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‎DURRELL Lawrence‎

‎Carte de visite autographe signée adressée à Jani Brun‎

‎- s.d. (circa 1970), 12,7x8,1cm, une carte de visite. - Carte de visite autographe signée adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir et comportant quelques taches et éraflures de papier. Note de la destinataire au verso. Durrell adresse une courte note de remerciements à sa jeune amante française : "Janine dear très touché par votre sollicitude Love and kisses, Larrry" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎DURRELL Lawrence‎

‎Carte de visite autographe signée adressée à Jani Brun : "Demain soir je vais en Angleterre"‎

‎- s.d. (circa 1970), 12,7x8,1cm, une carte de visite. - Carte de visite autographe signée adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir et comportant quelques taches. L'écrivain informe sa jeune amante française d'un imminent départ à Londres, où il venait fréquemment visiter son éditeur : "Je suis chez Alan Thomas. 16 Holbury St. Chelsea. Faites moi signe quand tu veux [sic] Love, Larry" . Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎DURRELL Lawrence‎

‎Carte postale autographe et dactylographiée signée adressée par "Le caïd" à Jani Brun‎

‎- Sommières 12 avril 1973, 14x10,5cm, une carte postale. - Carte postale autographe et dactylographiée, humoristiquement signée "Le caïd" Lawrence Durrell à Jani Brun. Quelques petites taches. Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎LOUYS Pierre‎

‎Lettre autographe signée adressée à un ami qu'il nomme "khiliarque"‎

‎- 1er février 1921, 11,1x14,6cm, 4 pages sur un double feuillet. - Lettre autographe signée de Pierre Louÿs adressée à un ami qu'il nomme "khiliarque". Ecriture ample et calligraphique à l'encre violette. Une déchirure sans manque de texte à la première page. Eloquente lettre témoignant de la santé fragile de Pierre Louÿs les dernières années de sa vie : "Vous me retrouvez en pleine crise d'emphysème. Médecins. Ventouses. Potions. Régime. Intertitude chaque jour sur la journée du lendemain." La missive laisse également percevoir la passion de l'écrivain pour la dramaturgie, notamment grâce à l'évocation de Gustave Quinson, alors directeur du théâtre du Palais-Royal. "Voulez-vous être tout à fait gentil ? Envoyez-moi d'abord votre livret que je suis si curieux de connaître..." [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎DURRELL Lawrence‎

‎Lettre autographe signée adressée à Jani Brun : "Je suis rentré fatigué mais content à Sommières"‎

‎- Sommières 16 octobre 1971, 13,4x20,9cm, une page, enveloppe jointe. - Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, la remerciant pour un séjour passé en sa compagnie à Liège. Onze lignes au feutre noir sur papier à en-tête personnel de l'écrivain. Enveloppe jointe. Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎DURRELL Lawrence‎

‎Carte de visite autographe signée adressée à Jani Brun "j'ai subi des "tests" [...] pour savoir si je suis éternel ou non - ou si le pneu est crevé quelque part..."‎

‎- 29 juin 1978, 13,1x8,5cm, une carte de visite, enveloppe jointe. - Carte de visite autographe signée adressée à Jani Brun son amante française, rédigée au feutre rouge. Enveloppe jointe. L'écrivain est récemment tombé malade, et tente de revoir sa jeune amante à son retour dans sa maison de Sommières : " [...]"j'ai subi des "tests" à l'instant pour savoir si je suis éternel ou non - ou si le pneu est crevé quelque part... J'ai envie de toi un peu, un peu beaucoup ! Love, Larry". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎DURRELL Lawrence‎

‎Carte postale autographe envoyée de Corfou signée adressée à Jani Brun‎

‎- Corfou 23 octobre 1979, 14,6x10,2cm, une carte postale. - Carte postale autographe signée de Lawrence Durell adressée à son amante française Jani Brun, rédigée au feutre bleu, au verso d'une photographie de la procession de St. Spiridione. Après des années passées en France, Durrell revient pour deux semaines à Corfou, ville dans laquelle il séjourna entre 1935 et 1941 avec sa famille, et qui inspira à son frère Gerard Durrell sa célèbre Trilogie de Corfou. Il annonce son arrivée, durant laquelle il rencontra des problèmes de voiture : "après [...] mille pépins on arrive à Corfou où j'ai essayé de conjurer le sort et amadouer le Caïd de l'isle de Saint Spriridon de changer son attitude un peu négatif [sic] vis-à-vis L'escargot (deux pannes de moteur)." Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎DURRELL Lawrence‎

‎Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun : "youth at the prow and beauty at the helm" luxe et voupté - dans le Club Méditerranée, everything is done for you"‎

‎- Grèce 28 mai1981, 14,6x10,2cm, une carte postale. - Carte postale autographe signée de Lawrence Durell adressée à Jani Brun, sa jeune amante française, rédigée au feutre bleu, au verso d'une illustration humoristique mettant en scène Poséidon. L'écrivain a séjourné au Club Méditerranée et en chante les louanges par un vers du poème néomédiéval The Bard, de Thomas Gray et un de Baudelaire : "youth at the prow and beauty at the helm" (Jeunesse à la proue et beauté à la barre) luxe et voupté - dans le Club Méditerranée, everything is done for you (tout est fait pour vous) J'ai envie de rester encore vingt ans ici. That would make me 110 years old (j'aurais 110 ans)." Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎DURRELL Lawrence‎

‎Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun : tournage du film adapté de son livre "Justine"‎

‎- Sommières 3 janvier 1969, 14,6x10,2cm, une carte postale. - Carte postale autographe signée de Lawrence Durell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre violet, au verso d'une illustration humoristique de Lassalvy. L'écrivain adresse ses voeux pour l'année 1969 à sa jeune amante française, et s'apprête à suivre le tournage du film adapté de son roman "Justine", premier volume de son Quatuor d'Alexandrie : "Je vais à Londres samedi pour un mois de 'filmage'. Amuse toi bien mais sagement !" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎DURRELL Lawrence‎

‎Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun : "dear and pretty chapeau jaune [...] phone-moi veux-tu ?"‎

‎- Sommières 20 juin1968, 14,6x10,2cm, une carte postale. - Carte postale autographe signée de Lawrence Durell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir, au verso d'une photographie surmontée de la légende humoristique "Finies les vacances !! Les blés sont fauchés / Les vacanciers aussi !!" L'écrivain tente de revoir sa jeune amante française entre deux déplacements : "Dear and pretty chapeau jaune. je suis au mazet vendredi mais chez moi le soir. Vendredi je suis seul. phone-moi veux-tu ? si possible ? Car je m'en vais à Paris dimanche soir pour trois jours mais j'attends un coup de téléphone de là bas pour décider". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎DURRELL Lawrence‎

‎Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun : "si un jour vous voulez me visiter 'en frôlant'"‎

‎- Sommières 22 novembre 1967, 14,6x10,2cm, une carte postale. - Carte postale autographe signée de Lawrence Durell adressée à Jani Brun, rédigée aux feutres violet et marron, au verso d'une photographie de la Tour de Sommières. Après un séjour à Paris, l'écrivain retrouve sa maison provençale de Sommières et tente de revoir sa jeune amante montpelliéraine : "si un jour vous voulez me visiter 'en frôlant' [...] passez moi un petit coup de fil [...] je serai heureux de vous voir". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ZWEIG Stefan‎

‎Lettre autographe signée adressée à Alfred Cortot et son épouse à propos du fonds de manuscrits de Richard Wagner : « J'avais la chance de pouvoir acquérir le lot entier un jour avant que Bayreuth envoyait une personne de confiance »‎

‎- Londres 26 décembre 1937, 17,9x22,9cm, une feuille. - Signed autograph letter to Alfred Cortot and his wife about Richard Wagner's manuscript collection: "I was lucky enough to be able to acquire the entire lot one day before Bayreuth sent a trusted buyer". London 26 December 1937, 17.9x22.9cm, one leaf. Autograph letter signed by Stefan Zweig to Alfred Cortot, two pages on one sheet written in violet ink. An outstanding autograph letter in which the avid collector informs his friend Alfred Cortot of his acquisition of unpublished manuscripts of Wagner. Alfred Cortot himself owes his career as a conductor to his early discovery of the German composer. Cortot shared with Zweig his "almost tyrannical bewitchment [suffered] with as much intoxication as fervor" for the composer. Zweig, who spoke of his collection as "more worthy of surviving me than my own works" (The World of Yesterday: Memories of a European, 1942), recounts for his friend the details of this incredible discovery of hundreds of forgotten leaflets, including Wagner's intimate correspondence, handwritten scores and excerpts from opera librettos, including The Flying Dutchman, The Sublime Fiancée (or Bianca and Giuseppe), Die Feen, Das Liebesverbot (The Ban on Love) and a lost orchestral version of Rule Britannia. In December 1937, as he fled the Nazi regime and settled in London, Zweig became fascinated by the archives of a time when intellectual Europe was living in perfect syncretism. The writer takes a nostalgic look at the manuscripts of Wagner, who like him spent his youth travelling through the capitals of Europe: "I was extraordinarily fortunate to be able to get my hands on a whole lot of Richard Wagner's musical and literary manuscripts from his early period (Leipzig, Magdeburg, Riga and Paris) during a short stay in Vienna". Among these precious manuscripts is the extremely rare orchestral arrangement of the patriotic song Rule Britannia, which had been missing for more than sixty years. Sharing his passion for Wagner with his friend, the pianist Cortot, Zweig announced his discovery with the wonder so familiar to collectors when faced with an exceptional find: "[...] the manuscript is the only one of its kind in the world that has been preserved. It contains things that will be of special interest to you, for example the complete translation (60 pages) of the French version (unpublished (I believe) of the text of the "Liebesverbot") entirely in Wagner's hand, as well as the manuscripts of a vaudeville song "Descendons la Courtille" (which he performed in his darkest moments) [...] almost thirty pieces of the highest interest and precisely from the rarest period. All this was hidden for 50 years in a private collection and I was lucky enough to be able to acquire the entire lot one day before Bayreuth sent a buyer". The letter is a fascinating account of Zweig's parallel life, which had earned him a reputation as an accomplished collector. His collection also inspired one of his most beautiful short stories, The Invisible Collection (die Unsichtbare Sammlung) and a pioneering essay in the Deutscher Bibliophilen Kalender (The Autograph Collection as an Art). His hundreds of historical, musical and literary autographs from the Middle Ages to the 20th century were carefully catalogued and collected in the library-museum of his house in Kapuzinerberg: "In this library, a 'place of worship', he also exercises a real activity as an expert in autographs [...]. ...] The library will attract a number of distinguished scholars, sometimes accompanied by their assistants, who will not hesitate to return to work there quietly for days or even weeks at a time" (Stefan Zweig, le voyageur des mondes, Serge Niemetz). With this acquisition, Zweig sees the dream of every collector come true. After two years of exile in England, Zweig returned to Vienna in time to purchase these exceptional documents from Bayreuth's emissaries, who had already built up a large col‎

‎DURRELL Lawrence‎

‎Lettre autographe signée adressée à Jani Brun depuis Montréal : "mais c'est loin, bien loin de Montpellier : c'est l'âme qui devient sourd, muet, entassée dans la neige et les brumes de printemps"‎

‎- Montréal 11 mars 1968, 13,7x21,5cm, 2 pages sur un feuillet, enveloppe jointe. - Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, deux pages rédigées au stylo sur un papier à en-être du Ritz-Carlton Hotel de Montréal. Enveloppe jointe. Durant un déplacement à Montréal, l'écrivain adresse une longue missive à sa jeune amante française, qu'il a laissée à regret dans le Midi. Il donne un avis mitigé sur la ville et ses habitants : "la ville est très belle avec les lacs glacées [sic], la neige partout ; on mange bien et on chauffe bien [...] les Quebecois sont très gentils et hospitaliers mais je sens une lourdeur d'esprit qui me rappelle Genève !" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎DURRELL Lawrence‎

‎Lettre dactylographiée et autographe signée adressée à Jani Brun : "le babysitting ; assez ennuyeux mais on a le temps de travailler ou lire"‎

‎- Sommières 23 janvier 1970, 13x20cm, 1 page sur un feuillet, enveloppe jointe. - Lettre dactylographiée et autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun. Enveloppe jointe. L'amante de l'écrivain envisage un séjour à Londres ; Durrell lui donne des conseils sur les agences de babysitting : "assez ennuyeux mais on a le temps de travailler ou lire ; pour cela il faut déclarer votre intention de rester au moins 6 mois dans le pays (on peut toujours le dire !) [...] N'oubliez pas qu'il y a toujours le grand lycée Français de Londres [...]" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎DURRELL Lawrence‎

‎Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun : "je tripote des livres, des nuages, des femmes, et des calembours"‎

‎- Sommières 10 novembre 1969, 13,9x10,1cm, une carte postale, enveloppe jointe. - Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir au verso d'un dessin humoristique. Enveloppe jointe. L'écrivain donne des nouvelles de sa vie dans sa maison de Sommières à son amante française : "Je me force de [sic] travailler un peu - c'est à dire je tripote des livres, des nuages, des femmes, et des calembours [...] Il pleut. Je coupe du bois aussi et bientôt il faut que je ramasse les mûres. Much love, Larry D". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎DURRELL Lawrence‎

‎Lettre autographe signée adressée à Jani Brun : "Toi, tu peux m'écrire en Français. J'ai du mal à l'écrire mais je le comprends très bien".‎

‎- Paris 18 juillet 1969, 21,6x28cm, 1 page sur un feuillet, enveloppe jointe. - Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à son amante Jani Brun datant du début de leur relation. Une page au stylo bille bleu. Enveloppe jointe. L'écrivain adresse ici une des premières lettres de sa correspondance avec sa jeune amie montpelliéraine, qui s'étendit sur plus de deux décennies. Encore peu habitué à la langue française, il demanda de l'aide pour traduire sa lettre : "J'espère bien mieux te connaître [...] Gérard a traduit ceci de l'anglais pour moi. Comprendrais-tu si la prochaine fois j'écrivais en anglais [...] ?" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎DURRELL Lawrence‎

‎Carte de visite dactylographiée adressée à Jani Brun‎

‎- Sommières circa 1970, 9,5x6,5cm, une carte de visite sous enveloppe. - Carte de visite dactylographiée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun. Enveloppe jointe. Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎DURRELL Lawrence‎

‎Lettre autographe signée adressée à Jani Brun : "le MONTAGUE HOTEL à côté du British Museum, quartier tranquil [sic] et respectable"‎

‎- Sommières 22 août 1969, 12,6x20,3cm, 2 pages sur 2 feuillets, enveloppe jointe. - Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, deux pages rédigées sur deux feuillets. Pliures centrales inhérentes à la mise sous pli de la missive. Enveloppe jointe. L'écrivain arrange pour son amante un séjour à Londres et a demandé à son éditeur Alan G. Thomas de l'accueillir : "Thomas a déjà réservé une chambre au MONTAGUE HOTEL [...] à côté du British Museum, quartier tranquil [sic] et respectable. Mais vérifiez vos dates et télégraphiez lui en avance pour qu'il refasse l'opération". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎DURRELL Lawrence‎

‎Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun : "m[ake] great haste"‎

‎- Sommières 2 février 1970, 8,7x12,7cm, une carte postale, enveloppe jointe. - Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir au verso d'une vue en noir et blanc de l'intérieur du temple de Diane à Nîmes. Enveloppe jointe. L'écrivain donne des nouvelles de sa fille : "Saph part pour Israel troisième semaine de février" et attend avec impatience la venue de son amante : "m[ake] great haste" (viens vite). Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎BEJART Maurice‎

‎Carte postale autographe signée adressée à André-Philippe Hersin : "Je reçois les Saisons à l'instant et c'est une joie de vous sentir présent à travers les lignes"‎

‎- Capri 20 juillet 1972, 10,4x15cm, une carte postale. - Carte postale autographe signée de Maurice Béjart depuis Capri adressée à André-Philippe Hersin, qui était alors à Avignon pour le festival de théâtre et de danse. Au verso se trouve un dessin représentant les armoiries de Sir Galahad. Le chorégraphe adresse une chaleureuse missive au rédacteur des Saisons de la danse, dont il vient de lire le dernier numéro. Hersin fut en effet un grand défenseur du style chorégraphique de Béjart et lui consacra d'élogieux articles dans sa revue ainsi que des fascicules monographiques sur son oeuvre. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎BEJART Maurice‎

‎Carte postale autographe signée adressée à André-Philippe Hersin : "Ispahan où nous étions ensemble est toujours aussi émouvant."‎

‎- Ispahan 22 novembre 1974, 14,9x10,2cm, une carte postale. - Carte postale autographe signée de Maurice Béjart adressée à André-Philippe Hersin, au verso d'une reproduction photographique représentant les minarets tremblants d'Ispahan. Le chorégraphe adresse cette carte postale depuis l'Iran, où il créa en 1971 sous le patronage de l'impératrice Farah Pahlavi son ballet Golestan (La roseraie), et en 1974 au festival de Shiraz son ballet Mallarmé III, sur une musique de Pierre Boulez. Ce serait également à cette période que Béjart se serait converti à l'Islam après la rencontre de Dariouche Safvate, éminent musicien soufi kurde. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎THOMAS Dylan‎

‎Vision et prière‎

‎- Gallimard, Paris 1991, 11x17,5cm, broché. - Edition originale, au format livre de poche, de la traduction française et de la présentation établies par Alain Suied. Iconographie. Envoi autographe signé d'Alain Suied à son ami le poète Charles Dobzynski. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎LACOTE René‎

‎Où finit le désert‎

‎- J.A.R. , Bruxelles 1962, 12x19cm, broché. - Edition originale. Enrichi autographe signé de René Lacôte à son ami le poète Charles Dobzynski. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎DURRELL Lawrence‎

‎Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun : "je suis vraiment navré pour le voyage"‎

‎- Sommières 16 septembre 19711971, 17,9x12,8cm, un feuillet. - Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre bleu. L'écrivain présente ses excuses à sa jeune amante française, à qui il avait promis un voyage : "Je suis vraiment navré pour le voyage. mais un peu plus tard. L.D." Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎DURRELL Lawrence‎

‎Carte de visite dactylographiée adressée à Jani Brun‎

‎- Sommières circa 1970, 9,5x6,5cm, une carte de visite. - Carte de visite dactylographiée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun. L'écrivain donne l'adresse de son éditeur londonien à sa jeune amante française afin qu'il l'acceuille à son arrivée : "ALAN THOMAS [...] si le taxiteur n'est pas sûr dites lui que Hobury St se trove [sic] directement en face du pub WORLD'S END dans le KING'S ROAD." Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎DURRELL Lawrence‎

‎Lettre autographe signée adressée à Jani Brun à propos du roman Tunc: "maintenant je n'ai plus d'excuses. Il faut vraiment reprendre ce sacré bouquin en main"‎

‎- Sommières 18 juillet 1968, 21,2x13,4cm, 1 feuillet sous enveloppe. - Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre brun, datant du début de leur relation. Pliure centrale inhérente à la mise sous pli de la missive. Enveloppe jointe. L'écrivain, en pleine écriture de son roman Tunc, donne des nouvelles à sa nouvelle amante française dans un français encore hésitant : "Enfin pour le moment pas des [sic] aventures à vous raconter. trop de travail. trop de correspondance. Mon fils (de Claude [-Marie Vincendon, épousée en 1961]) est ici est [sic] aide Barbie avec les papiers. Il la trouve jolie mais moi je suis plein des [sic] sentiments peu charitables. En tous cas maintenant je n'ai plus d'excuses. Il faut vraiment reprendre ce sacré bouquin en main. Je ne serais mais entièrement mécontent de te revoir un de ces jours. si l'idée vous vient". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎LACOTE René‎

‎Claude‎

‎- Gallimard, Paris 1943, 12x19cm, broché. - Edition originale sur papier courant, mention de troisième édition. Ex-dono de Charles Dobzynski en tête de la page de titre. Envoi autographe signé de René Lacôte à son ami le poète Charles Dobzynski : "... avec la vive amitié de son camarade..." [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎VERDET André‎

‎Les complaintes (1955-1965)‎

‎- Les éditions du petit véhicule, Nantes 1988, 16x24cm, broché. - Edition originale sur papier courant. Ouvrage illustré de 7 dessins de Karel Appel. Bel exemplaire. Envoi autographe daté et signé d'André Verdet à son ami le poète Charles Dobzynski : "Pour mon copain Charles Dobzynski, à mon complice spatio-poète, bien sidéralement sien A. Verdet." enrichi d'un grand dessin original tricolore. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎GANZO Robert VILLON Jacques‎

‎Oeuvre poétique‎

‎- Paris 1957, 20x28,5cm, en feuilles sous chemise et étui. - Illustrated edition of 8 original etchings by Jacques Villon including 2 in color, one of 150 numbered copies on Arches paper vellum. Back of the shirt and partially exposed case covers. Pleasant copy. Autograph signatures of Jacques Villon and Robert Ganzo at the justification of the draw. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Edition illustrée de 8 eaux-fortes originales de Jacques Villon dont 2 en couleurs, un des 150 exemplaires numérotés sur vélin d'Arches. Dos de la chemise et plats de l'étui partiellement insolés. Agréable exemplaire. Signatures autographes de Jacques Villon et Robert Ganzo à la justification du tirage.‎

‎TORTEL Jean DUBUFFET Jean‎

‎Francis Ponge cinq fois‎

‎- Fata Morgana, Montpellier 1984, 14,5x22,5cm, broché. - Edition originale, un des 680 exemplaires sur vergé teinté, seul tirage après 20 vélin pur fil Johannot. Agréable exemplaire. Ouvrage illustré d'un frontispice de Jean Dubuffet. Envoi autographe signé de Jean Tortel au poète Charles Dobzynski. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎OBALDIA René de‎

‎Les bons bourgeois. - Grasse matinée‎

‎- Grasset, Paris 1992, 12x21cm, broché. - Nouvelle édition. Agréable exemplaire. Envoi autographe signé de René de Obaldia au poète Charles Dobzynski. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎KROL Abram‎

‎Livres, suites, estampes gravés au burin 1958-1978‎

‎- A. Krol, Paris 1992, 21x30cm, broché. - Edition originale sur papier courant. Ouvrage illustré de nombreuses reproductions d'oeuvres gravées d'Abram Krol. Préface de Dominique Daguet. Iconographie. Envoi autographe daté et signé d'Abram Krol à son ami le poète Charles Dobzynski : "... deux décennies d'un laboureur de cuivre, amicalement." [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎RAILLARD DE MARSAC Zoé‎

‎Lettres‎

‎- 1860, Pet. in-8 (12,5x18,5cm), 53feuillets., relié. - Recueil constitué de la copie de plusieurs lettres et d'articles au sujet de la parution d'une plaquette de poèmes en faveur des pauvres. Ces lettres cherchent à recueillir des souscriptions, des commandes ou une approbation, avec la protection du curé de Saint-Sulpice qui a adhéré au projet ; elles s'adressent tant à des proches que d'illustres personnages, l'Empereur par exemple, à des institutions religieuses ou d'éducation, avec pour objet la charité. Reliure en demi basane rouge d'époque. Dos lisse orné de fers romantiques en miroir. Titre doré : Souvenir d'une amie. Chiffre E. R. sur le plat supérieur. Absence des pages de garde marbrées sur le premier et dernier feuillet de garde. Bel exemplaire. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎HUGO Victor & HUGO Adèle‎

‎Lettre autographe signée à la veuve du sculpteur David d'Angers : "Mon exil est comme voisin de son tombeau, et je vois distinctement sa grande âme hors de ce monde"‎

‎- Hauteville House 11 et 13 mai 1856, 14x21,5cm, une feuille. - Lettre autographe signée de Victor Hugo datée du 13 mai 1856 à la suite d'une lettre inédite de Madame Victor Hugo à Madame David d'Angers datée du 11 mai. 4 pages sur un feuillet remplié à filigrane "Barbet Smith Street Guernesey". Publiée dans Correspondance de Victor Hugo, Paris, année 1856, p. 246 Dans cette lettre imprégnée des apparitions et spectres qui hantent les Contemplations récemment publiées, Victor Hugo s'adresse à la veuve de son grand ami le sculpteur David d'Angers, fervent républicain et artiste particulièrement admiré des romantiques. En pleine crise mystique, Hugo parle à l'ombre du sculpteur à qui il dédia de sublimes poèmes dans Les feuilles d'automne ainsi que Les rayons et les ombres et réclame auprès de sa veuve son portrait favori, un buste en marbre jadis sculpté par David d'Angers. Après l'expulsion des proscrits de l'île de Jersey, Victor Hugo fait l'achat d'Hauteville House grâce au succès des Contemplations et apprend avec tristesse la disparition d'un ami cher. Il écrit à la veuve du sculpteur sur le même feuillet que sa femme Adèle, également liée avec la famille de David d'Angers, créateur d'un médaillon à son effigie : « Vous êtes la veuve de notre grand David d'Angers, et vous êtes sa digne veuve comme vous avez été sa digne femme ». Le sculpteur de renom s'était déjà lié au premier salon romantique de Nodier à l'Arsenal et fréquentait presque quotidiennement Hugo à la fin des années 1820 dans l'ambiance bonapartiste et bon enfant de la rue Notre-Dame des Champs, en compagnie des frères Devéria, Sainte-Beuve, Balzac, Nanteuil et Delacroix. En 1828, l'écrivain avait posé avec bonheur dans l'atelier de David d'Angers rue de Fleurus, pour un médaillon puis un buste qui avaient été suivis de deux sublimes poèmes célébrant le talent du sculpteur dans Les Feuilles d'Automne et Les rayons et les ombres. De tous ses portraits pourtant nombreux, il chérissait plus que tout autre son buste de marbre signé David d'Angers et n'hésite pas à le réclamer à sa veuve : « Avant peu, peut-être, madame, ma famille vous demandera de lui rendre ce buste qui est ma figure, ce qui est peu de chose, mais qui est un chef-d'œuvre de David, ce qui est tout. C'est lui encore plus que moi, et c'est pour cela que nous voulons l'avoir parmi nous ». De ces séances de pose avec le sculpteur naquirent de fructueuses conversations esthétiques et politiques où s'était affirmée leur aversion commune pour la peine de mort. Ils assistèrent au ferrement des galériens qui rejoignaient Toulon depuis Paris, décrit par Hugo dans deux chapitres du Dernier jour d'un condamné. Victime de l'exil comme Hugo, David d'Angers était rentré à Paris avant de rejoindre le monde des morts : « Mon exil est comme voisin de son tombeau, et je vois distinctement sa grande âme hors de ce monde, comme je vois sa grande vie dans l'histoire sévère de notre temps ». La « grande vie » de David d'Angers fut consacrée à façonner les effigies des hommes illustres, par un subtil équilibre de ressemblance et d'idéalisation. Le sculpteur prend finalement place dans le panthéon personnel de Victor Hugo, lui qui avait orné le fronton du véritable Panthéon des grands hommes où repose aujourd'hui l'écrivain : « David est aujourd'hui une figure de mémoire, une renommée de marbre, un habitant du piédestal après en avoir été l'ouvrier. Aujourd'hui, la mort a sacré l'homme et le statuaire est statue. L'ombre qu'il jette sur vous, madame, donne à votre vie la forme de la gloire ». C'était en effet à l'ombre des grands hommes qu'Hugo vécut son exil à Jersey, loin du tumulte de la capitale et dans le silence ponctué par les embruns frappant les carreaux. Hugo s'était plongé dans l'occulte et parlait aux disparus : « David est une des ombres auxquelles je parle le plus souvent, ombre moi-même », déclare-t-il, rappelant le poème final des Contemplations, « Ce que dit la bouche d'ombre », dicté au poète grâce‎

‎SAINT-PIERRE Michel de‎

‎Les aristocrates‎

‎- La table ronde, Paris 1954, 12x19cm, broché. - Edition postérieure de deux mois à l'originale. Agréable exemplaire en dépit de petites piqûres sur les tranches et complet de sa bande annonce. Envoi autographe signé de Michel de Saint-Pierre à Gaston J. Viala : "Ce roman où j'ai voulu parler de tradition et de fidélité." [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎PEREC Georges‎

‎Les choses‎

‎- Julliard, Paris 1965, 11,5x20cm, broché. - Edition de l'année de l'originale, mention de 78ème mille. Agréable exemplaire . [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎DUNAN Renée‎

‎Le prix Lacombyne‎

‎- Editions Mornay, Paris 1924, 13x18,5cm, broché. - Edition ornée d'illustrations originales de Jean Oberlé, mention de treizième édition. Agréable exemplaire en dépit de petites piqûres sur les tranches. Envoi autographe signé de Renée Dunan à Georges Pioch : "... ces historiettes presque édifiantes..." [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎BOULLE Pierre‎

‎Le pont de la rivière Kwaï‎

‎- Julliard, Paris 1952, 12x19cm, broché. - Edition de l'année de l'originale, mention de mille. Quelques petites rousseurs, deux petitres déchirures en tête du dos, une pâle mouillure marginale en tête du premier plat. Envoi autographe signé de Pierre Boulle à Gaston J. Viala. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ROBLES Emmanuel‎

‎Travail d'homme‎

‎- Charlot, Alger 1944, 12x19cm, broché. - Nouvelle édition originale. Rousseurs sur les gardes. Exemplaire complet de sa bande annonce : Prix populiste 1945. Envoi autographe daté et signé de Emmanuel Roblès à Gaston J. Viala. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎KROL Abram‎

‎Hors oeuvre‎

‎- Editions Noël, Paris 1998, 20x20cm, broché. - Edition originale sur papier courant. Ouvrage illustré de croquis de Victorine Séauve. Bel exemplaire. Envoi autographe daté et signé d'Abram Krol à son ami le poète Charles Dobzynski. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎SAND George‎

‎Lettre autographe à Gustave Flaubert : "Étroniforme est le mot sublime qui classe cette espèce de végétaux merdoïdes"‎

‎- Nohant 21 décembre 1867, 13,4x20,7cm, deux feuillets sous chemise et étui. - Lettre autographe de George Sand adressée à Gustave Flaubert datée du 21 décembre 1867, 8 pages sur deux feuillets rempliés. Publiée dans la Correspondance, XX, pp. 642-645. Issue d'une des plus belles correspondances littéraires du siècle, cette lettre écrite à la veille de Noël 1867 est un sublime témoignage de la franche amitié entre George Sand, le «?vieux troubadour?» et Gustave Flaubert baptisé «?cul de plomb?» après avoir décliné son invitation à Nohant pour achever l'Éducation sentimentale. Malgré les dix-sept ans qui les séparent, leurs tempéraments opposés et leur conception de la vie divergentes, le lecteur est saisi par la tendresse mais aussi l'étonnante verdeur de cette longue confidence de George Sand. Alors au faîte de sa gloire littéraire et à la joie de son théâtre de Nohant, Sand s'entretient longuement de politique, de leur séparation, de leur conception du travail d'écrivain, de la vie même. Dans cette lettre à l'allure de «?courant de conscience?», Sand couche naturellement et librement sur le papier huit pages de conversations avec l'écrivain, qui ne fait que de trop rares et brèves apparitions à Nohant?: «?Mais comme je bavarde avec toi?! Est-ce que tout ça t'amuse' Je le voudrais pour qu'une lettre de causerie te remplaçât un de nos soupers que je regrette aussi, moi, et qui seraient si bons ici avec toi, si tu n'étais un cul de plomb qui ne te laisses pas entraîner, à la vie pour la vie?», tandis que chez Flaubert, alors plongé dans l'écriture de l'Éducation sentimentale, la devise est plutôt l'art pour l'art. Cette fin d'année 1867 est marquée par la douleur de la disparition d'un «?presque frère?», François Rollinat, que Sand apaise par ses lettres à Flaubert et les soirées animées à Nohant?: «?Voilà comme je vis depuis 15 jours que je ne travaille plus. [...] Ah'?! quand on est en vacances, comme le travail, la logique, la raison semblent d'étranges balançoires?». Sand lui reprochait volontiers de travailler sans relâche dans sa robe de chambre, «?l'ennemi de la liberté?», alors qu'elle, courait par monts et par vaux, de Cannes à la Normandie, jusque sur les terres de l'écrivain qu'elle avait visitées en septembre. À cette occasion, Sand avait relu avec bonheur Salammbô dont quelques lignes se retrouvent dans Mademoiselle Merquem, sa dernière œuvre en date. Leur amitié littéraire et virile, comme celle avec Rollinat, défia toute la vieille garde des littérateurs qui affirmaient l'impossibilité d'une liaison sincère entre l'homme et la femme. Sand, qu'on a tour à tour qualifié de lesbienne, de nymphomane, rendue célèbre pour ses amours retentissantes et si diverses, entame une longue et riche correspondance avec Flaubert pour qui elle est une mère et un vieil ami. Le «?vieux troubadour?» ou «?vieux cheval?» ne se considérait même plus comme femme, mais comme un être quasi-homme, rappelant ses travestissements de jeunesse et son formidable mépris des barrières entre les sexes. À Flaubert qui avait écrit à celle qu'on surnomma la «?papesse des gynandres?»?: «?Pour mieux tirer à l'arc, elles s'écrasaient le téton?», en évoquant les Amazones?; Sand répond «?Je ne suis pas dans ton idée qu'il faille supprimer le sein pour tirer l'arc. J'ai une croyance tout à fait contraire pour mon usage et que je crois bonne pour beaucoup d'autres, probablement pour le grand nombre?». Guerrière certes, mais guerrière pacifique, Sand a volontiers adopté les usages d'un monde de lettrés misogynes, tout en ayant su rester elle-même?: «?Je crois que l'artiste doit vivre dans sa nature le plus possible. À celui qui aime la lutte, la guerre?; à celui qui aime les femmes, l'amour?; au vieux qui, comme moi, aime la nature, le voyage et les fleurs, les roches, les grands paysages, les enfants aussi, la famille, tout ce qui émeut, tout ce qui combat l'anémie morale.?» ajoute-t-elle ensuite. Belle évocation de sa «?période verte?», ce passage c‎

‎VIVANT DENON Dominique‎

‎Lettre autographe signée à Madame La Grange‎

‎- s.d. (avant 1804), 18x26cm, une feuille. - Lettre autographe signée de Dominique Vivant Denon, homme politique, écrivain et artiste, qui fut le premier directeur du musée du Louvre, alors Muséum Central des Arts de la République. Il s'adresse à une certaine Madame Lagrange, à l'hôtel d'Angiviller. Les ateliers du Louvre avaient tous été transférés à l'Hôtel d'Angiviller situé au no 4 de la rue de l'Oratoire, et notamment la chalcographie, les ateliers de restauration des peintures et de rentoilage anciennement dans le pavillon des Arts (aile sud de la Cour carrée) ainsi que l'atelier de moulage. Denon présente ses excuses à son destinataire, qui l'avait chargé de présenter au Premier consul les projets d'aménagement de son père architecte. Quelques années plus tard, l'hôtel d'Angiviller où résidait sa destinataire fait lui-même l'objet d'aménagements : en 1808, sont détruits les cours et jardins situés entre l'hôtel et le palais du Louvre, afin d'agrandir la place de l'Oratoire jusqu'à la place du Louvre. Il bénéficia d'une vue imprenable sur la colonnade du Louvre jusqu'en 1854, où il fut démoli pour laisser place à la nouvelle rue de Rivoli. "Comment voulez-vous, mon aimable amie, que je demande un local pour d'autres, lorsqu'avec un arrêté et l'urgence d'être logé, je n'ai point encore de quoi mettre ma tête - si je demandais au Premier Consul de lui faire voir le plan de Mr votre père il me dirait que cela regarde le Ministre de l'Intérieur et je ne serais plus en mesure de lui en parler, si je me trouve dans le cas de lui donner une idée de la grandeur de ce travail je ne négligerai rien de ce qui pourra lui faire naître le désir d'en voir le résultat. Si c'était un tableau ou un dessin je [...] mais tout ce qui est architecture ne se regarde pas. Je regrette bien de n'avoir pu aller vous voir et je n'ai pu encore disposer d'un seul instant [...] mille amitiés Denon" [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎VIVANT DENON Dominique‎

‎Lettre autographe signée à Caroline de Corval‎

‎- s.d. , 12,7x19,7cm, une feuille. - Lettre autographe signée de Dominique Vivant Denon à Caroline de Corval, enveloppe jointe. Denon, libertin notoire et auteur de romans érotiques en parallèle de sa carrière de peintre et de politique, s'adresse probablement à une de ses amantes. "C'est tout comme toi chère amie je suis [illisible] en espérance et tout cela se dissipe et ne reste que le mal j'ai passé une mauvaise nuit avec une inquiétude nerveuse qui ne m'a pas laissé reposer. Cela va un peu mieux ce matin. Je remets le tableau au porteur je renverrai la personne de suite. Ne travaille que si cela ne fatigue pas, tu t'affligerais autrement. Je t'embrasse de tout mon coeur, amitiés à toute la maison. Denon" [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎FRANCE Anatole‎

‎Le lys rouge‎

‎- Calmann Lévy, Paris s.d. ( circa 1920), 11,5x18,5cm, relié. - Nouvelle édition. Reliure en demi maroquin bleu marine, dos à cinq nerfs comportant de légères éraflures, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, couvertures conservées, tête dorée, reliure de l'époque signée Petitot. Envoi autographe signé d'Anatole France à madame Félix Roussel. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎FRANCE Anatole‎

‎Balthasar‎

‎- Calmann Lévy, Paris s.d. ( circa 1920), 11,5x18,5cm, relié. - Nouvelle édition. Reliure en demi maroquin bleu marine, dos à cinq nerfs, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, couvertures conservées, tête dorée, reliure de l'époque signée Petitot. Envoi autographe signé d'Anatole France à madame Félix Roussel : "... pour la conduire à l'étoile..." [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎FRANCE Anatole‎

‎La rôtisserie de la reine Pédauque‎

‎- Calmann Lévy, Paris s.d. ( circa 1920), 11,5x18,5cm, relié. - Nouvelle édition. Reliure en demi maroquin bleu marine, dos à cinq nerfs, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, couvertures conservées, tête dorée, reliure de l'époque signée Petitot. Envoi autographe signé d'Anatole France à madame Félix Roussel : "... à la docte et charmante rédactrice de la "Fronde, hommage confraternel." [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎LEAUTAUD Paul‎

‎Le petit ouvrage inachevé‎

‎- Arléa, Paris 1987, 14,5x22cm, broché. - Nouvelle édition, un des 69 exemplaires numérotés sur vergé Ingres, tirage de tête. Présentation d'Edith Silve. Bel exemplaire. Envoi autographe daté et signé d'Edith Silve : "A monsieur Baguenier Désormeaux, ce livre où l'on voit bien comment Léautaud sut être protecteur de toutes... les bêtes !" [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎FRANCE Anatole‎

‎Jocaste et le chat maigre‎

‎- Calmann Lévy, Paris 1899, 11,5x18,5cm, relié. - Nouvelle édition. Reliure en demi maroquin bleu marine, dos à cinq nerfs, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, couvertures conservées, tête dorée, reliure de l'époque signée à froid Petitot. Un infime manque angulaire en tête de la première garde. Envoi autographe signé d'Anatole France à madame Félix Roussel : "... ce très mauvais livre..." [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎FRANCE Anatole‎

‎Le mannequin d'osier‎

‎- Calmann Lévy, Paris s.d. (circa 1915), 11,5x18,5cm, relié. - Nouvelle édition. Reliure en demi maroquin bleu marine, dos à cinq nerfs, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, couvertures conservées, tête dorée, reliure de l'époque non signée mais attribuable à Petitot. Un petit accroc en tête du dos au niveau d'un nerf. Envoi autographe signé d'Anatole France à madame Henriette Lefebure. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎FRANCE Anatole‎

‎Le livre de mon ami‎

‎- Calmann Lévy, Paris 1900, 11,5x18,5cm, relié. - Nouvelle édition. Reliure en demi maroquin bleu marine, dos à cinq nerfs, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, couvertures conservées, tête dorée, reliure de l'époque signée à froid Petitot. Bel exemplaire. Envoi autographe signé d'Anatole France à madame Félix Roussel. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

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