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‎Autographs‎

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Number of results : 64,611 (1293 Page(s))

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‎FRANCE Anatole‎

‎Les désirs de Jean Servien‎

‎- Calmann Lévy, Paris 1907, 11,5x18,5cm, relié. - Nouvelle édition. Reliure en demi maroquin bleu marine, dos à cinq nerfs, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, couvertures conservées, tête dorée, reliure de l'époque signée à froid Petitot. Bel exemplaire en depit de légères éraflures sur le dos. Amusant envoi autographe signé d'Anatole France à madame Félix Roussel : "... ce livre que j'ai oublié, en la priant d'en faire autant..." [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎LE CLEZIO Jean-Marie Gustave BAUDOIN Edmond‎

‎Le procès-verbal‎

‎- Gallimard, Paris 1989, 22x29,5cm, reliure souple de l'éditeur. - Edition illustrée de dessins d'Edmond Baudoin. Agréable exemplaire. Reliure souple de l'éditeur. Notre exemplaire est enrichi d'un envoi autographe et dessin original signé d'Edmond Baudoin à l'encre noire représentant le visage d'une femme. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎GUILLEVIC‎

‎Du domaine. - Euclidiennes‎

‎- Gallimard, Paris 1985, 10,5x18cm, broché. - Edition en format livre de poche. Petites rousseurs en marges du premier plat. Envoi autographe signé d'Eugène Guillevic à Jean-Baptiste Para. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎VIVANT DENON Dominique‎

‎Lettre autographe signée sur sa rencontre avec lady Cradock‎

‎- Paris 13 décembre 1815, 12,7x19,7cm, une feuille. - Lettre autographe signée de Dominique Vivant Denon, peintre, écrivain, politique et libertin notoire, sur un feuillet remplié. Denon raconte une rencontre galante avec la célèbre britannique Lady Cradock, qui avait rédigé un journal de ses tribulations françaises sous Louis XVI et déploré les conditions d'hygiène des Français. "Monsieur le Baron, J'étais heureusement chez moi lors de la visite inopinée de Milady Cradoch. Je déduis que leur curiosité ait été satisfaite, elles ont eu toute la bonne grâce qui pourrait sur cela me rassurer [...]" [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎DEMONT-BRETON Virginie‎

‎Carte lettre autographe signée‎

‎- s.d., 11,7x8,9cm, une carte. - Carte lettre autographe signée de la peintre de genre et femme de lettres Virginie Demont-Breton, prenant rendez-vous pour un portrait photographique. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎DEMONT-BRETON Virginie‎

‎Carte lettre autographe signée à propos de son tableau La Plage‎

‎- s.d., 11,4x9cm, une carte. - Carte lettre autographe signée de la peintre de genre et femme de lettres Virginie Demont-Breton, remerciant une journaliste pour sa critique de son tableau "La Plage" (aujourd'hui conservé au musée des Beaux-Arts d'Arras) dans le journal Le Rappel. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎BUTOR Michel MASUROVSKY Gregory‎

‎Obliques. Numéro spécial Michel Butor & Gregory Masurovsky‎

‎- Borderie, Paris 1976, 21x27cm, broché. - Edition originale ornée de nombreuses illustrations de Gregory Masurovsky. Nombreuses contributions dont Michel Butor, Georges Raillard, Grégory Masurovsky, Shirley Goldfarb... Dos légèrement insolé. Envoi autographe daté et signé de Gregory Masurovsky à Georges Raillard. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎MASUROVSKY Gregory‎

‎Carte de voeux autographe signée adressée à Georges et Alice Raillard‎

‎- Paris 6 Janvier 2008, 15x10,5cm, une carte de voeux sous enveloppe. - Carte de voeux autographe signée de Gregory Masurovsky adressée au critique d'art Georges Raillard et sa femme Alice, enveloppe jointe. Le devant de la carte est illustré d'une reproduction d'une oeuvre picturale de Gregory Masurovsky intitulée "L'apparition de la vierge et l'enfant". [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎MASUROVSKY Gregory‎

‎Carte de voeux autographe signée adressée à Georges et Alice Raillard pour Noël de l'année 1995 et de bonne année pour 1996‎

‎- Paris 26 Décembre 1995, 15x21,5cm, une carte de voeux sous enveloppe. - Carte de voeux autographe signée de Gregory Masurovsky, pour Noël 1995 et la bonne année 1996, adressée au critique d'art Georges Raillard et sa femme Alice, enveloppe jointe. Le devant de la carte est illustré d'une reproduction d'une oeuvre picturale de Gregory Masurovsky intitulée "L'homme à la Pomme-Adam". La carte de voeux est imprimée sur papier d'Arches. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎NASSAR Raduan‎

‎Lavoura arcaica‎

‎- José Olympio editora, Rio de Janeiro 1975, 13x18,5cm, broché. - Edition originale. Agréable exemplaire malgré une pâle mouillure qui affecte les derniers feuillets en pied. Rare envoi autographe signé de Raduan Nassar, en portugais, à la traductrice Alice (Raillard) et son époux le critique d'art Georges. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎AMADO Jorge‎

‎Os velhos marinheiros ou a completa verdade sobre as discutidas aventuras do commandante Vasco Moscoso de aragoa, capitao de longo curso‎

‎- Editoria Record, Rio de Janeiro 1976, 13,5x20,5cm, broché. - Nouvelle édition ornée d'illustrations. Agréable exemplaire. Envoi autographe signé de Jorge Amado, en portugais, à un ami prénommé André. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎LACOTE René‎

‎Tristan Tzara‎

‎- Pierre Seghers 1952, 13,5x15,5cm, broché. - Edition originale sur papier courant. Iconographie. Petits manques angulaires sur le dos et les plats. Précieux envoi autographe signé de Tristan Tzara : "A André Masson de tout coeur (un petit coeur dessiné). Tristan Tzara 10 Juillet 52." [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎SAINT-JOHN PERSE‎

‎Anabase‎

‎- Brentano's, New York 1945, 18x25,5cm, broché. - Troisième édition enrichie de notes bibliographiques et de textes de Valéry Larbaud, Hugo Von Hofmannsthal et T.S. Eliot, un des exemplaires numérotés sur strathmore, seul tirage après 300 papier Italia. Agréable exemplaire, discret ex-dono à la plume du dédicataire en tête de la première garde. Envoi autographe signé de Saint-John Perse à Jean-Dominique Rey : "... au seuil de sa vie d'artiste, avec mes voeux, qui n'ont jamais été déçus." [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎BOSCO Henri‎

‎Le mas Théotime‎

‎- Charlot, Alger 1945, 14,5x20,5cm, broché. - Nouvelle édition postérieure de quelques jours l'édition originale, mention de mille en pied du second plat. Quatre restaurations sur le dos et en angles des plats, petits manques en tête et en pied du dos, plats légèrement salis. Envoi autographe signé d'Henri Bosco à Gaston J. Viala. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLETTE‎

‎Mes cahiers‎

‎- Aux armes de France, Paris 1941, 14x22,5cm, broché. - Edition illustrée d'un portrait de Colette par Luc-Albert Moreau, un des 300 exemplaires hors commerce numérotés sur Ivoirine. Restaurations sur le dos et les mors, petits manques angulaires comblés sur les plats, agréable état intérieur. Exceptionnel et précieux envoi autographe signé de Colette : "Pour Drieu La Rochelle en souvenir de Colette." [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎TARDIEU Jean‎

‎Comme ceci comme cela‎

‎- Gallimard, Paris 1979, 14x20,5cm, broché. - Edition originale, un des exemplaires du service de presse. Agréable exemplaire. Envoi autographe signé de Jean Tardieu à André Laude. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎BLONDIN Antoine‎

‎Télégramme adressé à son meilleur ami Roger Nimier depuis Stockholm‎

‎- Stockholm 23 Août 1958, 21x16cm, un feuillet. - Télégramme signé d'Antoine Blondin envoyé à Roger Nimier à son adresse parisienne du 24 avenue Jean Mermoz depuis Stockholm. "Attends mon retour pour décision Lalanne. A mardi. Bise nordique. Antoine." Un feuillet remplié. Instructif et laconique témoignage de la complicité et de la fraternelle amitié qui unissait ces deux noceurs, chefs de file, "malgré eux" des "Hussards". A propos de la profonde amitié que Blondin témoignait à Roger Nimier et du mythe des Hussards, l'auteur déclara à Emmanuel Legeard qui l'interrogeait : « Ce sont les "hussards" qui sont une invention. Une invention "sartrienne". En réalité, l'histoire, c'est mon ami Frémanger, qui s'était lancé dans l'édition, qui avait un seul auteur, c'était Jacques Laurent, et un seul employé, c'était moi. Laurent écrivait, et moi je ficelais les paquets de livres. Donc on se connaissait, on était amis, et d'autre part... d'autre part, Roger Nimier était mon meilleur ami. Nimier, je le voyais tous les jours. Je l'ai vu tous les jours pendant treize ans. Mais Laurent et Nimier ne se fréquentaient pas du tout. Ils avaient des conceptions très différentes. On n'a été réunis qu'une seule fois. On s'est retrouvés rue Marbeuf, au Quirinal, pour déjeuner. On a discuté de vins italiens et de la cuisson des nouilles. Pendant deux heures." [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎TROYAT Henri‎

‎Le front dans les nuages‎

‎- Flammarion & Editions ex-libris, Paris & Lausanne 1959, 14,5x20cm, reliure de l'éditeur. - Nouvelle édition. Reliure à la bradel de l'éditeur en plein cartonnage bleu, dos lisse, exemplaire complet de sa jaquette illustrée. Petites taches sur les tranches, sinon agréable exemplaire. Envoi autographe signé d'Henri Troyat à madame André Morice, plusieurs fois ministre et ancien maire de Nantes. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎AYME Marcel‎

‎Vogue la galère‎

‎- Grasset, Paris 1944, 12x19cm, broché. - Deuxième édition parue la même année que l'originale, un des exemplaires du service presse. Deux petites taches et deux déchirures en tête et en pied du dos, le dessin dépliant de Gérard Cochet est coupé en deux et volant. Envoi autographe signé de Marcel Aymé à Luc Vincent. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎NERVAL Gérard de‎

‎Billet autographe signé de Gérard de Nerval adressé à Georges Bell‎

‎- S.l. s.d. [1853], 13,5x8,8cm, une feuille. - Billet autographe signé de Gérard de Nerval adressé à son ami Georges Bell, quatre lignes rédigées au crayon de papier et signées de son prénom "Gérard". Trace de tampon au verso. Deux petits trous d'épingle sans atteinte au texte, deux traces transversales de pliure inhérentes à la mise sous pli du billet. Ce petit mot a été rédigé lors de l'avant-dernier séjour de l'écrivain chez le Docteur Blanche en 1853. Ce billet a été retranscrit dans le tome 3 des Oeuvres complètes de Nerval à la Pléiade. Gérard de Nerval fit la connaissance de Joachim Hounau, connu sous le nom de plume Georges Bell, chez Joseph Méry, à Marseille en 1843, au retour de son voyage d'Orient. Bell fut un très proche ami de Gérard de Nerval qui, agonisant, l'appelera à son chevet. Les autographes de Gérard de Nerval sont très rares. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ARAGON Louis & [JUIN Hubert]‎

‎Lettre autographe signée de Louis Aragon à un critique sur son oeuvre: "Je me considère pour ce qui est de ce que j'écris, comme dépourvu de droit d'orienter ce qui s'écrit de moi"‎

‎- s. l. s. d. (circa 1967), 21x26,9cm, une feuille. - Lettre autographe signée de Louis Aragon, 11 lignes et 2 lignes de post-scriptum à l'encre bleue, adressée à un critique vers 1967. Traces de pliures inhérentes à la mise sous pli de la lettre. Emouvante lettre du poète qui, au détour d'une question d'un biographe, offre à cet impertinent interlocuteur une réponse désabusée sur le droit du poète à contrôler les exégèses : "Que vous dire ? Je ne puis vous conseiller dans le détail, ni m'amuser à rectifier ceci ou cela. Je me considère pour ce qui est de ce que j'écris, comme dépourvu de droit d'orienter ce qui s'écrit de moi, ce qui n'est que de peu précéder l'époque où on ne me demandera même plus on avis." Le poète, cependant s'insurge contre cette institutionalisation qui semble précipiter l'achèvement de sa carrière en soulignant l'importance de son oeuvre poétique des dernières années : "puisque vous voulez compléter votre livre, n'oubliez pas que dans le temps qui s'est passé depuis que l'avez écrit, il n'y a pas eu que Le Fou [d'Elsa], La M.à.m. [La mise à mort] et Blanche [ou l'oubli]. Mais aussi Le voyage de Hollande (augmentée de quelques poèmes dans la seconde édition) et l'Elégie à Pablo Neruda." Le destinataire de la lettre pourrait être Hubert Juin qui a publié en 1960 un essai sur Aragon chez Gallimard, mais le ton employé semble un peu expéditif envers un critique aussi important. Une autre oeuvre consacrée à Aragon fut publiée durant la même période : Georges Sadoul, Aragon, collection Poètes d'aujourd'hui, numéro 159, Seghers, en 1967, mais aucun titre mentionné ne manque et il n'avait écrit aucun livre sur Aragon auparavant. A moins qu'il ne s'agisse de Roland Desné, auteur de l'article mentionné par Aragon en post-scriptum ("La Semaine sainte d'Aragon", Le Français dans le monde, no 21, décembre 1963, pp. 41-48.). [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎DUPE Gilbert GOETZ Georges‎

‎La foire aux femmes‎

‎- S.n., Paris 1946, 19x24cm, broché. - Nouvelle édition imprimée spécialement pour les amis de l'auteur. Dos très légèrement insolé comportant trois petites et claires mouillures, déchirures marginales sans gravité sur les plats. Ouvrage orné d'illustrations hors-texte en couleurs de Georges Goetz. Envoi autographe signé de Gilbert Dupé à André Morice, alors ministre des transports. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎NERVAL Gérard de‎

‎Lettre autographe signée de Gérard de Nerval adressée à Auguste Cavé‎

‎- Paris 18 novembre [1841], 13,9x20,8cm, une page sur un feuillet remplié. - Lettre autographe signée de Gérard de Nerval adressée à Auguste Cavé, rédigée d'une écriture soignée à l'encre noire sur la première page d'un double feuillet. Infimes traces de pliures inhérentes à la mise sous pli et quelques claires piqûres. Cette lettre a a été retranscrite dans les Oeuvres complètes de Nerval à la Pléiade. Après deux violentes crises de nerfs, Gérard de Nerval fut contraint de séjourner à la clinique du Docteur Blanche entre mars et novembre 1841. Désargenté, il adresse cette lettre à son ami Auguste Cavé, alors directeur de la section des Beaux-Arts au ministère de l'Intérieur, pour solliciter son appui auprès de « M. le Ministre » : « Quoi qu'entièrement rendu à la santé, je sens que je ne puis encore travailler qu'avec ménagement, et s'il était possible que l'on m'aidât d'une légère somme mensuelle [...] je serais plus sûr de pouvoir reprendre peu à peu ma position littéraire, sans risquer de nouveaux accidens ». [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎NERVAL Gérard de‎

‎Lettre autographe signée de Gérard de Nerval adressée à Hippolyte Delaunay‎

‎- Paris s.d. (avril 1841), 13,5x21cm, une page sur un feuillet. - Lettre autographe signée de Gérard de Nerval adressée à Hippolyte Delaunay rédigée à l'encre noire. Nom du destinataire de la main de Nerval au dos du feuillet. Une pliure centrale inhérente à la mise sous pli. Cette lettre a a été retranscrite dans les Oeuvres complètes de Nerval à la Pléiade. Gérard de Nerval est enfin « libre et sorti de la maison Blanche » après y avoir séjourné des suites de sa crise du début printemps 1841. Il ne s'agit toutefois pas d'une sortie définitive mais probablement d'une permission accordée par le docteur Blanche à son patient, ce dernier ne sortira définitivement qu'en novembre 1841. L'écriture, difficilement lisible par endroits, montre la fébrilité de Gérard de Nerval, qui cherche à renouer avec le milieu littéraire : « J'apporte des masses de copie, pour vous et trois ou quatre autres journaux. » Hippolyte Delaunay fut rédacteur en chef de la revue L'Artiste dans laquelle Nerval publia le 11 avril de la même année un article intitulé « Mémoires d'un Parisien, Sainte-Pélagie 1832 ». [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎MAETERLINCK Maurice & SHAKESPEARE William‎

‎La tragédie de MacBeth‎

‎- Fasquelle, Paris 1910, 13,5x20,5cm, broché. - Nouvelle édition originale de la traduction française établie par Maurice Maeterlinck. Quelques petites rousseurs sans gravité. Reliure à la bradel en demi cartonnage façon vélin, dos lisse orné d'un motif floral doré, date dorée en queue, pièce de titre de basane rouge, plats de papier marbré, couvertures conservées, reliure de l'époque. Envoi autographe signé de Maurice Maeterlinck à André Beaunier. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎LE CORBUSIER‎

‎Quand les cathédrales étaient blanches‎

‎- Plon, Paris 1937, 14,5x20,5cm, broché. - New edition. Spine folded as usually, nice copy. Illustrated with drawings by the author in and hors-texte. Very nice handwritten inscription dated and signed by Le Corbusier : " Pour Mr Roland Brun ami de notre ami Level, tous "bâtisseurs de cathédrales"... futures : les unités d'habitation dans lesquelles, (dans chaque foyer)." sera le temple de la famille... CQFD ! Très sympathiquement. Le Corbusier. 1 Dec 1960." [FRENCH VERSION FOLLOWS] Nouvelle édition. Dos ridé comme habituellement, agréable exemplaire. Ouvrage illustré de dessins de l'auteur in et hors-texte. Très bel envoi autographe daté et signé de Le Corbusier : " Pour Mr Roland Brun ami de notre ami Level, tous "bâtisseurs de cathédrales"... futures : les unités d'habitation dans lesquelles, (dans chaque foyer)." sera le temple de la famille... CQFD ! Très sympathiquement. Le Corbusier. 1 Dec 1960."‎

‎ZOLA Emile‎

‎Lettre autographe d'Emile Zola à son ami Henry Céard à propos de la préparation de La Débâcle : "Je travaille ici violemment pour entamer mon terrible bouquin"‎

‎- Médan 8 juillet 1891, 13,5x21,4 cm, une feuille. - Lettre autographe signée d'Emile Zola, adressée à son « vieil ami » Henry Céard et datée du 8 juillet 1891. Seize lignes à l'encre noire sur un feuillet remplié sur papier vergé filigrané Lacroix frères, traces de pliure inhérentes à la mise sous pli de la lettre. Cette lettre a été retranscrite dans la correspondance d'Emile Zola établie par Bernouard (1872-1902, lettre 134). Loin d'être une simple invitation à dîner, cette missive témoigne de la fameuse méthode zolienne du dossier préparatoire. L'écrivain, préalablement à la phase d'écriture, réunissait en effet tous les documents concernant le sujet de son futur roman. La Débâcle marque le point culminant de cette habitude, Zola compilant pas moins de 1250 feuillets de recherches pour sa préparation : « Je travaille ici violemment pour entamer mon terrible bouquin, et je crois bien que tous les documents étant à peu près digérés, je vais me mettre à écrire sous peu de jours. » Ces « documents » revêtent une importance capitale : ce sont eux qui permettaient à Zola de répondre à ses détracteurs quant au réalisme de ses romans. Intéressante lettre de Zola à son très proche ami Henry Céard, comme lui membre du groupe de Médan. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ARTAUD Antonin‎

‎Lettre autographe signée d'Antonin Artaud adressée à ses médecins au début de son internement‎

‎- Paris (Hôpital Saint-Anne) 9 juillet 1938, 10,7x17 cm, une feuille. - Lettre autographe signée d'Antonin Artaud, adressée à ses médecins, les docteurs Nodet et Chapoulot. 32 lignes au crayon violet d'une écriture nerveuse, sur un feuillet remplié, papier à petits carreaux. Publiée dans Les lettres 1937-1943. Antonin Artaud est alors interné depuis octobre 1937 après son voyage "christique" en Irlande. Le certificat du 16 octobre 1937 le décrit dans un "état psychotique à base d'hallucinations et d'idées de persécutions, d'empoisonnement par des gens hostiles à ses convictions religieuses de chrétien orthodoxe, se dit sujet grec, caricaturiste à Paris qu'il aurait quitté pour se réfugier à Dublin d'où on l'a refoulé, croit-il, pour l'agresser dans le bateau. Protestations paranoïaques". Le préfet de la Seine-Inférieure le déclare ensuite « dangereux pour l'ordre public et la sûreté des personnes ». Artaud s'évertua durant les prochains mois à sortir de cette situation et déclara être l'objet d'une méprise : "Vous m'avez dit à plusieurs reprises que ma sortie dépendait de la préfecture. Je me décide justement à vous communiquer deux ou trois choses qui seront de nature à intéresser vivement la préfecture de police en général et M. Langeron en particulier. Celui-ci d'ailleurs ne pourrait manquer de vous en savoir gré. Je me permets d'insister sur la responsabilité grave que vous encourriez en face des autorités compétentes en ne prenant pas au sérieux mes assertions." Quelques semaines après, le 27 août, il exécuta ses menaces et écrivit au préfet Langeron (Les lettres 1937-1943), cependant cette lettre ne lui parviendra jamais. A son arrivée à Sainte-Anne en avril 1938, Lacan l'examina et le trouva « irrémédiablement fixé » et perdu pour la littérature. Belle lettre autographe empreinte de frénésie dans le style et la graphie. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎JOUHANDEAU Marcel‎

‎Lettre autographe signée de Marcel Jouhandeau adressée à son amant Robert Coquet‎

‎- Dimanche [1948], 10,5x16,1 cm, une feuille. - Lettre autographe signée de Marcel Jouhandeau, adressée probablement à son amant Robert Coquet, jeune militaire rencontré dans le train d'Avignon en avril 1948. 33 lignes à l'encre noire sur un feuillet remplié, traces de pliure inhérentes à la mise sous pli de la lettre. La relation avec ce jeune homme, alors âgé de vingt ans, dura une dizaine d'années et inspira deux livres à Marcel Jouhandeau : L'École des Garçons, paru en 1953 et Du Pur Amour, en 1955. "Hier soir, quand je suis rentré , ivre un peu, de chez Florence, Elise m'a appris que tu étais venu avec la farine. J'ai bien regretté de ne m'être pas trouvé là. Comme tu es gentil, merci, mon chéri. Elise se tourmente pour ses locataires, mais pour toi aussi. Ne manque pas de préparer sa rencontre avec cette fille. il suffit parfois d'une démarche opportune pour tout remettre en ordre. Elise est très intelligente. Elle verra tout de suite si cette petite est de celles qui se tuent et une femme dans ces circonstances parle à une femme beaucoup mieux que nous ne saurions faire. J'ai peur que tu te fasses trop de soucis. Parce que tu n'es pas seul, que je suis là pour te réconforter. Je n'ose te dire sur ce papier ma joie de t'aimer après ce qui précède, mais tu sais bien que je ne vis que de toi et pour toi". Belle lettre intime et romantique. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎JOUHANDEAU Marcel‎

‎Billet autographe signé de Marcel Jouhandeau adressé à son cher ami‎

‎- Samedi 6 novembre 1941, 10x15,8 cm, une feuille. - Billet autographe signé de Marcel Jouhandeau, adressé à son cher ami. 9 lignes à l'encre bleue sur un feuillet , traces de pliure inhérentes à la mise sous pli de la lettre. "Malgré le très grand plaisir que je me faisais de vous recevoir demain. Je ne suis pas libre. Excusez-moi. Dès que possible. Je vous ferai signe." Bel état. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎LOTI Pierre‎

‎Billet autographe de Pierre Loti signé de son vrai nom Julien Viaud : "Malade depuis hier matin, je ne puis aller jusqu'à vous."‎

‎- Hendaye s. d., 11,3x9 cm, une feuille. - Billet autographe de Pierre Loti, signé Julien Viaud. 8 lignes à l'encre noire sur un billet cartonné. "Malade depuis hier matin, je ne puis aller jusqu'à vous. J'aurais grand plaisir à vous voir ce soir, entre 5 et 6h, si vous n'avez rien de mieux à faire, - où bien demain soir à la même heure si vous ne pouvez pas aujourd'hui". [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎LOTI Pierre‎

‎Lettre autographe signée de Pierre Loti adressée à un amiral‎

‎- s. l. 13 novembre Minuit [1905], 21,6x33,6 cm, une feuille. - Lettre autographe de Pierre Loti signéez de son vrai nom "Julien Viaud" adressée à un amiral, datée sans l'année. 6 lignes à l'encre noire sur un feuillet remplié, traces de pliure inhérentes à la mise sous pli de la lettre et déchirées au commencement, légères rousseurs. "Les ordres sont données au Dépôt pour que le détachement prévu soit aux subsistances demain matin 14 à 7 heures ; mais avec deux boulangers coqs seulement, au lieu de six. Le commandant du 4e Dépôt". Pierre Loti a commandé du 1er novembre 1905 au 13 septembre 1906, le 4ème Dépôt des Équipages de la Flotte à Rochefort. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎NERVAL Gérard de‎

‎Reçu autographe signé de Gérard de Nerval‎

‎- s.l. [1837 ou 1849], 13,4x9,4cm, un petit billet. - Reçu autographe signé "Gérard" : "J'ai reçu de M. Rouy la somme de 10F à compte. Gérard. Ce 27". Daniel Rouy était gérant et caissier du journal La Presse. Deux traces de pliure transversales. Cette reconnaissance de dette, simplement datée "ce 7" pourrait avoir été rédigée en août 1849, si l'on se réfère à une lettre à Ernesta Grisi, compagne de son ami Théophile Gautier, dans laquelle, le poète évoque une telle créance : "Je n'ai pu toucher l'argent qu'aujourd'hui mercredi. M. Rouy n'y était pas. J'y suis allé 4 fois aujourd'hui..." (Pléiade, tome 1, lettre 143 du 30 août 1849). Cependant Michel Brix, auteur de Nerval, Glanes et miettes de presse et membre de l'Académie Royale de Langue et de Littérature Françaises de Belgique, nous a très obligement fait remarquer que Nerval signait "Gérard" plutôt entre 1837 et 1840 et qu'en 1849, il signait ce genre de billets "Gérard de Nerval". [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎NERVAL Gérard de‎

‎Lettre autographe signée de Gérard de Nerval adressée à son père le Dr Labrunie‎

‎- Paris s.d. [circa mars 1841], 10x13,1, un feuillet et son enveloppe dépliée. - Très rare lettre autographe signée "Gérard Labrunie" adressée à "[son] cher papa" le Dr Labrunie. 13 lignes rédigées d'une petite écriture à l'encre noire sur une page. Enveloppe dépliée jointe présentant plusieurs tampons postaux, restaurée au dos à l'aide d'une pièce adhésive. Quelques pliures transversales ainsi que quelques très discrets trous, sans atteinte au texte et inhérents à l'utilisation d'une épingle pour sceller la missive. Belle lettre de Gérard Labrunie à son « cher papa » à propos d'une « affaire très embrouillée » ayant trait à la « qualité de subrogé tuteur » du père de l'écrivain. Très rare signature de Gérard de Nerval sous son véritable patronyme : Gérard Labrunie. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎NERVAL Gérard de‎

‎Lettre autographe signée de Gérard de Nerval adressée à Georges Bell‎

‎- Paris s.d. [novembre 1853?], 10x13,6cm, un feuillet et son enveloppe dépliée. - Lettre autographe signée "votre G." adressée à Georges Bell, rédigée à l'encre bleue au recto d'un petit feuillet. Enveloppe autographe dépliée jointe contenant une phrase que Nerval n'avait pas mise dans sa lettre. Cette lettre a été retranscrite dans la Pléiade, tome 1, lettre 264. Après plusieurs rendez-vous manqués et alors qu'il se trouve à la clinique du Docteur Blanche, Nerval demande à George Bell de ne "[se] préoccupe[r] pas trop de l'affaire de Passy". Malgré son enfermement, Nerval continue à mener ses affaires : "Je conçois un projet ou système d'emprunt qui a quelques chances de réussite - mais il faut que j'engage très sérieusement ma signature." Il termine sa lettre sur une énigmatique formule : "Vous savez que je vous ai fait un conte ce matin. Je sortais des bras de...cherchez." [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎NERVAL Gérard de‎

‎Lettre autographe signée de Gérard de Nerval adressée à Daniel Rouy‎

‎- s.l. [1837 ou 1849], 9,9x14,3cm, une page sur un feuillet, enveloppe jointe. - Lettre autographe signée "votre bien dévoué Gérard" adressée à Daniel Rouy. Enveloppe jointe. Cette lettre, simplement datée "Le 12" pourrait avoir été rédigée en août 1849, si l'on se réfère à une lettre à Ernesta Grisi, compagne de son ami Théophile Gautier, dans laquelle, le poète évoque un tel escompte : "Je n'ai pu toucher l'argent qu'aujourd'hui mercredi. M. Rouy n'y était pas. J'y suis allé 4 fois et j'ai porté les 10F. aujourd'hui, je ne sais pas s'il faut faire le prochain feuilleton ni comment il faut signer." (Pléiade, tome 1, lettre 143 du 30 août 1849). Cependant Michel Brix, auteur de Nerval, Glanes et miettes de presse et membre de l'Académie Royale de Langue et de Littérature Françaises de Belgique, nous a très obligement fait remarquer que Nerval signait "Gérard" plutôt entre 1837 et 1840 et qu'en 1849, il signait ce genre de billets "Gérard de Nerval". [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎NERVAL Gérard de‎

‎Lettre autographe signée de Gérard de Nerval adressée à Joseph Méry‎

‎- Paris 23 septembre 1853, 9,7x14,5cm, une page sur un feuillet, enveloppe jointe. - Lettre autographe signée "votre ami Gérard" adressée à Joseph Méry. Enveloppe présentant un petit manque angulaire, inhérent au cachetage, jointe. Pliures transversales. Cette lettre a été transcrite dans la correspondance éditée à la Pléiade (tome 3, p. 811). "Envoyez vite à Théo ce qui est imprimé de la pièce. Il fera de grandes citations surtout le Serpent." La "pièce" en question est Gusman le Brave créée à l'Odéon le 23 septembre 1853. Le 4 octobre, Théophile Gautier entretiendra de cette pièce les lecteurs de La Presse. "Le Serpent" est une allusion au récit de José à l'acte II, scène 1. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎NERVAL Gérard de‎

‎Billet autographe signé de Gérard de Nerval adressé à Georges Bell‎

‎- s.d. (1853-1854), 8,5x13,9cm, un billet sur un petit bout de papier. - Billet autographes de Geérard de Nerval, signé "votre Gérard", adressé à Georges Bell : "Au fait je ne suis pas sûr de venir de bonne heure demain parce que je sors aujourd'hui. Tâchez donc d'être vers 3 heures au Mousq[uetaire]. Mais ne vous gênez pas en cas de difficulté." Quelques pliures transversales et infimes trous d'épingle. Ce billet a été retranscrit dans la correspondance publiée à la Pléiade (tome 3, p. 839), il a été écrit durant l'avant-dernier ou le dernier séjour de Nerval à la clinique du Docteur Blanche. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎VERLAINE Paul‎

‎La bonne chanson‎

‎- Léon Vanier, Paris 1891, 12x19cm, relié. - Deuxième édition imprimée à petit nombre sur vergé de Hollande. Reliure en demi maroquin rouge à coins, dos à cinq nerfs, date dorée en queue, infime décoloration sans gravité du dos, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier caillouté, couvertures et dos conservés, tête dorée, élégante reliure non signée établie toute fin XIXème-début XXème. Provenance : de la bibliothèque Simone et André Maurois avec leur ex-libris gravé et encollé sur un contreplat. Envoi autographe signé de Paul Verlaine à la cantatrice Marie-Blanche Vasnier : "A Madame Vasnier, hommage respectueux. P. Verlaine." Marie-Blanche Vasnier fut la muse du jeune Claude Debussy, de quatorze ans son cadet, qui lui dédia de nombreux chants d'amour. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎NERVAL Gérard de‎

‎Billet autographe signé de Gérard de Nerval adressé à probablement adressé à Achille Denis‎

‎- Paris s.d. (circa janvier 1850), 9,8x13,3cm, une page sur un feuillet, enveloppe jointe. - Billet autographe signé"Gérard de Nerval" adressé à probablement adressé à Achille Denis, rédacteur en chef du Messager des Théâtres. Enveloppe jointe. Pliures inhérentes à la mise sous pli. Une bande de papier encollée en marge gauche du feuillet et de l'enveloppe. Cette lettre a été retranscrite dans la correspondance publiée à la Pléiade (tome 3, p. 923). Dans ce court billet, Nerval sollicite "trois places pour Les Porcherons", opéra-comique de Thomas Sauvage sur une musique d'Albert Grisar. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎NERVAL Gérard de‎

‎Billet autographe signé de Gérard de Nerval adressé à Eugène de Stadler‎

‎- Paris s.d. [après le 8 août 1854], 9,7x13,2cm, une page sur un feuillet, enveloppe jointe. - Billet autographe signé "Gérard" adressé à son proche ami Eugène de Stadler. Enveloppe jointe. Pliures inhérentes à la mise sous pli. Un petit trou dans l'enveloppe, conséquence du cachetage de celle-ci. Ce billet a été transcrit dans la correspondance publiée à la Pléiade (tome 3, p. 889). Etonnant et succinct billet rédigé juste après son arrivée chez le Docteur Blanche invitant son ami à dîner "à la meson (sic) Blanche". Sur l'enveloppe, d'une écriture plus désordonnée encore que celle du billet, on lit quelques mots à la mine de plomb : "J'ai donné à Antony et à Blanche [..] Mirecourt". Gérard de Nerval avait en effet découvert, quelques mois plus tôt, une plaquette d'Eugène de Mirecourt lui étant consacrée : "...j'ai trouvé la biographie sur l'étalage d'un libraire. Mirecourt m'a bien chargé. Il m'a peint en beau...et en buste. Je relèverai les erreurs quelque autre jour, mais il a trop parlé de ma misère." (Lettre à Georges Bell du 1er juin 1854). [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎NERVAL Gérard de & BARTHET Armand‎

‎Lettre autographe signée de Gérard de Nerval adressée à Armand Barthet, suivie d'un commentaire autographe et biographique de ce dernier‎

‎- Paris s.d. (fin 1852), 10,2x13,2cm, quatre pages sur un feuillet remplié. - Lettre autographe signée "ton ami G." adressée au poète et dramaturge Armand Barthet. Nerval félicite "[son] cher ami" pour son drame Le Chemin de Corinthe : "Non seulement je l'ai lu mais je l'ai recommandé chaudement à Delord et à Huard. C'est très beau (ceci est vague) mais c'est même nouveau". Pliures inhérente à la mise sous pli. Une bande de papier à la jonction des deux pages et une restauration en marge intérieure gauche. Cette lettre a été retranscrite dans la correspondance publiée à la Pléiade (tome 3, p. 796). Le destinataire a rédigé, directement à la suite de cette lettre une émouvante notice biographique concernant Gérard de Nerval : "Nul ne savait où il demeurait - il rodait toute la nuit, les poches de sa longue redingote, gonflé (sic) de bouquins". [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎NARCISSE Alphonse‎

‎L'ombre de la morte‎

‎- Plon, Paris 1954, 12x19cm, broché. - Edition de l'anné de l'originale, mention de 17ème mille. Dos légèrement insolé. Envoi autographe signé d'Alphonse Narcisse à madame André Morice. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎DURRELL Lawrence‎

‎Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun : "J'espère que la pièce mérite notre déplacement"‎

‎- Sommières 6-10-1971, 10,5x15cm, une carte postale. - Carte postale autographe signée "Larry" de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir, au verso d'une reproduction d'un dessin d'Eben "Etes-vous con...ducteur?". L'écrivain donne rendez-vous à sa jeune amante montpelliéraine : "... j'arrive vers midi à l'Hôtel Royale [...] si tu es occupée viens me chercher au Coupole le soir. Tout est arrangé avec Liege pour nous recevoir ! J'espère que la pièce mérite notre déplacement. Love. Larry". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎DURRELL Lawrence‎

‎Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun : "L'oreiller militaire français"‎

‎- Sommières 14-09-1971, 10,5x14,5cm, une carte postale et enveloppe. - Carte postale autographe signée "L.D." de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre rouge, au verso d'une reproduction d'affichette Mystification imaginée par Jacques Yonnet "Pour nos Hôpitaux, Ambulances, Trains sanitaires, demandez l'Oreiller Militaire Français qui procure le plus doux des soulagements. [...]", publicité extraite d'un journal scotchée "en direct avec une glande virile...", enveloppe jointe. L'écrivain organise un voyage avec sa jeune amante montpelliéraine : "Buttons. je ne vous crois pas ! je suis ici pour 15 jours encore - puis Genève pour une semaine". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎DURRELL Lawrence‎

‎Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun : "D'avoir soixante ans et d'être aimé (très mal d'ailleurs) par les vampires"‎

‎- Sommières 20-04-1971, 10,5x14,5cm, une carte postale et enveloppe. - Carte postale autographe de Lawrence Durrell signée "Dracula" adressée à Jani Brun, rédigée à l'encre bleue, reproduction d'un dessin de Marcel Vaysse "Ils sortent...tous les soirs", enveloppe jointe. L'écrivain nargue avec humour sa jeune amante montpelliéraine : "Darling Janie - maintenant qu'il fait beau la saison est ouverte et malgré mon age je reçois pas mal des invitations; souvent les filles de dix ans m'envoient des propositions inscrites par télégramme. J'estime que le rôle de papa gâteux me va bien ("le gâtisme c'est le relachment des sphinctères" (Dictionnaire medicale - Pujot)". Je vais en Grèce avec, une, 2, 3, 4 fille(s) plus fidé(?) que vous pour faire des reportages appellation contrôlée. D'avoir soixante ans et d'être aimé (très mal d'ailleurs) par les vampires - n'est pas que c'est splendide ? Dracula" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎DURRELL Lawrence‎

‎Carte postale autographe de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun : "Buttons. Je ne vous crois pas !"‎

‎- Sommières 12-02-1971, 10,5x14,5cm, une carte postale et enveloppe. - Carte postale autographe de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre rouge, au verso d'une reproduction d'affichette Mystification imaginée par Jacques Yonnet "... Maintenez la tête hors de l'eau - L'immersion prolongée du nez et de la bouche peut provoquer une asphyxie mortelle", coupure de presse scotchée "en direct avec une glande virile...", enveloppe jointe. L'écrivain renseigne sa jeune amante montpelliéraine sur ses prochains déplacements : "Buttons. Je ne vous crois pas ! je suis ici pour 15 jours encore - puis Genève pour une semaine". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎DURRELL Lawrence‎

‎Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun : "Tout le monde chez Bernard Stone demande de vos nouvelles"‎

‎- London 29-11-1980, 10,2x15,3cm, une carte postale. - Carte postale autographe signée "Larry" de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée aux feutres rouge et noir, au verso d'une reproduction d'une liste rose parisienne. L'écrivain, nostagique, donne des nouvelles depuis Londres alors qu'il s'apprête à signer son dernier livre chez le libraire londonien Bernard Stone. Sa librairie était connue et désignée par le poète Michael Horowitz comme "the merriest backwater of that time" : "Tout le monde chez Bernard Stone demande de vos nouvelles : ils me prient de te rappeler le changement d'adresse. Il est à Covent Garden maintenant. C'est là que je signe ce soir. Nostalgie, grisailles, souvenirs". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎DURRELL Lawrence‎

‎Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun : "Pour notre dernier jour de tournage on va filmer Pharaon"‎

‎- Egypte [1971], 10,5x15cm, une carte postale. - Carte postale autographe signée "Larry" de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir, au verso d'une photo de bas-relief égyptien. L'écrivain à sa jeune amante montpelliéraine : "Pour notre dernier jour de tournage on va filmer Pharaon en train de recevoir le Prix Bonbel pour son roman sur la vie privée d'un crocodile nilotique : "Le croc". Puis il faut rentrer pour quelques semaines à Londres. j'espère que tout va bien, dear Buttons.". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎DURRELL Lawrence‎

‎Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun : "L'amérique est plein de fric, de frustrées et d'ennui."‎

‎- Malibu s. d., 10,5x15cm, une carte postale. - Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir, au verso d'une photo d'une plage de Malibu. "Buttons hola ! L'amérique est plein de fric, de frustrées et d'ennui. Pourtant on est très bien traités et je joue un peu le rôle de Scott Fitzgerald à Malibu.". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

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