor Hugo, Alfred de Musset, George Sand, François-René de Chateaubriand, Théophile Gautier, Alexandre Dumas fils... Envoi autographe signé de Emile Zola à Adolphe Racot. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 45284

‎Émile ZOLA‎

‎Contes à Ninon‎

‎J. Hetzel & A. Lacroix | Paris 1864 | 11 x 18 cm | relié‎

‎Edition originale du premier ouvrage de l'auteur. Reliure en demi chagrin rouge, dos à quatre nerfs sertis de filets dorés orné de triples caissons dorés, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, tampon à froid de bibliophile en tête d'une garde, tranches mouchetées, reliure de l'époque. Une pâle mouillure sur les 70 premières pages, quelques petites rousseurs. Précieux et rare envoi autographe signé d'Emile Zola sur ce texte à monsieur Boucher. Il existe très peu d'exemplaires de ce texte enrichis d'un envoi autographe. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 52158

‎Émile ZOLA‎

‎Retour de voyage. - Lettre du capitaine Tanera sur la débâcle‎

‎Société des Amis des Livres Alphonse Lemerre | Lyon & Paris 1892 | 12 x 18.50 cm | 2 volumes reliés en 1‎

‎Edition originale, un des 20 exemplaires numérotés sur Hollande, tirage de tête après 5 chamois. Reliure en demi maroquin rouge à coins, dos à cinq nerfs, date dorée en queue, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, couvertures conservées, deux coins légèrement émoussés, tête dorée, reliure signée Canape & Corriez. On a relié en tête de l'ouvrage, l'édition originale, également sur Hollande, de la lettre du capitaine Tanera sur la Débâcle parue chez Alphonse Lemerre en 1892. Agréable et rare ensemble. Envoi autographe signé d'Emile Zola : "A M. Rubattel, en remerciement de la très aimable idée qu'il a eue de publier cette élégante plaquette". - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 53028

‎Guy de MAUPASSANT - Émile ZOLA - Joris-Karl HUYSMANS‎

‎Les soirées de Médan‎

‎Charpentier | Paris 1880 | 12 x 19 cm | relié‎

‎Édition originale sur papier courant. Reliure en demi chagrin vert bouteille, dos à cinq nerfs orné de motifs floraux dorés, plats de papier marbré, tranches mouchetées, reliure de l'époque. Bel et rare exemplaire établi dans une reliure strictement de l'époque. Notre exemplaire est enrichi des signatures manuscrites de Guy de Maupassant, Emile Zola, Joris-Karl Huysmans, Léon Hennique, Paul Alexis et Henri Céard sur la première garde. * Ce véritable manifeste du Naturalisme que constituent Les Soirées de Médan se compose de six nouvelles, « L'Attaque du moulin » d'Émile Zola, « Sac au dos » de J.-K. Huysmans, « La Saignée » d'Henry Céard, « L'Affaire du grand 7 » de Léon Hennique, « Après la bataille » de Paul Alexis, et bien sûr, « Boule de Suif » de Guy de Maupassant, qualifiée de chef-d'uvre par Gustave Flaubert. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 53303

‎Guy de MAUPASSANT - Émile ZOLA - Joris-Karl HUYSMANS‎

‎Les soirées de Médan‎

‎Charpentier | Paris 1880 | 12 x 19 cm | relié‎

‎Edition originale sur papier courant. Reliure à la bradel en demi maroquin bleu marine, dos lisse, pièce de titre de maroquin bordeaux, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, tranches mouchetées, ex-libris encollé sur un contreplat, reliure signée de Kauffmann. Précieux envoi autographe signé de Guy de Maupassant : «À mon aimable cousine Lucie Le Poittevin et à mon cher cousin, beau-fils de Cornudet lui-même, leur bien dévoué...» Notre exemplaire est enrichi de deux billets manuscrits et signés de Léon Hennique et Henri Céard. Ce véritable manifeste du Naturalisme que constituent Les Soirées de Médan se compose de six nouvelles, «L'Attaque du moulin» d'Émile Zola, «Sac au dos» de J.-K. Huysmans, «La Saignée» d'Henry Céard, «L'Affaire du grand 7» de Léon Hennique, «Après la bataille» de Paul Alexis, et bien sûr, «Boule de Suif» de Guy de Maupassant. Qualifiée de chef-d'uvrepar Gustave Flaubert, cette nouvelle est tirée d'une anecdote contée à Maupassant par son oncle, Charles Cord'Homme. Plus encore, celui-ci inspire au jeune écrivain Cornudet, le personnage masculin principal de «Boule de Suif». L'envoi de Maupassant confirme cette influence dans l'hommage qu'il rend à son cousin et confident, Louis-Paul Le Poittevin, beau-fils de Charles Cord'Homme alias Cornudet. Cet envoi est mentionné par Armand Lanoux dans son ouvrage Maupassant le Bel Ami: «Boule de Suif n'est pas sorti de l'imagination du conteur. Le modèle d'Elisabeth Rousset s'appelait Adrienne Legay. Charles Cord'Homme l'avait connue avant 1870. Il s'en défendra plus tard, mais il ne pouvait effacer, entre autres la dédicace faite par Maupassant à ses cousins Louis et Lucie Le Poittevin, ce dernier présenté comme beau-fils de Cornudet lui-même.» Guy de Maupassant séjourna à de nombreuses reprises à La Neuville - la propriété normande des Le Poittevin -, notamment à l'occasion de ses 30 ans en août 1880, quatre mois après la publication desSoirées de Médan. C'est très vraisemblablement lors de cette visite qu'il leur offrit ce recueil. Dans son édition de la Correspondance inédite de Maupassant, Artine Artinian souligne: «Les rapports de Maupassant avec ses cousins Le Poittevin sont ceux d'une ancienne, franche et cordiale amitié.» À l'occasion du mariage de Louis et Lucie en 1869, l'écrivain avait en effet prédit à son cousin: «Je serai si tu veux l'ami de ton ménage.» L'un et l'autre furent de véritables confidents, en témoigne leur correspondance, et en 1884, Maupassant ira jusqu'à vivre quelques temps dans leur hôtel particulier rue Montchanin à Paris. Belle démonstration de l'attachement profond de Maupassant à sa famille maternelle. Provenance : de la bibliothèque d'Alain de Suzannet avec son ex-libris encollé sur un contreplat contreplat; Gérard de Berny (vente, Giraud-Badin, novembre 1958, n°293). Rare exemplaire d'une remarquable provenance. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 57714

‎Émile ZOLA‎

‎Madame Sourdis‎

‎Eugène Fasquelle | Paris 1929 | 14 x 20.40 cm | relié‎

‎Edition en partie originale de ce recueil posthume de nouvelles. Un des 115 exemplaires numérotés sur papier de Hollande, après 30 Japon impérial. Le recueil contient 8 récits : Madame Sourdis, L'attaque du moulin, Une victime de la réclame, Voyage circulaire, Une farce ou Bohèmes en villégiature, Comment on se marie, Trois guerres, Angéline ou la maison hantée. Trois de ces textes seulement avaient paru en libraire de son vivant : L'attaque du moulin (Les soirées de Médan, 1880) ; Une farce (Anthologie contemporaine des écrivains français et belges, 1888) ; Trois guerres (Bagatelles, 1892). Reliure en demi maroquin havane à coins de chagrin vert bronze. Dos à 2 nerfs orné d'une composition florale de plusieurs fers. Pièce de titre en maroquin rouge à grains longs. Dos légèrement et uniformément éclairci. Un coin frotté. Légers frottements à une bordure, en tête. Bel exemplaire au papier immaculé. Couvertures et dos conservés. Exemplaire tel que paru, non rogné, avec ses cahiers de différentes dimensions. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 62624

‎Etienne CARJAT - Émile ZOLA‎

‎Portrait de Emile Zola‎

‎Goupil & Cie | Paris 1880 | 24 x 33 cm | une feuille‎

‎Photoglyptie issue de la Galerie contemporaine. Portrait de Zola à l'âge de 35-40 ans. Feuille cartonnée sur laquelle on a contrecollé une photoglyptie de 19x24cm. Légende en bas du carton : Galerie Contemporaine, 126 boulevard de Magenta. Phot. Goupil et Cie. Cliché Carjat, 10, rue Notre-Dame de Lorette. Une minuscule pastille blanche dans la barbe. Très bel état. Proche d'un tirage au charbon par ses tons chauds et profonds, la photoglyptie est un procédé photomécanique complexe de reproduction phographique dont l'édition usa durant environ 20 ans, de 1875 à 1895. Cherchant une image idéale et esthétique des hommes célèbres, les plaques étaient toujours retouchées et repeintes, pour gommer une ride disgracieuse ou un défaut trop gênant, lustrer les cheveux, etc. C'est ainsi que la photographie et l'estampe se rejoignent dans une représentation nouvelle. La Galerie Contemporaine devint une maison d'édition qui vendait les images des hommes contemporains, ces images furent assemblées en 8 volumes in-folio par Paul de Lacroix mais continuaient à se vendre à part au siège de la Galerie Contemporaine. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 71646

‎Émile ZOLA‎

‎"Je n'ai eu des nouvelles de Manet qu'indirectement, par Duret. [...] On m'a dit que la déconfiture d'Hoschedé avait jeté la misère dans le camp impressionniste." Lettre autographe signée adressée à Louis-Edmond Duranty‎

‎L'Estaque - Marseille 22 septembre 1877 | 13.30 x 20.80 cm | 3 pages 1/2 sur un double feuillet‎

‎Lettre autographe signée d'Emile Zola adressée à Louis-Edmond Duranty, rédigée à l'encre noire sur un double feuillet.Quelques ratures et corrections ; pliures inhérentes à l'envoi. Cette lettre a été transcrite dans la correspondance complète d'Emile Zola éditée par le CNRS et les Presses de l'Université de Montréal. Longue lettre évoquant la canicule à l'Estaque, Une page d'amour et Edouard Manet. «Il y a quatre mois que nous sommes ici, et je vous avais promis de vous écrire. Mais j'ai tant travaillé et j'ai eu si chaud, que vous m'excuserez de mon apparente paresse. Imaginez-vous que jusqu'au 15 août, la température a été très agréable; il faisait beaucoup moins chaud qu'à Paris et nous respirions chaque soir une brise de mer délicieuse. Puis, voilà que, brusquement, lorsque je nous croyais hors de toutes mauvaises plaisanteries de la chaleur, le thermomètre est monté à 40 degrés et s'y est maintenu nuit et jour. Nous avons ainsi passé deux semaines intolérables. Aujourd'hui, la fraîcheur est revenue, et nous allons rester jusqu'aux premiers jours de novembre pour jouir des charmes d'un bel automne.» En cet été 1877, Zola quitte la tumultueuse capitale pour un séjour de cinq mois à l'Estaque («banlieue de Marseille») en compagnie de son épouse Alexandrine et de sa mère, Emilie Aubert. Cette longue parenthèse méridionale lui rappelle sa jeunesse aixoise: «Je suis d'ailleurs enchanté de mon été. Les pays est splendide et me rappelle toute ma jeunesse.» «Pour finir avec moi, j'ajouterai que j'ai travaillé vigoureusement à mon roman, sans pourtant l'avancer autant que je l'aurais voulu. Ce roman doit paraître dans le Bien Public à partir du 14 novembre. J'en serai quitte pour donner encore un vigoureux coup de collier à Paris.» Le nouveau roman dont il est ici question est Une page d'amour dont l'intrigue et le style tranchent complètement avec le précédent volume des Rougon-Maquart: «Je ne sais vraiment pas ce que vaut mon travail. J'ai voulu donner une note absolument opposée à celle de L'Assommoir, ce qui me déroute parfois et me fait trouver mon roman bien gris. Mais je vais tout de même bravement mon chemin. Il faudra voir.» Mais cette «page d'amour» en cache une autre et, durant ce séjour dans la fournaise marseillaise, Emile Zola songe déjà au tome suivant:«Ce qui mijote dans sa marmite méridionale, ce n'est rien de moins qu'une nouvelle bombe. Non pas Une page d'amour: «c'est une uvre trop douce pour passionner le public». Mais estNana d'ores et déjà annoncée: «Je rêve ici une Nana extraordinaire. Vous verrez ça.» [lettre à Marguerite Charpentier du 21 août 1877]» (Henri Mitterrand, Zola) Même si Une page d'amour n'emporta pas un grand succès auprès du public, la critique fut quant à elle relativement enthousiaste. Ainsi Flaubert écrit-il à Zola: «Lundi soir, j'avais fini le volume. Il ne dépare pas la collection. Soyez sans crainte. Et je ne comprends pas vos doutes sur sa valeur. Mais je n'en conseillerais pas la lecture à ma fille si j'étais mère !!! - Car, malgré mon grand âge, ce roman m'a troublé. Et excité. On a envie d'Hélène, d'une façon démesurée. Et on comprend très bien votre docteur.» (vers le 25 avril 1878) L'éloignement de la capitale n'empêche pas Emile Zola de penser à ses amis restés à Paris: «Je n'ai eu des nouvelles de Manet qu'indirectement, par Duret. Travaille-t-il, est-il dans un bon état d'esprit ? - On m'a dit que la déconfiture d'Hoschedé avait jeté la misère dans le camp impressionniste. Je prévoyais ce plongeon depuis l'année dernière.» «Duret et Duranty envoient [à Zola] quelques échos de la vie des peintres. Duret l'a entretenu de Manet en détail, évoquant les portraits qu'il a commencés, «d'une note hardie et dans le mouvement», mais aussi de son insuccès persistant. [...] Zola apprend d'autre part par Marguerite Charpentier, «la déconfiture» d'Ernest Hoschedé, fastueux commerçant en tissus et en vêtements, grand amateur d'art, et collectionneur de‎

Bookseller reference : 79046

‎Émile ZOLA‎

‎Germinal‎

‎Charpentier | Paris 1886 | 11.50 x 18 cm | relié‎

‎Réédition postérieure d'un an à l'originale. Reliure en demi percaline bleu gris à coins, dos lisse orné d'un fleuron doré au centre et d'un double filet doré en queue, pièce de titre de chagrin marron, discrètes restaurations sur les mors, reliure de l'époque. Envoi autographe d'Émile Zola à l'éditeur Ernest Flammarion. Précieux exemplaire enrichi d'un envoi autographe de l'auteur sur le plus célèbre de ses Rougon-Macquart. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 80040

‎Adolphe WILLETTE - Émile ZOLA - Jean LORRAIN‎

‎Le Chat noir N°148 de la troisième année du samedi 8 Novembre 1884‎

‎Au cabaret Le Chat noir | Paris 1884 | 31 x 45 cm | en feuillets‎

‎Edition originale. Le numéro se constitue de 4 pages et est illustré d'une bande dessinée à pleine page d'Adolphe Willette "Les monstres de Paris : Francisque Sarcey". Contributions littéraires d'Emile Zola "Une idylle", Georges Auriol "La fête des morts", Auguste Marin "L'olivier", Léo Niversac "Bulletin du Chat Noir"... Quelques petites déchirures marginales sans gravité. Le Chat noir est une revue hebdomadaire créée par Rodolphe Salis et Emile Goudeau, publiée de 1882 à 1897, dans le but de promouvoir le célèbre cabaret du même nom dont elle se veut la mémoire. On y publie les textes déclamés durant les spectacles. Il s'agit, en outre, d'un important témoignage littéraire et artistique de la fin du XIXe siècle, autour de la bohème et de l'effervescence parisienne qui lui est propre. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 81904

‎Émile ZOLA‎

‎Nouvelle campagne 1896‎

‎Charpentier | Paris 1897 | 12.50 x 19 cm | relié‎

‎Edition originale. Reliure en à la bradel demi percaline verte, dos lisse orné d'un fleuron central doré, date et double filet dorés en queue, pièce de titre de maroquin bordeaux comportant de très légères éraflures marginales, plats de papier marbré, une petite tache claire sur le premier plat, couvertures conservées, reliure de l'époque signée Vié & Sevin. Gardes partiellement ombrées. Envoi autographe d'Emile Zola à Henri Lavedan. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 82383

‎Émile ZOLA‎

‎Germinal‎

‎Charpentier | Paris 1885 | 11.50 x 18.50 cm | relié‎

‎Édition originale, un des 150 exemplaires numérotés sur hollande, seuls grands papiers après 10 japon. Reliure à la bradel en demi maroquin rouge à coins, dos lisse, date dorée en queue, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier peigné, couvertures et dos conservés, reliure début XXe signée Alfred Farez. Provenance : Fondation Napoléon, Bibliothèque de Martial Lapeyre avec son timbre à sec sur la couverture et l'étiquette de sa bibliothèque au dos de la première garde blanche. Notre exemplaire est enrichi d'une lettre autographe signée de deux pages d'Émile Zola à Octave Mirbeau, datée du 15 mars 1885, en réaction à l'article que ce dernier fit paraître dans La France le 11 mars 1885 : « Je lis seulement aujourd'hui votre article sur Germinal et j'ai à vous remercier bien vivement des choses aimables qui s'y trouvent. » L'article de Mirbeau, bien que favorable à l'ouvrage, n'est pas dithyrambique : « L'écriture de Zola n'est pas toujours parfaite ; elle a des incorrections qui irritent, des recherches qui fatiguent, et pourtant c'est un maître écrivain. Écrivain du moment, qui passera malheureusement, car nos fils n'en comprendront pas la langue, et ne verront plus l'intérêt de ses livres, tout d'actualité, et par conséquent fugitif ». Si Mirbeau salue le choix du sujet du roman (« Zola a merveilleusement indiqué, et par des réalités impitoyables, ce qu'il y a d'insalubre et, pour ainsi dire, de fatal dans les disproportions des destinées humaines. D'un côté, la révolte que la misère et la besogne maudite arment, et qui finit par les boucheries sanglantes et les tueries effrayantes ; d'un autre côté, l'indifférence bourgeoise et son incapacité à déplacer le mécanisme de la vie sociale, si injustement doux aux uns, si injustement cruel aux autres. ») Il déplore la vulgarité de l'ouvrage, selon lui emblématique du mouvement naturaliste : « Je n'ai point de répugnance pour le mot cru. Je prétends au contraire qu'il faut savoir ne pas reculer devant lui, quand il est nécessaire à l'effet. [...] M. Zola l'étale avec une sorte de complaisance agaçante ; il y revient avec persistance, comme s'il éprouvait une joie d'enfant à défier le « bégueulisme » bourgeois, à envoyer des pieds de nez à ses pudeurs qui s'effarouchent. Le mot cru finit par emplir le livre ; on ne voit que lui, on ne sent plus que son odeur. Il gâte le plaisir et fige l'admiration ; pourquoi Zola, qui est un maître et un grand esprit ne laisse-t-il pas ces procédés démodés à l'insatiable naturalisme des Trublots, qui barbotent toute leur vie dans la crotte ? Le naturalisme n'a, jusqu'ici produit que M. Paul Alexis et M. Henry Céard - de quoi, j'imagine, il n'y a point lieu de se vanter. » L'article prend progressivement la tournure d'un pamphlet condamnant vivement le courant naturaliste : « Ce qu'on appelle naturalisme est une école singulière, où l'on apprend à ne voir des choses que le détail inutile. [...] Je sais que ce mot de naturalisme a beaucoup servi la fortune de Zola, car, en France, il est nécessaire que le succès, pour être accepté, se colle une étiquette sur le ventre, même une étiquette fausse, et on serait tenté de lui pardonner à cause de cela. Mais aujourd'hui cette fortune est acquise, le succès est éclatant. Zola ne devrait-il pas abandonner cette direction du naturalisme, laquelle ne dirige rien d'ailleurs, et laisse à sa réputation je ne sais quoi d'amoindrissant qui irrite ? Cet admirable écrivain, qui sait donner de la vie au plus petit et au plus fugitif de ses rêves, est un poète aux larges coups d'aile, qui l'emportent malgré lui vers les pures et splendides régions de l'art. Par quelle déraison veut-il faire croire à la foule qu'il a coupé ses ailes, et qu'il rampe tristement sur ses moignons dans la boue du chemin ? » La réponse de Zola, bien que polie et circonstanciée est cinglante : « Mais pourquoi dites-vous que je conduis le naturalisme ? Je ne conduis rien du tout. Voici bientôt quatre ans‎

Bookseller reference : 82388

‎Émile ZOLA‎

‎La faute de l'abbé Mouret‎

‎Charpentier & Cie | Paris 1875 | 11 x 17.50 cm | relié‎

‎Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grand papier. Reliure en demi chagrin rouge, dos lisse orné de triples filets dorés, frise dorée en queue, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, coins émoussés, reliure de l'époque. Quelques petites rousseurs. Bel et très rare exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 83515

‎Émile ZOLA‎

‎Pot-Bouille‎

‎Charpentier & Cie | Paris 1882 | 11 x 17.50 cm | broché‎

‎Edition originale, un des 250 exemplaires numérotés sur hollande, seuls grands papiers après quelques rares chine. Premier plat habilement restauré, tampon imprimé de bibliothèque avec numérotation sur la page de faux-titre. Exemplaire tel que paru. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 83518

‎Émile ZOLA‎

‎"Je vous attends demain matin... pour causer des trois derniers tableaux" Lettre autographe signée adressée au librettiste Louis Gallet‎

‎Paris 20 Février 1890 | 13.50 x 20.50 cm | une page‎

‎Lettre autographe datée et signée d'Emile Zola, 12 lignes à l'encre noire, adressée au librettiste Louis Gallet à propos de l'adaptation à l'opéra par Alfred Bruneau du roman "Le rêve". Pliures inhérentes à l'envoi postal. Emile Zola doit rencontrer conjointement Alfred Bruneau qui a adapté à l'opéra le roman "Le rêve"et Louis Gallet, le librettiste de cette adaptation."Je vous attends demain matin... pour causer des trois derniers tableaux... J'écris également à Bruneau pour lui donner rendez-vous" et se montre très satisfait de cette perspective : "Tout va bien." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 84423

‎Émile ZOLA‎

‎La débâcle‎

‎Charpentier | Paris 1892 | 12.50 x 19 cm | relié‎

‎Edition originale. Reliure en demi maroquin rouge, dos à cinq nerfs, date dorée en queue, restauration en tête d'un mors, plats de papier à la cuve, gardes et contreplats de papier peigné, ex-libris encollé en tête d'un contreplat, tête dorée, reliure de l'époque. Rares rousseurs. Exemplaire agréablement établi. Envoi autographe signé d'Emile Zola à Léopold Kahn qui fut le principal collaborateur de Calmann-Lévy. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 84801

‎Émile ZOLA‎

‎Lettre autographe datée et signée adressée au magnat de la presse Arthur Meyer à qui il recommande Louis de Robert "... vous trouveriez sans doute en lui un excellent rédacteur pour "Le Gaulois"‎

‎Paris 5 Avril 1893 | 13.50 x 20.50 cm | une page et demie‎

‎Lettre autographe datée et signée d'Emile Zola, 23 lignes à l'encre noire sur une page et demie, adressée au patron de presse Arthur Meyer Pliures inhérentes à l'envoi postal. Emile Zola intervient auprès d'Arthur Meyer, patron du journal à grand tirage "Le Gaulois", en faveur de son ami Louis de Robert : "Vous sentirez comme moi que c'est un garçon d'avenir, et je suis convaincu que vous l'utiliserez... Je le connais et je désire qu'il travaille." en qui il reconnait un écrivain de talent : "Me permettrez-vous de vous recommander un de mes jeunes confrères Louis de Robert, dont j'ai lu les chroniques charmantes. Je crois que vous devriez l'encourager, le mettre à l'essai, car vous trouveriez en lui un excellent rédacteur pour "Le Gaulois"..." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 84893

‎Émile ZOLA‎

‎La terre‎

‎G. Charpentier & Cie | Paris 1887 | 12 x 19 cm | broché‎

‎Edition originale sur papier courant. Fortes rousseurs, principalement en début et fin de volume. Exemplaire broché tel que paru. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 85323

‎Émile ZOLA‎

‎Le voeu d'une morte‎

‎Achille Faure | Paris 1866 | 11 x 18 cm | relié‎

‎Edition originale rare de ce roman de jeunesse de l'auteur, oublié face à l'oeuvre des Rougon-Macquart, mais qui préfigure le naturalisme et dont l'histoire est basée sur un fait divers. Le roman est suivi d'Esquisses parisiennes, recueil de 4 petites nouvelles. La seconde édition ne verra le jour qu'en 1889 chez Charpentier. Reliure en demi chagrin brun d'époque. Dos lisse orné de filets noirs. Traces de frottement et coins émoussés. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 85365

‎Émile ZOLA‎

‎Fécondité‎

‎Eugène Fasquelle | Paris 1899 | 11.50 x 18.50 cm | relié‎

‎Edition originale sur papier courant. Reliure en demi chagrin marron, dos légèrement éclairci à cinq nerfs orné de filets noirs, date dorée en queue, plats de papier à la cuve, gardes et contreplats de papier peigné, couvertures conservées, tête dorée, reliure signée David. Une pâle mouillure en pieds des feuillets. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 85489

‎Émile ZOLA‎

‎Le docteur Pascal‎

‎Charpentier | Paris 1893 | 12 x 19 cm | relié‎

‎Edition originale sur papier courant. Le tableau généalogique fait défaut à notre exemplaire. Reliure en demi chagrin rouge, dos à quatre nerfs orné de triples caissons dorés, nom doré en queue, endadrement de filets à froid sur les plats de cartonnage rouge, gardes et contreplats de papier caillouté, reliure de l'époque. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 85495

‎Émile ZOLA‎

‎La Terre‎

‎Charpentier | Paris 1887 | 12 x 18.50 cm | broché‎

‎Edition originale sur papier courant. Rare et bel exemplaire présenté broché tel que paru. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 85820

‎Émile ZOLA‎

‎Thérèse Raquin‎

‎Charpentier & Cie | Paris 1873 | 12 x 18.50 cm | broché‎

‎Edition originale de cette adaptation théâtrale. Dos fendillé et restauré en tête comportant un petit manque en pied, agréable état intérieur. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 85856

‎Émile ZOLA‎

‎Lettre autographe datée et signée adressée à son ami le médecin Maurice de Fleury "je crois bien que j'ai trouvé quelque chose pour le supplément du Figaro"‎

‎Paris 22 oct[obre] 1891 | 13.30 x 20.50 cm | une page sur un bifeuillet‎

‎Lettre autographe datée et signée d'Emile Zola, adressée à son ami le médecin Maurice de Fleury, datée de sa main du 22 octobre 1891. 16 lignes à l'encre noire sur une page. "Mon cher de Fleury, je crois bien que j'ai trouvé quelque chose pour le supplément du Figaro. Venez donc causer entre cinq et dix heures [...] Si vous étiez au Théâtre libre samedi soir, je songe que nous pourrions en causer dans un entr'acte, ce qui vous éviterait de vous déranger [...]". Fleury tenait en effet la chronique médicale du Figaro - c'est peut-être à la suite de de cette lettre et de leurs "causeries" que Fleury rédige ces lignes, dans le supplément du 31 octobre 1891 : "toute l'école naturaliste ayant fait de la médecine, les médecins, logiquement, ont fait de la littérature". Zola s'est appuyé sur l'expertise et la connaissance scientifique de Maurice de Fleury, élève de Charcot, afin de nourrirle travail d'écriture des Rougon Macquart. De Fleury partagea notamment les publications de sa bibliothèque relevant de l'hérédité, sujet au coeur de la grande fresque sociale zolienne -tout particulièrement la transmission générationnelle des maladies nerveuses, des accès de violence et de l'alcoolisme. Maurice de Fleury est également célèbre pour avoir fait, dix ans après cette lettre, une étude médico-psychologique de Zola lui-même, au prisme de ses habitudes de travail : "De dix heures à midi, Zola rédige encore - moins facilement et moins bien que pendant l'heure initiale - et c'est fini pour toute la journée, il ne sera plus bon qu'à écrire des lettres. C'est là la puissance du plus puissant cerveau dans le domaine littéraire, à la fin du siècle. Avec ce tout petit traintrain modeste, trois heures par jour en deux séances, cet homme dont l'attention est modique [...] trouve moyen de nous donner, tous les dix mois, un de ces livres où ne manquent ni la solidité de la charpente [...] ni rien de ce qui constitue la force créatrice, le génie, pour dire le mot". "[Maurice de Fleury] entretient des relations étroites avec Émile Zola et Joris-Karl Huysmans, avec lesquels il correspond dans les années1880-1890. Fervent admirateur de l'auteur desRougon-Macquart, Fleury conseille Zola pourLe Docteur Pascal(1893) et confie son admiration dans un article duFigaro, en 1896. Très «à la mode» parmi les «intellectuels» (selon le mot de Victor Segalen), le jeune médecin figure également dans la liste des auteurs symbolistes -aux côtés de Paul Adam, Henri de Régnier et Gustave Kahn- dans un essai d'André Barre, en 1911" (Lola Kheyar Stibler) - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 86092

‎Émile ZOLA‎

‎"Un rendez-vous avec Gilles de La Tourette" Lettre autographe datée et signée adressée à son ami le médecin Maurice de Fleury‎

‎Paris 15 octobre 1893 | 13.50 x 20.50 cm | une page 1/4 sur un bifeuillet‎

‎Lettre autographe datée et signée d'Emile Zola, adressée à son ami le médecin Maurice de Fleury, datée de sa main du 15 octobre 1893. 1 page 1/4, 19 lignes à l'encre noire sur un double feuillet. Plis transversaux inhérents à l'envoi.Tache au verso, n'affectant pas le texte.Tache au verso, n'affectant pas le texte. Une très insolite invitation du maître du Naturalisme, qui souhaite organiser un déjeuner avec ces deux éminents spécialistes des maladies nerveuses : "Vous êtes bien aimable de m'inviter à déjeuner. Mais cela va vous faire perdre du temps et à moi aussi [...] pourquoi ne prendriez-vous pas un rendez-vous pour deux heures et demie par exemple, avec M. Gille de la Tourette, soit jeudi, soit vendredi. Nous irions chez lui, simplement [...]" Zola s'est appuyé sur l'expertise et la connaissance scientifique de Maurice de Fleury, élève de Charcot, afin de nourrirle travail d'écriture des Rougon Macquart. De Fleury partagea notamment les publications de sa bibliothèque relevant de l'hérédité, sujet au coeur de la grande fresque sociale zolienne -tout particulièrement la transmission générationnelle des maladies nerveuses, des accès de violence et de l'alcoolisme. Maurice de Fleury est également célèbre pour avoir fait, dix ans après cette lettre, une étude médico-psychologique de Zola lui-même, au prisme de ses habitudes de travail : "De dix heures à midi, Zola rédige encore - moins facilement et moins bien que pendant l'heure initiale - et c'est fini pour toute la journée, il ne sera plus bon qu'à écrire des lettres. C'est là la puissance du plus puissant cerveau dans le domaine littéraire, à la fin du siècle. Avec ce tout petit traintrain modeste, trois heures par jour en deux séances, cet homme dont l'attention est modique [...] trouve moyen de nous donner, tous les dix mois, un de ces livres où ne manquent ni la solidité de la charpente [...] ni rien de ce qui constitue la force créatrice, le génie, pour dire le mot". "[Maurice de Fleury] entretient des relations étroites avec Émile Zola et Joris-Karl Huysmans, avec lesquels il correspond dans les années1880-1890. Fervent admirateur de l'auteur desRougon-Macquart, Fleury conseille Zola pourLe Docteur Pascal(1893) et confie son admiration dans un article duFigaro, en 1896. Très «à la mode» parmi les «intellectuels» (selon le mot de Victor Segalen), le jeune médecin figure également dans la liste des auteurs symbolistes -aux côtés de Paul Adam, Henri de Régnier et Gustave Kahn- dans un essai d'André Barre, en 1911" (Lola Kheyar Stibler) Lettre autographe datée et signée d'Emile Zola, adressée à son ami le médecin Maurice de Fleury, datée de sa main du 15 octobre 1893. 1 page 1/4, 19 lignes à l'encre noire sur un double feuillet. Plis transversaux inhérents à l'envoi. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 86093

‎Émile ZOLA‎

‎Pot-Bouille‎

‎Charpentier | Paris 1882 | 12.50 x 19 cm | relié‎

‎Edition originale, un des 250 exemplaires numérotés sur hollande, seuls grands papiers après quelques rares chine. Reliure en demi maroquin rouge à coins, dos à cinq nerfs sertis de filets à froid, plats de papier à la cuve, gardes et contreplats de papier peigné, ex-libris encollé sur un contreplat, couvertures conservées, tête dorée sur témoins, reliure signée (Pétrus) Ruban. Bel ex-libris gravé par Provost-Blondel et encollé sur un contreplat. Il représente un casque orné d'une plume, d'un médaillon et d'un phylactère comportant la devise «Toujours en face». Il aurait appartenu à Victor Coué, sous-lieutenant mort au combat durant la Première Guerre mondiale. Agréable exemplaire joliment établi. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 86096

‎Émile ZOLA‎

‎"mon seul but est le peu de vérité que nous réussirons sans doute à faire encore" Lettre autographe datée et signée à propos de l'Affaire Dreyfus‎

‎Médan, 10 avril 1898 | 13.50 x 20.50 cm | une page et demie sur un bifeuillet‎

‎Lettre autographe signée d'Emile Zola, datée de sa main du 10 avril 1898. Une page et demie à l'encre noire sur un bifeuillet, adressée à Octave Mirbeau. Traces de plis inhérentes à l'envoi, quelques rousseurs en marge extérieure. Publiée dans sa Correspondance, éd. B. Bakker, Presses de l'Université de Montréal et Editions du CNRS, 1978-1995, t. IX, p. 186; les bibliographes sont partagés sur l'identité du destinataire, et proposent également son éditeur Charpentier, qui était resté à ses côtés et avait joué le rôle de garde du corps au mois de février 1898, pendant le premier procès. Immense missive de l'écrivain justicier, résilient et même enjoué après avoir été condamné à la peine maximale pour avoir écrit "J'accuse !", et conséquemment relaxé après la cassation de l'arrêt le condamnant. Sans surprise après "J'accuse !", le ministre de la Guerre poursuit Émile Zola pour diffamation devant la cour d'assises de la Seine. Le procès se déroule à Paris du 7 au 23 février dans un contexte de tension extrême et de menaces de guerre civile.Zola écope d'un an de prison et trois mille francs d'amende, sous les hourras de la foule féroce: "Mon sacrifice est fait"affirme-t-il dans cette lettre. Comme l'indique justement Alain Pagès, "intervenir au nom de l'autorité de sa plume et de sa renommée littéraire relève tout à la fois de l'audace et de la nécessité."Zola est conscient des risques encourus, alors que son article a l'effet escompté et fait redémarrer l'affaire, lui donnant une nouvelle dimension sociale et politique. Transporté par sa totale abnégation, il prend la décision de justice avec philosophie: "Nous nous attendions à la nouvelle secousse, et elle nous a laissé très gais, heureux du repos que nous prenons ici." Parti de la capitale après un procès d'une violence inouïe, Zola jouira bien peu du repos de sa maison de Médan : le lendemain même de cette lettre, lors d'une sortie à vélo, l'écrivain est pris à partie par neuf soldats et quelques jeunes gens qui crient 'À bas Zola! Vive l'armée!'en lui jetant des pierres. "je ne suis très fort que parce que je m'attends à tout et que mon seul but est le peu de vérité que nous réussirons sans doute à faire encore. Après, mon Dieu, qu'importe !" Cette courageuse tirade se rapproche indéniablement des mots qu'il eut au commencement de l'affaire, après ses premiers articles défendant le capitaine : "Tant pis pour les conséquences, je suis assez fort, je brave tout !". Désormais condamné pour son engagement, l'écrivain réitère ici sa décision de faire éclore la vérité à tout prix, qu'il avait déjà répétée comme une litanie dans les lignes de "J'accuse !" . Précieuse et exceptionnelle lettre d'un Zola loin d'être découragé par sa première condamnation, dont la confirmation en appel le contraindra à l'exil. Il mourra avant de voir le fruit de ses combats et la réhabilitation de Dreyfus. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 86710

‎Émile ZOLA‎

‎"je souffre ici, moralement, intellectuellement, dans l'impuissance d'agir" Lettre autographe datée et paraphée, en exil pendant l'Affaire Dreyfus‎

‎15 décembre 1898 | 13.50 x 20.50 cm | quatre pages sur un bifeuillet‎

‎Lettre autographe paraphée d'Emile Zola, datée de sa main du 10 avril 1898. Quatre pages à l'encre noire sur un bifeuillet, adressée à la femme d'Octave Mirbeau. Trace de pli horizontal inhérent à l'envoi, de très rares et discrètes rousseurs sur le premier feuillet. Particularité de cette correspondance d'exil, Zola choisit d'omettre sa signature dans ses lettres - ou comme ici, de parapher seulement, se prévenant de la censure ou des enquêtes de police. Publiée dans ses uvres complètes, t. XXV, éd. F. Bernouard, 1927, p. 820. Déchirante lettre de Zola écrite dans l'exil le plus total, la retraite la plus ignorée, le silence le plus absolu. L'écrivain justicier est reclus en Angleterre, contraint de quitter Paris après avoir été condamné à la peine maximale pour avoir écrit "J'accuse !" Après son historique cri du cur dans l'Aurore, Zola est condamné une première fois par le jury de la Seine le 23 février 1898 à un an de prison et troismille francs d'amende. Le jugement est annulé en cassation, et l'affaire est renvoyée devant les assises de Versailles, qui ne retiennent que trois lignes sur les huit cent que comptent "J'accuse !" comme chef d'accusation. Pour ne pas accepter un tel étouffement des débats, la défense de Zola décida de faire défaut, et la condamnation fut confirmée. Le soir même de sa sortie mouvementée du Palais de Justice, Clémenceau et son avocat Labori lui conseillèrent de quitter le pays avant que le jugement ne pût devenir exécutoire. L'écrivain peine à supporter cet exil volontaire, si contraire à son caractère, et s'épanche dans cette missive qu'il adresse à la femme de Mirbeau, qui fut pour lui un inconditionnel soutien aux côtés de son mari. Il ne cache pas le sentiment de culpabilité qui le ronge, et expose sa stratégie: «Chère Madame et amie, quelle bonne et réconfortante lettre vous m'avez écrite! J'avoue que j'avais un peu besoin de ce cordial, car l'homme nerveux et passionné que je suis n'est pas fait pour l'exil, pour la résignation et le silence. Vous avez parfaitement deviné que ma torture est d'être à l'abri, dans trop de paix et de sécurité, pendant que les autres se battent. Et vous savez que ma résolution était prise de ne rien dire à personne et de rentrer un beau matin. Maintenant, voilà que vous m'écrivez, et vous n'êtes pas la seule, tout le monde m'écrit que je dois rester où je suis sous peine de déchaîner les pires catastrophes. Je n'en crois rien, je l'avoue, je reste convaincu que mon projet était brave, même utile, et que nous aurions été une fois de plus vainqueurs. Mais, devant l'opinion unanime, je dois m'incliner. Comme je l'écris à Labori, c'est le plus gros sacrifice que j'aie encore fait à la cause, car on n'imagine pas tout ce que je souffre ici, moralement, intellectuellement, dans l'impuissance d'agir où je me trouve. Ét je ne parle pas de mon pauvre cur, arraché à tout ce qu'il aimé. Quant à quitter ce pays, je ne le tenterai même pas. Toute ma souffrance en serait renouvelée. J'y ai longuement réfléchi, toutes les bonnes raisons sont que je reste où je suis, même si l'affaire doit durer encore des mois. Il me semble que cela est mieux, car il ne manquerait plus que j'aille me divertir au soleil, pendant qu'on se bat. Vous devinez déjà les articles de la presse immonde, la France vendue à l'Italie, pour les trente deniers de Judas. Dites à votre mari combien je l'aime et l'admire. Le voilà jeté dans l'action, lui aussi, et if s'y comporte superbement. Merci aussi à tous les deux pour l'affection dont vous entourez ma chère femme, vous dévouant à nos intérêts, veillant à ce qu'elle ne soit pas seule, à Paris au milieu de la bataille. Je suis infiniment touché de votre tendresse, et c'est une de mes grandes consolations. Je me permets de vous embrasser, chère madame et amie, et d'embrasser aussi votre vaillant mari, de tout cur.» Alors que son propre camp le contraint à l'exil, les événements s'enchaînent en France à la suite de l'acte héroïque de Zola. Dans‎

Bookseller reference : 86750

‎Émile ZOLA‎

‎L'Affaire Dreyfus - La vérité en marche‎

‎Eugène Fasquelle | Paris 1901 | 11.50 x 18.50 cm | relié‎

‎Édition originale de ce recueil d'articles qu'Émile Zola écrivit durant l'Affaire Dreyfus, notamment le fameux «J'Accuse...?!» qui paraît pour la première fois en volume. La dernière partie intitulée Mon Père est une compilation d'articles en hommage à François Zola. Reliure en demi , dos lisse, couvertures conservées, reliure signée C. Vilaine. Envoi autographe d'Émile Zola à l'historien et journaliste Maurice Dreyfous. «Je crois nécessaire de recueillir, dans ce volume, les quelques articles que j'ai publiés sur l'affaire Dreyfus, pendant une période de trois ans, de décembre 1897 à décembre 1900, au fur et à mesure que les événements se sont déroulés. Lorsqu'un écrivain a porté des jugements et pris des responsabilités, dans une affaire de cette gravité et de cette ampleur, le strict devoir est pour lui de mettre sous les yeux du public l'ensemble de son rôle, les documents authentiques, sur lesquels il sera permis seulement de le juger.» (Préface) Précieux exemplaire enrichi d'un envoi autographe de l'auteur. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 86777

‎Émile ZOLA‎

‎Rome‎

‎Charpentier | Paris 1896 | 11.50 x 18.50 cm | relié‎

‎Edition originale sur papier courant. Reliure en demi chagrin marron, dos à cinq nerfs sertis de filets dorés et orné de doubles caissons dorés et décorés, quelques frottements sur le dos, encadrement de filets à froid sur les plats de cartonnage marron, traces de décoloration en tête et en pied du premier plat, couvertures conservées, reliure de l'époque. Infimes manques marginaux sur la page de faux-titre et de titre. Envoi autographe signé d'Emile Zola au journaliste et historien Maurice Dreyfous. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 86778

‎Émile ZOLA‎

‎"je crois que c'est la fin du monde" Lettre autographe datée et signée, en exil pendant l'Affaire Dreyfus‎

‎[Weybridge] 19 août 1898 | 13.50 x 20.50 cm | quatre pages sur un bifeuillet‎

‎Lettre autographe signée d'Emile Zola adressée à Octave Mirbeau, datée de sa main du 19 août1898. Quatre pages à l'encre noire sur un bifeuillet. Trace de pli horizontal, inhérente à l'envoi. Publiée dans ses uvres complètes, t. XLIX, éd. F. Bernouard, 1927, p. 808. Superbe missive d'amitié et d'abnégation d'Emile Zola en exil, après avoir été condamné à la peine maximale pour avoir écrit "J'accuse !" Après son historique cri du cur dans l'Aurore, Zola est condamné une première fois par le jury de la Seine le 23 février 1898 à un an de prison et troismille francs d'amende. Le jugement est annulé en cassation, et l'affaire est renvoyée devant les assises de Versailles, qui ne retiennent que trois lignes sur les huit cent que comptent "J'accuse !" comme chef d'accusation. Pour ne pas accepter un tel étouffement des débats, la défense de Zola décida de faire défaut, et la condamnation fut confirmée. Après sa sortie mouvementée du Palais de Justice, Clémenceau et son avocat Labori lui conseillèrent de quitter le pays avant que le jugement ne pût devenir exécutoire. Il partit le soir même par le dernier train, avec pour seul bagage une chemise roulée à la hâte dans du papier journal. Un mois après son départ, l'écrivain rédige cette superbe réponse à une lettre de son fidèle soutien, Octave Mirbeau, qui lui écrit quelques jours auparavant : «Nous ne pensons qu'à vous; il n'est pas une minute de notre existence que vous ne la remplissiez tout entière » (14 août 1898). Installé à Weybridge dans la banlieue londonienne, il reçoit avec colère les"échos de Paris" et enrage de voir Esterhazy encore blanchi, cette fois par la justice civile. « Mon cher ami, Merci de votre bonne lettre[...] Dans la lâcheté universelle, vous ne sauriez croire combien je suis ému de sentir quelques fidèles autour de moi. Mon existence, ici, est devenue possible; depuis que j'ai pu me remettre au travail. Le travail m'a toujours réconforté, sauvé. Mais mes pauvres mains n'en restent pas moins tremblantes d'un frisson qui ne peut finir. Vous ne sauriez croire la révolte où me jettent les échos de France qui m'arrivent. Le soir, quand le jour tombe, je crois que c'est la fin du monde. Vous pensez que je dois rentrer et me constituer prisonnier, sans retourner à Versailles. Cela serait trop beau, d'avoir ainsi la paix de la prison, et je ne crois pas que cela soit possible. Je ne suis pas parti pour rentrer ainsi, notre attitude ne serait ni logique, ni belle. Je crois plutôt que c'est pour moi l'exil indéfini, à moins de courir l'abominable risque d'un nouveau procès. D'ailleurs nous ne pourrons prendre un parti qu'en octobre. Et d'ici là, qui sait ? bien que je ne compte plus que sur un miracle, auquel je ne crois guère. Soyons donc braves, mon ami, et que notre oeuvre se fasse ! Si je puis continuer à travailler, tout n'ira encore pas trop mal. [...] Je vous embrasse vous-même, mon bon ami, l'ami fidèle et rare des jours mauvais» Poignante confession manuscrite de l'écrivain justicier contraint à l'exil. La mort viendra le frapper en pleine gloire, sans qu'il puisse connaître le dénouement de l'Affaire à laquelle il a consacré de longues années de lutte. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Emile ZOLA‎

‎Lettre autographe datée et signée à l'actrice qui créa le rôle de Thérèse Raquin‎

‎Paris 16 décembre 1896 | 13.50 x 20.50 cm | 1 page et demi sur un bifeuillet‎

‎Lettre autographe signée d'Emile Zola adressée à l'actrice Marie Laurent, datée de sa main du 16 décembre 1896. Une pages et demi à l'encre noire sur un bifeuillet. Traces de pli horizontal et vertical, inhérentes à l'envoi. Trace d'encre violette en marge extérieure gauche du premier feuillet, sans atteinte au texte. Publiée dans sa Correspondance, éd. Bard H. Bakker, Colette Becker, octobre 1893-septembre 1897, p. 371. Zola tente de venir en aide à l'actrice Marie Laurent qui créa le rôle de Thérèse Raquin au théâtre, et se heurte au refus de Fernand de Rodays, administrateur du Figaro. Présidente de l'Orphelinat des Arts, l'actrice Marie Laurent avait sollicité l'écrivain pour appuyer la publication d'un article à propos de l'oeuvre de charité dans les colonnes du Figaro. Zola essuie un refus catégorique de la part de l'administrateur du journal Fernand de Rodays : "Chère Madame, Je n'ai pas de bonne nouvelle à vous donner. M. de Rodays ne m'a pas même laissé achever, et il m'a déclaré qu'il était résolu à ne publier dans le Figaro aucun article sur l'Orphelinat des Arts. Il m'a été impossible même d'insister, devant son parti pris formel.J'aurais été fort heureux de vous être agréable et je regrette l'obstacle qui m'en empêche. Je le répète, toute insistance est inutile. Veuillez me croire quand même, chère Madame, votre fidèle et dévoué" Belle missive d'Emile Zola à l'actrice qui, selon les dires de l'écrivain, "a véritablement créé le rôle de Madame Raquin [...] c'est elle qui a trouvé tout cet admirable personnage du quatrième acte, cette haute figure du châtiment implacable et muet, ces deux yeux vivants cloués sur les coupables et les poursuivant jusque dans l'agonie." (Préface deThérèse Raquin,Drame en quatre actes, Charpentier, 1875). - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Emile ZOLA‎

‎"Labori va tenter une démarche pour tâcher de rattraper les sept mille et quelques francs que vous avez versés en mon nom" Lettre autographe datée et signée à Octave Mirbeau‎

‎Paris 4 Mars 1901 | 13.50 x 20.50 cm | deux pages sur un bifeuillet‎

‎Lettre autographe signée d'Emile Zola adressée à Octave Mirbeau, datée de sa main du 4 Mars 1901. Deux pages à l'encre noire sur un bifeuillet. Trace de pli horizontal inhérente à l'envoi postal. Publiée dans saCorrespondance, t. X, p. 242. Précieuse lettre de Zola à son grand soutien Octave Mirbeau, qui avait payé pour lui son amende au terme de son deuxième procès pour"J'accuse !". Désormais amnistié, l'écrivain tente - en vain - de récupérer la somme pour le rembourser. Après son historique cri du cur dans l'Aurore, Zola est condamné une première fois par le jury de la Seine le 23 février 1898 à un an de prison et troismille francs d'amende. Le jugement est annulé en cassation, et l'affaire est renvoyée devant les assises de Versailles, qui ne retiennent que trois lignes sur les huit cent que comptent "J'accuse !" comme chef d'accusation. Pour ne pas accepter un tel étouffement des débats, la défense de Zola décida de faire défaut, et la condamnation fut confirmée le 18 juillet - Zola part le soir même pour Londres afin d'éviter la prison. Le tribunal lui réclame par ailleurs 7555 francs, que Mirbeau décide spontanément de payer de ses propres deniers. C'est aussi Octave Mirbeau qui permit d'éviter la saisie des meubles de Zola, enobtenantdeJoseph Reinachles 40 000 francs de dommages qu'on avait condamné Zola à payer aux trois pseudo-experts en écriture qu'ilavait "diffamés" dans J'accuse!... Suite à la loi d'amnistie qui met fin aux poursuites judiciaires de « tous les faits criminels ou délictueux connexes à l'affaire Dreyfus », Zola est relaxé mais n'est pas remboursé pour autant. Cette lettre atteste du désir de l'écrivain de rétribuerMirbeau pour son acte de générosité : "Labori [son avocat] va tenter une démarche pour tâcher de rattraper les sept mille et quelques francs que vous avez versés en mon nom, pour l'affaire de Versailles. Il désire seulement à avoir une lettre de vous, afin de la montrer et d'être ainsi autorisé à parler en votre nom. Vous n'avez certainement pas là bas le reçu qui vous a été délivré. Peut-être vous en rappelez-vous les termes. En tous cas, s'il faut attendre, on attendra, car rien ne presse en somme. L'important est seulement aujourd'ui de tâter le terrain, pour voir si l'on nous rendra l'argent". Pourtant, le parquet lui refusera sa requête. Furieux,Zola écriradeux jours plus tard une lettre à Labori lui demandant de renoncer à réclamer le moindre centime - il la publiera dans L'Aurore sous le titre "Qu'ils gardent l'argent": "on torture le texte de la loi et l'Etat lui aussi garde l'argent. Si le parquet s'entête à cette interprétation, ce sera une monstruosité encore, dans l'indigne façon dont on m'a refusé toute justice [...] Je ne veux pas être complice en acceptant quoi que ce soit de leur amnistie [...]". Selon Pierre Michel, ces tentatives infructueuses de recouvrement, dont atteste cette lettre, ont "incité Zola à adopter une attitudequi souligne davantage encore son désintéressement et celui de son "ami", qui n'est pas désigné [dans l'article de L'Aurore], sans doute à la demande de Mirbeau." La grâce de Dreyfus et l'amnistie de ses soutiensne satisfait pasl'écrivain, mais marque néanmoins la fin de longues années de lutte :"J'ai fini mon écrasante besogne, et je vais me reposer un peucar je suis fourbu". Frappé en pleine gloire l'année suivante, il ne pourra être témoin de la réhabilitation du capitaine Dreyfus. De belles lignes de Zola à Mirbeau qui lui a donné les moyens de poursuivre son combat pour la justice. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Emile ZOLA‎

‎Le docteur Pascal‎

‎G. Charpentier & E. Fasquelle | Paris 1893 | 11 x 18 cm | relié‎

‎Edition originale sur papier d'édition. Arbre généalogique des Rougon-Macquart sur un feuillet dépliant. Reliure en demi chagrin rouge d'époque. Dos à faux nerfs orné de caissons ornés de 5 fleurons. Frottement en coiffe avec une micro coupure. Un nerf frotté également. Papier bien frais. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Robert MASSIN - François-Emile ZOLA‎

‎Zola photographe‎

‎Denoël | Paris 1979 | 21.50 x 27.50 cm | reliure de l'éditeur‎

‎Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Ouvrage illustré de 480 documents choisis et présentés par François Emile-Zola et Massin. Bel exemplaire en dépit de petites rousseurs sur les tranches. Reliure de l'éditeur en pleine toile rouge, dos lisse, exemplaire complet de sa jaquette illustrée. Envoi autographe signé de Massin enrichi d'un petit dessin représentant un oeil à l'Immortel Pierre-Jean Rémy nom de plume de Jean-Pierre Angremy : "Pour Jean-Pierre Angremy (qui a l'oeil), avec l'amitié fidèle, Massin." enrichi de la signature manuscrite de François Emile-Zola. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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