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DURANTIN Armand - (Senlis 1818 - 1892) - Auteur dramatique français
Lettre Autographe Signée à Victor Ratier - 10 avril 1840 -
1 page in8 - bon état -
Référence libraire : GF23891
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DURANTIN Armand - (Senlis 1818 - 1892) - Auteur dramatique français
Lettre Autographe Signée à Victor Ratier - 3 juin 1840 -
1 page in8 - bon état -
Référence libraire : GF23892
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DURANTY (Louis-Emmanuel-Edmond)
BILLET AUTOGRAPHE SIGNE.
in-16, 2 pp.Sans date, 36 rue Véron.Il remercie chaleureusement un confrère de l’intérêt qu’il a bien voulu manifester pour l’un de ses livres. En post-scriptum : “Pardonnez-moi le t; j’ai des sortes d’obsessions de mots qui me font estropier ainsi les noms de deux de mes amis assez intimes, noms que je sais très bien. 36 rue Véron. Nous sommes tous voisins”.DURANTY (Louis-Emmanuel-Edmond)Une légende – née d’un article de Ph. Burty – faisait de Duranty un bâtard de Mérimée. Mais le mystère de sa naissance est aujourd’hui éclairci. Fruit des amours secrètes d’une certaine Emilie Lacoste et d’un auditeur du Conseil d’Etat Louis Edmond Anthoine, il naquit à Paris en 1833. Duranty est un fleuron de la bohème, un pilier de la Brasserie Andler (rue Hautefeuille) où Courbet tenait ses assises depuis 1848. Après une brève carrière administrative, il prit la plume qu’il trempa dans l’encrier réaliste. Entré dans le groupe de Champfleury il fonda avec Jules Assézat et Thulié la revue Réalisme qui soutenait l’ « Ecole » de Courbet. Seuls six numéros furent publiés et la revue s’éteignit dès 1857. Malassis fit paraître en 1860 le premier roman de Duranty, mais la carrière romanesque de ce réaliste magistral tourna court. La Cause du beau Guillaume (1862) ne se vendit point et les Combats de Françoise Duquesnoy fut publié à compte d’auteur. Grâce à l’appui de Zola Duranty publia encore deux recueils de nouvelles. Parallèlement il avait dirigé le théâtre de marionnettes des Tuileries dont il mit à jour le répertoire en 1872. Mais Duranty fut surtout un remarquable critique d’art. On lui doit dans Paris Journal (1869-1872), dans la Gazette des Beaux-Arts (1872) et dans Beaux-Arts illustrés (1876) de remarquables études sur l’impressionnisme naissant qu’il rattachait au réalisme.Les romans de Duranty ont paru au mauvais moment, trop tôt après les succès de Champfleury et trop tôt aussi avant les Rougon-Macquart de Zola. « Alors que Champfleury… représente le réalisme humoristique à la Dickens, dit Claude Pichois (Lettres à Baudelaire, p. 145), Duranty représente le réalisme dur ; sa technique – la restriction du champ notamment – annonce celle du nouveau roman ».Il faudra attendre 1942 pour lire Henriette Gérard dans une nouvelle édition (préfacée par Paulhan). Duranty mourut en 1880. En 1913 Pierre Martino lui consacra une notice chaleureuse dans Le Roman Réaliste sous le Second Empire, pp. 136 à 153. C’est en 1954 seulement que paraîtra la première étude biographique et critique sérieuse, par Louis Edouard Tabary, suivie en 1964 par le travail magistral de Marcel Crouzet.
Référence libraire : 46403072
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DURANTY (Louis-Emmanuel-Edmond)
LETTRE AUTOGRAPHE SIGNEE. 1er décembre 1879.
1879 ; 2 pp.2 pp. in-8°Précieuse lettre de remerciement à un romancie polonais dont, à l’instar de MM. Parturier et Crouzet qui reproduisent la présente dans leurs publications sur Duranty, nous n’avons pas découvert l’identité. Charpentier vient de rééditer Le malheur d’Henriette Gérard avec, en guise de préface, des articles de Zola. “J’ai été bien touché de tous vos éloges, et j’en ai été presque surpris, car ainsi que vous le dites, je n’ai pas l’habitude de me voir gâté par les camarades. Aussi l’acte de Zola a-t-il été très extraordinaire, et je me serais cru impardonnable, si je n’avais mis ses articles en tête de mon livre. Plus d’un me conseillaient de ne point le faire. Vous avez à merveille parlé de ce roman [...] et je n’ai qu’un regret c’est que cela n’ait pas été dit à Paris plutôt qu’à Varsovie...”.Dans ses articles consacrés aux romanciers contemporains, Zola avait réclamé pour Duranty une “justice complète” et affirmé qu’il était “un des cinq ou six romanciers dont les oeuvres devraient compter”. Relayés par le Figaro en décembre 1878, ces propos firent grand bruit dans le landerneau littéraire. D’aucuns reprochèrent même à l’auteur de Nana de se servir de Duranty comme “d’une massue vivante” pour écraser la littérature.Voir Parturier, Zola et Duranty, Giraud-Badin, 1948; Crouzet, p. 389DURANTY (Louis-Emmanuel-Edmond)Une légende – née d’un article de Ph. Burty – faisait de Duranty un bâtard de Mérimée. Mais le mystère de sa naissance est aujourd’hui éclairci. Fruit des amours secrètes d’une certaine Emilie Lacoste et d’un auditeur du Conseil d’Etat Louis Edmond Anthoine, il naquit à Paris en 1833. Duranty est un fleuron de la bohème, un pilier de la Brasserie Andler (rue Hautefeuille) où Courbet tenait ses assises depuis 1848. Après une brève carrière administrative, il prit la plume qu’il trempa dans l’encrier réaliste. Entré dans le groupe de Champfleury il fonda avec Jules Assézat et Thulié la revue Réalisme qui soutenait l’ « Ecole » de Courbet. Seuls six numéros furent publiés et la revue s’éteignit dès 1857. Malassis fit paraître en 1860 le premier roman de Duranty, mais la carrière romanesque de ce réaliste magistral tourna court. La Cause du beau Guillaume (1862) ne se vendit point et les Combats de Françoise Duquesnoy fut publié à compte d’auteur. Grâce à l’appui de Zola Duranty publia encore deux recueils de nouvelles. Parallèlement il avait dirigé le théâtre de marionnettes des Tuileries dont il mit à jour le répertoire en 1872. Mais Duranty fut surtout un remarquable critique d’art. On lui doit dans Paris Journal (1869-1872), dans la Gazette des Beaux-Arts (1872) et dans Beaux-Arts illustrés (1876) de remarquables études sur l’impressionnisme naissant qu’il rattachait au réalisme.Les romans de Duranty ont paru au mauvais moment, trop tôt après les succès de Champfleury et trop tôt aussi avant les Rougon-Macquart de Zola. « Alors que Champfleury… représente le réalisme humoristique à la Dickens, dit Claude Pichois (Lettres à Baudelaire, p. 145), Duranty représente le réalisme dur ; sa technique – la restriction du champ notamment – annonce celle du nouveau roman ».Il faudra attendre 1942 pour lire Henriette Gérard dans une nouvelle édition (préfacée par Paulhan). Duranty mourut en 1880. En 1913 Pierre Martino lui consacra une notice chaleureuse dans Le Roman Réaliste sous le Second Empire, pp. 136 à 153. C’est en 1954 seulement que paraîtra la première étude biographique et critique sérieuse, par Louis Edouard Tabary, suivie en 1964 par le travail magistral de Marcel Crouzet.
Référence libraire : 46403071
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DURANTY.
Le Malheur d'Henriette Gérard. Préface de Jean Paulhan.
Paris Gallimard 1942 1 vol. Relié in-8, bradel pleine toile verte, pièce de titre de basane fauve au dos, tête dorée, couvertures et dos conservés, non rogné (Honnelaître), XV + 351 pp. Nouvelle édition, à l'initiative de Jean Paulhan qui donne une préface en originale. Exemplaire du service de presse (il n'a pas été tiré de grand papier) enrichi d'un envoi de Paulhan daté du 11 juillet 1942 et d'un billet autographe signé du même adressé à une dame (certainement Yanette Delétang-Tardif, 2 ff. in-24 sur papier mauve où Paulhan a collé un petit portrait photographique de Duranty en tirage moderne). Très bel exemplaire.
Référence libraire : 7666
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DURANTY.
Le Malheur d'Henriette Gérard. Préface de Jean Paulhan.
Paris Gallimard 1942 1 vol. Relié in-8, bradel pleine toile verte, pièce de titre de basane fauve au dos, tête dorée, couvertures et dos conservés, non rogné (Honnelaître), XV + 351 pp. Nouvelle édition, à l'initiative de Jean Paulhan qui donne une préface en originale. Exemplaire du service de presse (il n'a pas été tiré de grand papier) enrichi d'un envoi de Paulhan daté du 11 juillet 1942 et d'un billet autographe signé du même adressé à une dame (certainement Yanette Delétang-Tardif, 2 ff. in-24 sur papier mauve où Paulhan a collé un petit portrait photographique de Duranty en tirage moderne). Très bel exemplaire.
Référence libraire : 7666
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DURAS (Marguerite).
Abahn Sabana David.
Paris Gallimard 1970 1 vol. broché in-12, broché, couverture à rabats, non coupé, 149 pp. Édition originale en service de presse avec cet envoi autographe signé de l'autrice : "Pour Alain Resnais, Amitié (Duras)". En excellente condition sous étui noir et chemise blanche doublée de daim sable. Exemplaire provenant de la bibliothèque d'Alain Resnais.
Référence libraire : 111782
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DURAS (Marguerite).
Abahn Sabana David.
Paris Gallimard 1970 1 vol. broché in-12, broché, couverture à rabats, non coupé, 149 pp. Édition originale en service de presse avec cet envoi autographe signé de l'autrice : "Pour Alain Resnais, Amitié (Duras)". En excellente condition sous étui noir et chemise blanche doublée de daim sable. Exemplaire provenant de la bibliothèque d'Alain Resnais.
Référence libraire : 111782
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DURAS (Marguerite).
La Vie tranquille.
Paris Gallimard 1944 1 vol. Broché in-12, broché, 219 pp. Édition originale peu courante dont il n'a été tiré que 13 exemplaires sur beau papier. Exemplaire du service de presse avec un rare envoi autographe signé, "en témoignage de mon amitié", à Christian Mégret, ancien administrateur colonial au Togo, auteur de plusieurs romans dont le précédent était paru chez Plon en 1943, tout comme Les Impudents le premier roman de Duras. Mention fictive de deuxième édition, dos gauchi.
Référence libraire : 113040
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DURAS (Marguerite).
La Vie tranquille.
Paris Gallimard 1944 1 vol. Broché in-12, broché, 219 pp. Édition originale peu courante dont il n'a été tiré que 13 exemplaires sur beau papier. Exemplaire du service de presse avec un rare envoi autographe signé, "en témoignage de mon amitié", à Christian Mégret, ancien administrateur colonial au Togo, auteur de plusieurs romans dont le précédent était paru chez Plon en 1943, tout comme Les Impudents le premier roman de Duras. Mention fictive de deuxième édition, dos gauchi.
Référence libraire : 113040
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DURAS Marguerite - FALLEN Camille - QUIGNARD Pascal - MANOEUVRE Laurent - MAEGHT Adrien & Yoyo - Kuroda Mariko [ AKI KURODA
KURODA
Paris Maeght 2002 In-4 carré Cartonnage toilé, jaquette illustrée Dédicacé par l'illustrateur
Référence libraire : 009486
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DURAS]. ALLEINS (Madeleine)
Marguerite Duras, médium du réel.
Lausanne L'Âge d'Homme 1984 1 vol. broché in-8, broché, couverture illustrée, 173 pp. Édition originale enrichie d'un envoi autographe signé de l'autrice au cinéaste Alain Resnais, "cet essai sur notre commune amie"... Couverture très légèrement jaunie en bordure, intérieur frais. Exemplaire provenant de la bibliothèque d'Alain Resnais.
Référence libraire : 112825
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DURAS]. ALLEINS (Madeleine)
Marguerite Duras, médium du réel.
Lausanne L'Âge d'Homme 1984 1 vol. broché in-8, broché, couverture illustrée, 173 pp. Édition originale enrichie d'un envoi autographe signé de l'autrice au cinéaste Alain Resnais, "cet essai sur notre commune amie"... Couverture très légèrement jaunie en bordure, intérieur frais. Exemplaire provenant de la bibliothèque d'Alain Resnais.
Référence libraire : 112825
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DURBIN Deanna 1921 2013
Inscribed Photograph Signed
This Canadian actress's musicals rescued Universal Studios from bankruptcy in the 1930s and made her a major young acting and singing star through the 1940s when she quit at the top. IPS 6�" X 4�" n.p. n.d. Fine. Matte finish book photograph a closeup still from the 1940 romantic musical "Spring Parade" showing Durbin flirting with a uniformed Robert Cummings inscribed and signed by her small but bold in black fineline: "Best always / Deanna Durbin / David." Charming piece. unknown
Référence libraire : 36818
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DURBIN Deanna 1921 2013
Inscribed Photograph Signed
This Canadian actress's musicals rescued Universal Studios from bankruptcy in the 1930s and made her a major young acting and singing star through the 1940s when she quit at the top. IPS 3�" X 4�" n.p. n.d. Fine. matte finish book photograph tipped to slightly larger card showing a young Durbin in pantsuit on the porch of a house inscribed and signed small but bold in black fineline: "Dear Terry / Thank you for a / most thoughtful / letter. / Best always / Deanna / Durbin / David." Small but quite attractive. unknown
Référence libraire : 24657
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Durbridge, Francis, Schriftsteller (1912-1998)
Masch. Brief mit eigenh. U.
o.J. Ohne Ort, 9. XI. 1993, Fol. 1 Seite. Gedruckter Briefkopf.
Référence libraire : 49722
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Durbridge, Francis, Schriftsteller (1912-1998)
Porträtfotografie mit eigenh. U.
o.J. Ohne Ort, ohne Jahr, 17,5 x 12,5 cm.
Référence libraire : 49723
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Durfort, duc de Duras, Amédée-Bretagne-Malo de, Politiker und Akademiemitglied (1771-1838)
Eigenh. Brief mit U.
o.J. Paris, 14. XI. 1819, 4° (25 x 20 cm). 1 Seite. Doppelblatt mit Adresse, Trauersiegel und Ausriss.
Référence libraire : 57974
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Durham David Anthony
Pride of Carthage : A Novel of Hannibal
New York: Doubleday 2005 Author inscription on title page. "Featuring a vast cast of characters and nationalities twists of fate and tales of inspired leadership David Anthony Durham perfectly captures the legendary Hannibals's world." Maps on endpapers. Signed by Author. First Edition. Hard Cover. Fine/Fine. Doubleday hardcover
Référence libraire : 21698 ISBN : 0385506031 9780385506038
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Durham, David Anthony
Pride of Carthage : A Novel of Hannibal
Author inscription on title page. "Featuring a vast cast of characters and nationalities, twists of fate, and tales of inspired leadership, David Anthony Durham perfectly captures the legendary Hannibals's world."568p. Maps on end papers. Book
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Durieu, Jean, photographer (1800-1874).
ALS ("Durieu"). Paris, 19 Jan. 1849.
Oblong 8vo. 1 p. To a lady: "J'ai l'honneur de vous adresser deux cartes pour la séance de demain [...]". - Jean Durieu was a founder member of the world's first photographic society, the "Sociéte francaise de photographie". During the mid-1850s he and Eugène Delacroix accomplished a series of male and female nude portraits. - With small traces of mounting and small restored tear to edge.
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DURIEUX, Jean
Oméga. [ Edition originale - Livre dédicacé par l'auteur ]
Un des 300 exemplaires sur bouffant supérieur, 1 vol. in-8 br., Editions Points & Contrepoints, Paris, 1964, 52 pp.
Référence libraire : 39583
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DURIEUX, Jean
Oméga. [ Edition originale - Livre dédicacé par l'auteur ]
Un des 300 exemplaires sur bouffant supérieur, 1 vol. in-8 br., Editions Points & Contrepoints, Paris, 1964, 52 pp. Bon état (frott. au second plat) Français
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Durieux, Tilla, Schauspielerin (1880-1971).
Eigenh. Brief mit U. Vitznau, 30. April [um 1917/18].
4 SS. 4to. Ausführlicher Brief an die Schriftstellerin Grete Meisel-Heß, über deren Werk "Die Bedeutung der Monogamie" (Verlag Eugen Diederichs, Jena 1917) und die Schauspielerin Gemma Boic, die sich 1914 das Leben genommen hatte: "Eben habe ich die letzte Zeile Ihres Buches: Die Bed. d. Monog. gelesen und fühle das Bedürfnis Ihnen zu sagen, dass es wirklich in jeder Weise ausgezeichnet ist. Aber nicht dies allein ist der Grund meines Briefes, der, was die Zustimmung Ihrer Ansichten anbelangt, sicher viele Brüder hat, sondern eine kleine Anmerkung die Sie über Gemma Boic machten. Ich kannte dieses unglückliche Mädchen, wir waren Schülerinnen einer sehr verehrten Mozartspielerin in Wien und Frl. Boic suchte mich auf Grund dieser Bekanntschaft in Berlin auf, um sich mit mir über ihre Pläne auszusprechen. Sie war damals schon irgendwo engagiert gewesen und klagte mir, dass sie schwer weiterkomme. Ich hörte mit grosser Teilnahme zu, denn mich interessierte das temperamentvolle Geschöpf, dann schwankte ich lange ob ich mit meinem Rat herausrücken sollte. Endlich überwand ich meine Schüchternheit, die mich bei solchen Anlässen leider immer überfällt und ich riet ihr sich mit allem Eifer auf das Erlernen - der deutschen Sprache - zu werfen […] Die Folge war, dass Frl. Boic sich aufs Tiefste gekränkt von mir zurückzog und nie mehr etwas von mir wissen wollte […] Leider, leider, wollen gerade die Talentiertesten nichts davon hören, dass man arbeiten, arbeiten und wieder arbeiten muss. Ja, sie halten es sogar für ein Zeichen von Untalentiertheit, wenn man arbeitet. Ihnen, verehrte Frau, brauche ich das Törichte dieser Gedanken, nicht auseinanderzusetzen […] Als die Brochüre über sie erschien, wurde sie mir von einem Herrn mit höhnischen Worten zugeschickt, der mich ungefähr beschuldigte, Frl. Boic ins Unglück getrieben zu haben. Hat sie Derartiges geäussert so war sie geistig anormal, denn ich hatte sie gänzlich aus den Augen verloren und nie habe ich in meinem ganzen Leben Talente unterdrückt […]". - Durieux debütierte 1901 in Olmütz und war 1903-11 eine der ersten Schauspielerinnen Max Reinhardts in Berlin. Danach spielte sie am Lessingtheater und am Berliner Kgl. Schauspielhaus. In zweiter Ehe bis 1926 mit Paul Cassirer verheiratet, ging sie nach dem Machtwechsel 1933 auf Auslandstournee, ließ sich später mit ihrem dritten Mann in Agram nieder und spielte noch kurz vor dem "Anschluß" in Wien und Prag. Nach der Deportation ihres Mannes durch die Gestapo für die jugoslawischen Partisanen tätig, lebte sie von der Herstellung von Puppen für das kroatische Marionettendrama. Durieux kehrte 1952 nach Deutschland zurück, wurde Mitglied des Bremer Theaters und spielte an den großen Berliner Bühnen. Nach ihrer ersten Filmrolle 1953 war sie seit 1957 auch für Rundfunk und Fernsehen tätig und erhielt zahlreiche Auszeichnungen in Ost- und Westdeutschland, darunter 1967 den Professorentitel. - Gefaltet und etwas knittrig.
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Durig, Arnold, Physiologe (1872-1961).
Eigenh. Visitenkarte. O. O. u. D.
Visitkartenformat. An ein Fräulein: "Nun hat sich bei mir doch noch die seinerzeit übersandte Bestätigung gefunden. Ich erlaube mir dieselbe mit herzlichen Empfehlungen zu übersenden [...]". - Arnold Durig war Assistent von Sigmund Exner am Wiener Physiologischen Institut, unternahm zwischen 1903 und 1910 Forschungsreisen zur Untersuchung von Stoffwechselvorgängen in Hochgebirgslagen, leitete im Ersten Weltkrieg die Interne und die Infektionsabteilung des Militärspitals Sarajevo, ein Rot-Kreuz-Spital in Wien und schließlich das Kriegsspital in Grinzing. "Durig beschäftigte sich vor allem mit Sport- und Arbeitsphysiologie, mit Stoffwechsel und Kreislauf sowie mit Hypertonieforschung; er veröffentlichte u. a. 'Über die physiologischen Grundlagen der Atemübungen' (1931). Er war Mitglied zahlreicher wissenschaftlicher Gesellschaften, Akademien und Fachgremien, u. a. Experte für Arbeitsmedizin beim Völkerbund in Genf" (DBE).
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DURIX, Claude
Zen ou l’esprit de l’eau courante et du rayon de lune - Zen ou comment nourrir le bébé-tigre [ 2 livres dédicacés par l'auteur ]
2 vol in-8 br., Guy Trédaniel, Editions de la Maisnie, 1984, 158 et 166 pp. Bel envoi et L.A.S. de l’auteur dans les 2 ouvrages adressés à Jean Bernard. Il s’agit du grand médecin, poète, humaniste, grand résistant, membre de l’Académie Française, le professeur Jean Bernard. Bon exemplaire de cet ouvrage peu courant, et agrémenté de beaux envois de l’auteur à un dédicataire prestigieux. Avec signature de l'auteur. Français
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Duroc, Géraud Christophe Michel, General (1772-1813).
Eigenh. Brief mit U. O. O., 16. V. 1813.
1 S. auf Doppelblatt. 4to. An einen Baron mit der Nachricht, dass er, Duroc, zum Armeelager der Gebirgsjäger in Paris einen 19-jährigen, jungen Mann, den Sohn eines Hauptmanns des 66sten, der in Friedland getötet worden war, schicke. Als Marschtrommler der 5. Voltigeure wurde der junge Mann beim Rückzug von Moskau gefangen und floh. Seine Majestät habe diesen zum Zögling der "Prytanée de la Flèche" ernannt, und er, Duroc, bittet sich dieser Ernennung zu erinnern und diesem damit bei dessen Ankunft eine Freude zu bereiten: "Je renvoie au depot de l'armée du chasseur à Paris un jeune homme de 19. ans appellé [!] le [...] fils d'un cap.t du 66.e tué à Friedland. ce jeune enfant de troupe dans la garde a été tambour du 5.e voltigeur pris dans la retraite de Moscou et fût échappé. S. m. a daigné le nommer élève au Prytanée de la flèche. Gardes je vous prie Sa nomination p. le faire plaisir À son arrivée [...]". - Einige Tage danach, am 23. Mai 1813, erlitt der Adjutant und enge Vertraute Napoleons eine schwere Kriegsverletzung und verstarb.
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DUROCHER (Bruno).
Au bord de la nuit.
Paris Caractères 1988 1 vol. broché in-12, broché, 170 pp. Envoi de l'auteur à G.-E. Clancier. Très bon état.
Référence libraire : 84971
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DUROCHER (Bruno).
Au bord de la nuit.
Paris Caractères 1988 1 vol. broché in-12, broché, 170 pp. Envoi de l'auteur à G.-E. Clancier. Très bon état.
Référence libraire : 84971
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DUROCHER (Bruno).
Proses.
Paris Editions Hautefeuille (Caractères) 1958 1 vol. broché gr. in-8, broché, 159 pp. Edition originale avec un envoi de l'auteur à G.-E. Clancier. Très bon état, non coupé.
Référence libraire : 86168
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DUROCHER (Bruno).
Proses.
Paris Editions Hautefeuille (Caractères) 1958 1 vol. broché gr. in-8, broché, 159 pp. Edition originale avec un envoi de l'auteur à G.-E. Clancier. Très bon état, non coupé.
Référence libraire : 86168
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DUROCHER Bruno
La foire de Don Quichotte
Paris ?Edition-Imprimerie des Poètes (Caractères) - Estienne 1953 In-12 carré Broché
Référence libraire : 008760
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Durocher, Bruno
La Foire de Don Quichotte. Illustrations de Krol...
Paris, Édition Imprimerie des poètes”Caractères”,1953. In-8,broché,carré, non paginé, figure, pl. en coul., couv. ill. H. c.,envoi autographe auteur,illustrées de 10 lithographies (fond coloré) par Abram Krol
Référence libraire : 5058
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DURON (Jacques).
Valeurs : figures signifiantes et messages pour notre temps.
Paris Albin Michel 1972 1 vol. broché in-8, broché, 295 pp., index. Envoi de l'auteur à G.-E. Clancier. Très bon état.
Référence libraire : 86201
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DURON (Jacques).
Valeurs : figures signifiantes et messages pour notre temps.
Paris Albin Michel 1972 1 vol. broché in-8, broché, 295 pp., index. Envoi de l'auteur à G.-E. Clancier. Très bon état.
Référence libraire : 86201
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DUROZOI Gérard
Cette gourmandise...
1975 En feuilles
Référence libraire : 015631
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DURRELL (Lawrence).
Collected Poems.
New York E.P. Dutton & Co. 1960 1 vol. relié in-8, toile bleue de l'éditeur, jaquette, 288 pp. Première édition collective américaine de ce recueil de 150 poèmes, avec un bel envoi autographe signé de l'auteur à la comédienne Eléonore Hirt. Jaquette un peu usée en bordure.
Référence libraire : 119536
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DURRELL (Lawrence).
Collected Poems.
New York E.P. Dutton & Co. 1960 1 vol. relié in-8, toile bleue de l'éditeur, jaquette, 288 pp. Première édition collective américaine de ce recueil de 150 poèmes, avec un bel envoi autographe signé de l'auteur à la comédienne Eléonore Hirt. Jaquette un peu usée en bordure.
Référence libraire : 119536
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DURRELL Lawrence
"Vaumort" : poème autographe signé et illustré par l'auteur à son amante française
- 1969, 30,4x39,5cm, une feuille. - "I knew that whenever I want to be perfectly alone With the memory of you, of that whole day, It's to Vaumort that I'll be turning." Exceptional handwritten poem dated 1969, signed and illustrated with original drawings in graphite, markers and colour pencils by Lawrence Durrell. The poem-art work is sent to Janine Brun, his French lover, and has the inscription "For Buttons," the affectionate nickname given to her by the writer, on top of a heart pierced by an arrow. Pin holes, marginal tears. Published for the first time in Collected Poems: 1931-1974 (1980). In this poem-drawing, the writer looks back on a day of love spent in the company of his lover Janine Brun in the cemetery of the small village of Yonne. At the same time, Durrell is painfully recovering from the premature death of this third wife two years earlier and publishes his series of dystopian novels Nunc (1968) and Nunquam (1970). He also takes refuge in poetry, the last exercise of literary and philosophical asceticism of a writer who, gradually, chooses to withdraw from the world. It is during a journey from the capital towards the Midi in the south, that the lovers stopped for a day in Vaumort: "Below us, far away, the road to Paris. You pour some wine upon a tomb. The bees drink with us, the dead [approve." Durrell's poetry has suffered from the resounding success of his novels, however, here it achieves great lyrical beauty, its free verse, nevertheless, very musical, picking up the cemetery's well-known motif: "One careless cemetery buzzes on and on As if her tombstones were all hives Overturned by the impatient dead We imagined they had stored up he honey their of their immortality In the soft commotion the black bees make." Here the writer attempts to capture in the poem a moment of happiness and carnal pleasure with his lover, and frames the verse he has written in long, graphite lines and many brightly coloured drawings. Here we have a rare example of a double work of art, both poetic and pictorial. Produced in marker and colour pencil, similar to the drawings of Joan Miró, it is a magnificent illustration marked with naivety, which beautifully complements the poem. Durrell continued this activity until the end of his life, which he spent in Sommières: Incidentally, we can also see a real pictorial reference to the "burnt and dusty Languedoc" (verse 12), where he spent the rest of his life. Rare testimony of Durrell's Provençal adventure with the young French lady, who inspired him to write a delightful poem imbued with warmth and Mediterranean colours. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de ses romans Bitter Lemons of Cyprus et Justine, il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «?maison Tartès?», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante «?Jany?» (Janine Brun), Montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «?Buttons?» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «?Buttons?», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèren
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DURRELL Lawrence
Amusante lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun : "... Vous serez cup-bearer, sword-bearer, spear-holder, food-taster, centurion, sherpa, et caddy..."
- Edimbourg 24 mars 1973, 13,5x21cm, une feuille + une enveloppe. - Drôle lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, redigée aux feutres noir, marron et mauve (15 lignes), entremêlant français et anglais enveloppe jointe écrite aux feutres mauve et noir. La lettre est a en-tête de sa maison de Sommières dans le Gard. "Buttons - telephone moi le soir lundi mardi - ou un de ces matins - apropos Cannes ! Vous serez cup-bearer, sword-bearer, spear-holder, food-taster, centurion, sherpa, et caddy - pourquoi des mots n'existent t-ils pas en français ? Faut parler à Duhamel. Le caïd". Au dessus du premier mot de la lettre, Lawrence Durrell a inscrit au feutre marron : "Mais compromettant ! " et en bas de la lettre, au feutre mauve, : "Ecrivez plus clairment" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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DURRELL Lawrence
Carte de visite autographe adressée à Jani Brun
- Sommières 2 février 1979, 12,7x8,1cm, une carte de visite sous enveloppe. - Carte de visite autographe de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun. Quelques lignes à l'encre. Enveloppe jointe. L'encre a légèrement bavée, l'enveloppe ayant sans doute été mouillée. L'écrivain adresse cette carte depuis Sommières, sa retraite languedocienne, à son amante Janine Brun : "Janine est-ce que vos dates sont fixés [sic] ? Je ne sais pas si je suis de retour de Londres avant le 10 samedi - écris moi pour me dire - Love, Larry" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de ses romans Bitter Lemons, il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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DURRELL Lawrence
Carte de visite autographe signée adressée à Jani Brun
- s.d. (circa 1970), 12,7x8,1cm, une carte de visite. - Carte de visite autographe signée adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir et comportant quelques taches et éraflures de papier. Note de la destinataire au verso. Durrell adresse une courte note de remerciements à sa jeune amante française : "Janine dear très touché par votre sollicitude Love and kisses, Larrry" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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DURRELL Lawrence
Carte de visite autographe signée adressée à Jani Brun : "Demain soir je vais en Angleterre"
- s.d. (circa 1970), 12,7x8,1cm, une carte de visite. - Carte de visite autographe signée adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir et comportant quelques taches. L'écrivain informe sa jeune amante française d'un imminent départ à Londres, où il venait fréquemment visiter son éditeur : "Je suis chez Alan Thomas. 16 Holbury St. Chelsea. Faites moi signe quand tu veux [sic] Love, Larry" . Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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DURRELL Lawrence
Carte de visite autographe signée adressée à Jani Brun "j'ai subi des "tests" [...] pour savoir si je suis éternel ou non - ou si le pneu est crevé quelque part..."
- 29 juin 1978, 13,1x8,5cm, une carte de visite, enveloppe jointe. - Carte de visite autographe signée adressée à Jani Brun son amante française, rédigée au feutre rouge. Enveloppe jointe. L'écrivain est récemment tombé malade, et tente de revoir sa jeune amante à son retour dans sa maison de Sommières : " [...]"j'ai subi des "tests" à l'instant pour savoir si je suis éternel ou non - ou si le pneu est crevé quelque part... J'ai envie de toi un peu, un peu beaucoup ! Love, Larry". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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DURRELL Lawrence
Carte de visite dactylographiée adressée à Jani Brun "je ne sais même pas si j'arriverai de [sic] garder la maison de Sommières. Ouf, quelle barbe"
- 23 novembre 1977, 13x8cm, une carte de visite sous enveloppe. - Carte de visite dactylographiée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun. Enveloppe jointe. Au retour de son premier séjour en Egypte depuis son départ d'Alexandrie en 1945, l'écrivain éprouvé adresse une courte missvie à sa jeune amante française : "tu sais que je suis en instance de div [sic] [...] je ne peut [sic] même pas me payé [sic] un secrétaire à ce moment -- je ne sais même pas si j'arriverai de [sic] garder la maison de Sommières. Ouf, quelle barbe. Love, Larry" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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DURRELL Lawrence
Carte de visite dactylographiée adressée à Jani Brun
- Sommières circa 1970, 9,5x6,5cm, une carte de visite sous enveloppe. - Carte de visite dactylographiée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun. Enveloppe jointe. Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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DURRELL Lawrence
Carte de visite dactylographiée adressée à Jani Brun
- Sommières circa 1970, 9,5x6,5cm, une carte de visite. - Carte de visite dactylographiée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun. L'écrivain donne l'adresse de son éditeur londonien à sa jeune amante française afin qu'il l'acceuille à son arrivée : "ALAN THOMAS [...] si le taxiteur n'est pas sûr dites lui que Hobury St se trove [sic] directement en face du pub WORLD'S END dans le KING'S ROAD." Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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DURRELL Lawrence
Carte de visite de Lawrence Durrell enrichi de quelques mots adressés à Jani Brun et qu'il a humoristiquement détournée
- Edimbourg 28 octobre 1975, 12,5x8cm, une feuille + une enveloppe. - Carte de visite de Lawrence Durrell sur laquelle il a ajouté quelques mots adressés à Jani Brun, enveloppe jointe. Dans cet envoi postal, Lawrence Durrell manie l'autidérision qui lui est chère : en effet, sur la carte de visite il a inscrit ces quelques mots : "on parle toujours de moi dans le Midi libre", un titre d'article de presse étant retenu par un trombone placé en angle supérieur de la carte de visite sur lequel on peut lire : "insolite : un éléphant mort d'amour.' Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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Carte postale autographe de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun : "Buttons. Je ne vous crois pas !"
- Sommières 12-02-1971, 10,5x14,5cm, une carte postale et enveloppe. - Carte postale autographe de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre rouge, au verso d'une reproduction d'affichette Mystification imaginée par Jacques Yonnet "... Maintenez la tête hors de l'eau - L'immersion prolongée du nez et de la bouche peut provoquer une asphyxie mortelle", coupure de presse scotchée "en direct avec une glande virile...", enveloppe jointe. L'écrivain renseigne sa jeune amante montpelliéraine sur ses prochains déplacements : "Buttons. Je ne vous crois pas ! je suis ici pour 15 jours encore - puis Genève pour une semaine". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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Carte postale autographe envoyée de Corfou signée adressée à Jani Brun
- Corfou 23 octobre 1979, 14,6x10,2cm, une carte postale. - Carte postale autographe signée de Lawrence Durell adressée à son amante française Jani Brun, rédigée au feutre bleu, au verso d'une photographie de la procession de St. Spiridione. Après des années passées en France, Durrell revient pour deux semaines à Corfou, ville dans laquelle il séjourna entre 1935 et 1941 avec sa famille, et qui inspira à son frère Gerard Durrell sa célèbre Trilogie de Corfou. Il annonce son arrivée, durant laquelle il rencontra des problèmes de voiture : "après [...] mille pépins on arrive à Corfou où j'ai essayé de conjurer le sort et amadouer le Caïd de l'isle de Saint Spriridon de changer son attitude un peu négatif [sic] vis-à-vis L'escargot (deux pannes de moteur)." Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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