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‎Justice‎
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‎CHALMET Vérone‎

‎Violette Nozières, la fille aux poisons‎

‎Flammarion 2004. In-8 broché de 254 pages. Très bon état‎

MareMagnum

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Rodez, FR
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‎OLIVIER Gabriel‎

‎L'affaire du courrier de Lyon‎

‎Arthaud 1966. In-8 broché de 314 pages. Parfait état‎

MareMagnum

Artgil
Rodez, FR
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€8.00 Buy

‎GILS Félix‎

‎Désaltérées par l'unique Esprit‎

‎Editions Saint Paul 1982. In-8 broché de 222 pages. Parfait état‎

MareMagnum

Artgil
Rodez, FR
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‎SAUREL Louis‎

‎Dossiers de l'Histoire. Le Procès de Nuremberg‎

‎Paris, Rouff, 1965. In-12 broché de 188 pages. Photos hors-Texte. Bon état‎

MareMagnum

Artgil
Rodez, FR
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‎CRUVELLIER Thierry‎

‎Le maître des aveux‎

‎Paris, Gallimard, 2011. In-8 broché de 370 pages. Bandeau conservé. Très bon état‎

MareMagnum

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‎COLLECTIF‎

‎Le procès Régis Debray‎

‎Maspéro, 1968. In-12 broché, couverture à rabats de 129 pages. Collection Cahiers libres 111. Rares passages discrètement soulignés au crayon de papier sinon bon état‎

MareMagnum

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‎RAICH AGOSTINO‎

‎LA QUESTIONE GALILEIANA - RISOLTA - 1945‎

‎In 8o, pp. 53, br. Linea Recta Brevissima. Ristampa. Firma etichetta e timbro di proprieta. Ottimo (272/ PROCESSO - GALILEO GALILEI)‎

‎REULLIER (Paul)‎

‎LE PROCÈS DE LALLY-TOLLENDAL, discours prononcé à l’ouverture de la conférence des Avocats le 25 novembre 1889‎

‎br., (couv. lég. jaunie)‎

‎BRAUN (Thomas)‎

‎MIROIR DE JUSTICE 1913 - 1938‎

‎br., non rogné, (couv. lég. jaunie)‎

‎[Procès], Cassation‎

‎EXTRAIT DE PIÈCES SERVANT DE MÉMOIRE À CONSULTER ; POUR Félix TOURANGIN, Négociant à Bourges ; CONTRE Jean-Marie CHARRET, Médecin - délibéré à Paris, le 10 novembre 1812‎

‎br., (couv. manquante, acidification du papier sur les premiers f.) Délibération du procès en cassation par les avocats Dupin, Delacroix Frainville, Hemery, Pardessus et Guichard qui soulève le cas de l’application de l’art. 1350 et S. du Code Napoléon.‎

‎SAINT PIERRE (Michel de)‎

‎PLAIDOYER POUR L’AMNISTIE‎

‎br., bon état‎

‎EXPILLY (Claude)‎

‎PLAIDOYEZ DE MRE. CLAUDE EXPILLY, CHEVALIER, CONSEILLER DU ROY EN SON CONSEIL D’ÉSTAT, & PRÉSIDENT AU PARLEMENT DE GRENOBLE : ENSEMBLE PLUSIEURS ARRÊTS & RÉGLEMENTS NOTABLES DUDIT PARLEMENT. Revue, corrigé & augmenté, outre les précédentes impressions, de plusieurs passages & allégations, plusieurs chapitres transposés remis en leur place sur les mémoires de l’Autheur ; le tout remis en meilleure forme (…)‎

‎basane brune, dos à nerfs orné, titre doré au dos, tr. jaspées, p. de tit. rouge et noire, vignettes et lettrines, ex-libris ancien, (plats frottés, petite coupure sur le premier plat, ors passés, coiffe inf. un peu courte dégageant la tranchefile, petit accroc à un mors inf., coins et coupes élimés avec manques, qq. rousseurs et lég. acidification, petite rognure en marge extérieure des 4 premiers f.) Dupin (n° 1381) donne les informations suivantes :"E. fut d’abord avocat au parlement de Grenoble, ensuite avocat général et l’un des présidents du même parlement ; après cela premier président du sénat de Chambéry. Il mourut en 1636". Dans cette dernière édition publiée de son vivant figure un curieux "avertissement au lecteur" dans lequel il accuse de contrefaçon la Rocheflavin dont le célèbre ouvrage "les treize livres du parlement de France" aurait largement reproduit son recueil. Il est vrai que celui-ci est d’une particulière qualité dans la mesure où il contient un recueil très substantiel d’arrêts bien expliqués (dans les arrêts remarquables on citera ceux sur les libertés de la ville de Grenoble, sur des questions d’avortement, sur le fait qu’un "condamné aux galères ne purge l’accusation par la torture soutenue…"). Mais il faut également souligner l’important recueil de plaidoyers (sur la présentation des docteurs ès droit pour être reçus en parlement, si la mort civile par la condamnation aux galères a pareil effet que la mort naturelle, sur un trésor trouvé, si le contrat de maintenance d’une horloge est rendu caduc par le fait que l’horloge a été cassée et rompue "par le désordre des guerres", si les gageurs sont valables…). Dernière édition.‎

‎[MIHURA (Jules]‎

‎IN MEMORIAM. JULES MIHURA 1883 - 1961‎

‎br., bon état‎

‎DREYFUS (Robert)‎

‎MONSIEUR THIERS CONTRE L’EMPIRE, LA GUERRE, LA COMMUNE. 1869 - 1871‎

‎br., (lég. fané)‎

‎BARTHOU (Louis)‎

‎LE POLITIQUE, coll. Les caractères de ce temps‎

‎br. sous jaquette, (fané, dos manquant)‎

‎JULIEN (Mgr. Eugène-Louis)‎

‎LE PRÊTRE, coll. Les caractères de ce temps‎

‎br., (défraîchi)‎

‎PASQUIER (M. LE BARON)‎

‎DISCOURS DE M. LE BARON PASQUIER, prononcé en comité secret de la Chambre des Députés, le 3 mai 1820 ; sur la proposition d’une adresse au Roi, faite par M. MANUEL‎

‎ff. non cousus, non massicoté, (rares rousseurs), bon état‎

‎PASQUIER (M. LE BARON)‎

‎DISCOURS DE M. LE BARON PASQUIER, sur le projet de Loi relatif à la suspension de la Liberté individuelle ; prononcé dans la séance du 8 mars 1820, extrait du Moniteur du 10 mars 1820‎

‎ff. reliés par fils, non massicoté, int. frais, (très rares rousseurs)‎

‎PASQUIER (M. LE BARON)‎

‎DISCOURS DE M. LE BARON PASQUIER, sur le projet de Loi relatif aux Élections ; prononcé dans la séance du 18 mai 1820, extrait du Moniteur du 19 mai 1820‎

‎ff. non reliés, non massicoté, int. frais, (très rares piqûres), bon état‎

‎SERRE (de)‎

‎DISCOURS DE M. DE SERRE, prononcé dans la séance du 6 juin, sur la Proposition de M. CAMILLE JORDAN, tendant à ajourner la Discussion du projet de Loi sur les Élections, à l’occasion des désordres qui ont eu lieu à Paris le 5 juin, extrait du Moniteur du 7 juin 1820‎

‎ff. non reliés, non massicoté, int. frais, bon état‎

‎CORMENIN (Louis de)‎

‎LETTRE DE M. DE CORMENIN À M. PASQUIER, ext. de La nouvelle Minerve (8ème livraison)‎

‎ff. reliés par fils, (fané, qq. rousseurs) Plaidoyer pour la réhabilitation du “Jury et de la liberté” suite à la charte de 1830 abrogeant implicitement la loi du 25 mars 1822.‎

‎SCIZE (Pierre) [PIOT (Michel-Joseph)]‎

‎AU GRAND JOUR DES ASSISES, Yvonne Chevallier, Pauline Dubuisson, Marie Besnard et Gaston Dominici‎

‎br., (ptt. déchirure au bas du dos, lég. fanée), intérieur très frais‎

‎BOUCHARDON (Pierre)‎

‎LA TUERIE DU PONT D’ANDERT (1838), 5ème éd., Nouvelle Coll. Historique Énigmes et Drames judiciaires d’autrefois ; en fin de vol. Lettre autographe de Peytel adressée à M. ROUX, Juge à Belley‎

‎br., non massicoté, (fragile), intérieur très frais‎

‎CORMENIN dit TIMON (Louis, baron de)‎

‎ŒUVRES DE CORMENIN : LIVRE DES ORATEURS, 18ème éd. augmentée de portraits inédits (t. I et II) ; manque appendice au t. I (p. 369 à 409) ; manque t. III Pamphlets anciens et nouveaux‎

‎br., non massicoté, portrait hors-texte de l’auteur, (couv. et dos défraichis, mq. 2ème de couv., qq. mouillures au t. I, taches et mouillures importantes au t. II), ouvrage de travail Le Baron de Cormenin, célèbre pour ses ouvrages de droit administratif qui en font un des fondateurs de la matière, était également un redoutable pamphlétaire sous le nom de Timon, doté d’une plume étincelante. Le présent exemplaire constitue l’édition définitive d’un de ses ouvrages les plus connus consacré à l’art oratoire et, spécialement à l’art oratoire parlementaire. Il débute par un traité de l’éloquence parlementaire, puis dans les autres genres (éloquence de la presse, didactique du pamphlet, éloquence du Barreau et du Parquet) parmi lesquels il faut particulièrement relever un chapitre que l’on ne retrouve dans aucun autre traité d’art oratoire : de l’Éloquence Délibérative du Conseil d’État du Premier Empire (dont l’auteur a fait partie). La suite de l’ouvrage est constituée d’une série de portraits des parlementaires les plus en vogue pendant la première partie du XIXème siècle (Benjamin Constant, Royer-Collard, Villêle, Ledru-Rollin, Lafayette, Odilon-Barrot, Arago, Lamartine, Thiers etc.). On y trouve en outre un certain nombre de petits pamphlets qui n’avaient pas été réédités jusqu’alors parmi lesquels on notera tout particulièrement “Statut du Nouvel Ordre Égalitaire” qui est une parodie de la doctrine fourriériste.‎

‎GUYOT (Yves)‎

‎LA RÉVISION DU PROCÈS DREYFUS, Faits et Documents juridiques‎

‎débr., non massicoté, (couv. tachée avec accrocs et mq au dos, papier friable), intérieur très frais‎

‎[LE BRETON (Alexandre-André)]‎

‎PIÈCES ORIGINALES ET PROCÉDURES DU PROCÈS Fait à Robert-François DAMIENS, tant en la Prévôté de l’Hôtel, qu’en la Cour de Parlement‎

‎pl. veau fauve, tit. et tom. sur pc. de maroquin bordeaux sur dos à 5 nerfs ornés de très fins motifs floraux, dentelles et filets encadrants dorés, tr. rouges, roulette dorée sur les coupes, ex-libris manuscrit en garde, (fortes épidermures, 2 coiffes de tête et 2 de queue accidentées, 4 pc. de tom. manquantes, coupes et coins émoussés avec mq. aux coins, tranche latérale du t. II tachée, mors fendillés aux t. II et III, en marge inf. tache de cire à la p. 45 du t. IV), intérieur assez frais excepté pour le t. II avec piqûres et mouillures claires marginales Ouvrage de premier ordre constitué des minutes du procès de Damiens, qui marque, par la précision des descriptions et l’horreur de la situation, un tournant décisif pour le droit pénal et l’application des peines. Il s’agit du dernier écartelé de France. Ouvrage de référence bien complet de la table publiée séparément et placée en tête du premier volume pour cette édition strictement conforme à l’édition au format in-4° de la même année.‎

‎ISORNI (Jacques)‎

‎C’EST UN PÉCHÉ DE LA FRANCE‎

‎br., non massicoté, bon état‎

‎DELAMALLE (Gaspard Gilbert)‎

‎ESSAI D’INSTITUTIONS ORATOIRES À L’USAGE DE CEUX QUI SE DESTINENT AU BARREAU, 2ème éd. Revue et corrigée, et augmentée du Discours sur le genre d’éloquence et les qualités morales de l’orateur du barreau et de l’orateur de la tribune, qui a remporté le prix de l’Académie française en 1820, et de la Notice sur Gerbier, insérée dans la Biographie universelle, etc.‎

‎demi-veau brun, tit. doré sur dos à 4 nerfs, orné de frises et filets dorés et de fleurons à froid, (mors fendus, coiffes partiellement arrachée sur 2 cm., ors passés)‎

‎SOUBEYRAN‎

‎À JUGER, POUR le Sieur Raymond-Bernard d’Ayral, Prêtre, habitant du lieu de St Nicolas de la Grave, Appellan & Supplian ; CONTRE M. L’Archevêque de Toulouse, prenan, en qualité d’Abbé de Moissac, la Cause de son Procureur-Juridictionnel en la Justice de St Nicolas de la Grave, Intimé victime de vexations‎

‎fascicules cousus sans couv. [provenant d’un ouvrage délité], (rares rousseurs)‎

‎HERVIEU (Louise-Françoise)‎

‎JE SORS DE LEURS PRISONS, coll. “Le poids du jour”‎

‎br., non rogné, bon état‎

‎POUEY (Fernand)‎

‎L’AUDIENCE EST OUVERTE‎

‎br., non rogné, (couv. lég. fanée), intérieur frais‎

‎LE CORBEILLER (Armand)‎

‎LE LONG MARTYRE DE FRANÇOISE SALMON, Nouvelle Coll. Historique Énigmes et Drames judiciaires d’autrefois‎

‎br., non rogné, un portrait hors texte, (couv. fanée), intérieur frais Une réinterprétation moderne de cette “Cause célèbre” qui débuta en 1780.‎

‎[Procès]‎

‎AVEUX SANS DROGUE, LE PROCÈS DE "L’INTERNATIONALE DES TRAÎTRES"‎

‎br., (couv. lég. fanée), bon état Compte-rendu - partial - d’un procès en diffamation à propos du livre de R. de Jouvenel, L’internationale des traîtres, qui dénonçait la loi américaine qui a coûté 100 millions de dlrs. de crédit à l’organisation de l’espionnage et du sabotage en URSS et dans les démocraties populaires. Ce rare fascicule reproduit de manière partielle les débats judiciaires qui eurent lieu à cette occasion. Rare.‎

‎PATRU (Olivier)‎

‎ŒUVRES DIVERSES DE MR. PATRU DE L’ACADÉMIE FRANÇOISE. CONTENANT SES PLAIDOYERS, HARANGUES, LETTRES, & VIES DE QUELQUES-UNS DE SES AMIS, 4ème éd. considérablement augmentée‎

‎basane brune, tit. doré sur pc. bordeaux, dos à 5 nerfs orné de fleurons, dentelles et filets dorés, double filets sur les coupes, (coiffes émoussés, plats et dos frottés avec qq. épidermures, coins et coupes émoussés avec des mq.) Patru demeure célèbre comme le premier avocat reçu à l’Académie française, en 1640 et un des fondateurs de l’éloquence classique française, très proche de Vaugelas qui souligna à maintes reprises la qualité de cet auteur. De fait. les plaidoyers et factums présentés sont très représentatifs de ce grand style classique. Il faut par ailleurs souligner que Patru fut au XVIIème siècle un des avocats privilégiés de la noblesse, plaidant pour le duc de Rohan, le duc de la Trémoille, le prince de Conti ou encore dans des causes favorables à l’autorité ou aux prérogatives royales (v. en particulier le plaidoyer pour l’université de Paris). 0n notera un amusant plan d’une partie de la ville de Clamart pour tenter de débrouiller une affaire d’héritage (t. I, P. 187).‎

‎LE MAISTRE (Antoine)‎

‎LES PLAIDOYEZ ET HARANGUES DE MONSIEUR LE MAISTRE, CY-DEVANT ADVOCAT AU PARLEMENT, ET CONSEILLER DU ROY EN SES CONSEILS D’ESTAT & PRIVÉ, donnez au public par M. Jean Issali, Advocat au Parlement, 3ème éd.‎

‎pl. veau brun moucheté de l’époque, dos à nerfs orné de délicates dentelles dorées, tit. doré sur p. de tit. rouge et noire, bandeaux et lettrines, (frottements, éraflures et petites coupures sur les plats, manque à un coin et une coupe, accident à la coiffe de tête, petit trou au dos et coiffe de pied trop courte, accroc à la coiffe de tête, gardes défraîchies, mouillures claires) Il ne faut pas confondre les deux Le Maistre juristes : Gilles Le Maistre fut président du Parlement de Paris à la fin du XVIème siècle alors que celui-ci, Antoine fut avocat au parlement et conseiller au Conseil d’État du Roi. Ses plaidoyers eurent un grand écho au point qu’on les republia encore au XIXème siècle. Ils constituent un bon tableau de la France de la première moitié du XVIIème siècle : plaidoyer pour une fille déshéritée par son père ; pour un fils mis en religion de force, pour l’éducation d’une petite fille du fait d’une séparation de biens ; contre une violence exercée durant la guerre civile ; pour l’exécution du traité de paix entre la France et l’Angleterre. Certains de ces plaidoyers présentent en outre des aspects théoriques tout à fait intéressants, V. tout spécialement le plaidoyer 12 pour montrer que dans le silence d’une coutume on doit plutôt suivre le droit romain que la coutume de Paris (contre l’opinion professée par Dumoulin), le plaidoyer sur l’application du traité entre la France et l’Angleterre qui pose la question de l’application entre particuliers d’un traité entre deux couronnes.‎

‎PRIEUR (Léon)‎

‎LA HAUTE-COUR, Impressions d’un Français, Préface de François Coppée, Croquis de Éd. Brunet‎

‎br. non rogné, nombreux croquis, gravures, reproductions et croquis, (dos très fragile, couv. fanée), intérieur assez frais Il s’agit d’une des six affaires emblématiques de la IIIème République avec le procès très connu de MM. Paul Déroulède (fondateur de la Ligue des patriotes), le royaliste André Buffet et Jules Guérin (président de la Ligue antisémite) accusés de complot contre l’état. On découvre à un Sénat, constitué pour l’occasion en cours de justice, littéralement tumultueux.‎

‎MONTGAILLARD (Jean-Gabriel-Maurice Rocques)‎

‎MÉMOIRE CONCERNANT LA TRAHISON DE PICHEGRU, DANS LES ANNÉES 3, 4 ET 5, Rédigé en l’an 6 par M. R. de Montgaillard, Et dont l’Original se trouve aux Archives du Gouvernement ; PICHEGRU ET MOREAU‎

‎br. d’attente, non rogné, (couv. fanée, dos lég. abîmé avec qq. mq., qq. rousseurs) « Je n’ai jamais été, je ne serai jamais le partisan ou le stipendiaire des ennemis de ma patrie ; je suis Français, et je m’honore de l’être : tous mes vœux ont été pour la gloire, pour la prospérité de la France ; toute ma haine a été vouée à ce cabinet qui trafique depuis huit ans des malheurs de l’Europe, à ce cabinet instigateur de tant de troubles et machinateur de tant de crimes ; et si j’ai approché les princes français dans l’intention et l’espérance de servir ma patrie, je me suis éloigné d’eux, plein de ce mépris qu’inspireront toujours des hommes qui comptent sur les droits de leur naissance, et non pas sur leur courage ou sur leurs qualités personnelles, pour rentrer dans un empire dont leurs courtisans et leurs flatteurs dévoreraient bientôt la substance et perpétueraient les désastres. La vérité m’obligera à dire ce que la modération de mon esprit me porterait à taire ; je ne puis ni ne veux rien celer. Qu’on blâme cet écrit, ou qu’on l’approuve, j’aurai rempli mon devoir ; j’aurai laissé à ma patrie un gage de mon amour pour elle ; et ces lignes, j’ose du moins l’espérer, défendront ma mémoire contre les atteintes de la calomnie ou de la haine. »‎

‎BARROT (Odilon)‎

‎MÉMOIRES POSTHUMES DE ODILON BARROT, t. I & t. IV : 2e éd. ; t. II & t. III : 1re éd. [complet]‎

‎br., non massicoté et partiellement non coupé, tome IV imprimé sur papier vergé, (t. I et II débrochés, accroc avec ptt. mq. à la couv. du t. IV), int. frais Rare exemplaire de cette source essentielle sur la vie politique entre la Restauration et 1852. Elles ont été établies de manière posthume par son fils, R. Barrot et certains auteurs pensent qu’elles ont été quelque peu expurgées.‎

‎VOGÜÉ (Pierre de)‎

‎LES MORTS QUI PARLENT, 26ème éd., coll. Scènes de la vie parlementaire‎

‎débr., (accrocs, fragile, papier jauni)‎

‎Jean-Baptiste LOUIS‎

‎MÉMOIRES D’UN AVOCAT AU COEUR DES RÉVOLUTIONS 1789 - 1830 Édition établie et annotée par Geoffroy Caillet Rédacteur en chef du Figaro histoire Présentation par Yves Ozanam Archiviste de l’ordre des avocats au barreau de Paris Cahier iconographique de 12 planches hors texte‎

‎broché, cousu par cahier de 16 p., label « Imprim’vert® », emballé sous film transparent Comment devient-on « Procureur au parlement de Paris » dans la société bloquée de la fin du XVIIIe siècle, lorsque l’on est issu de la toute petite bourgeoisie ? Comment peut-on demeurer royaliste lorsque l’on n’a même pas 30 ans au moment de la prise de la Bastille ? Comment peut-on accepter de devenir fermier à Issy les Moulineaux pour échapper à la Terreur et pour survivre à la disparition de la Justice de l’Ancien Régime? Et comment, la Révolution s’éloignant, passe-t-on de ce début de carrière chaotique à la fonction prestigieuse de Bâtonnier des avocats du Barreau de Paris ? C’est à toutes ces questions que Jean Baptiste Louis répond, dans ces Mémoires inédits demeurés entre les mains de la famille depuis près de deux siècles. Ce témoignage important et rare, apporte des informations majeures sur le fonctionnement de la « basoche » sous l’Ancien Régime et la Révolution, sur le fonctionnement du barreau, et la condition des gens de loi dans ces époques d’incertitudes. Mais c’est aussi l’histoire d’un homme depuis le commencement de ses études jusqu’à l’accès à la notabilité qui nous est donnée à lire. D’un jeune homme fasciné par les jeunes nobles qui entrent dans la carrière judiciaire, qui voit naître, terrifié, un de ses enfants pendant les journées de septembre 1792, dont le sang se glace lorsqu’il se remémore, avec son style précis et alerte, l’interrogatoire qu’il a subi au Tribunal révolutionnaire. Mais aussi de l’homme plus âgé que son légitimisme oppose aux ambitieux Orléanistes : Dupin qui lui succède au bâtonnat, la duchesse douairière qui veut le forcer à vendre sa chère « campagne ». Nous traversons ainsi au travers de ce document exceptionnel cinquante années de déconstruction d’un ordre ancien et d’émergence de la grande bourgeoisie plus industrielle qu’intellectuelle au prisme de ce royaliste de toujours qui déplore ces changements mais y participe, et qui nous narre, chemin faisant, ses succès et ses échecs, ses peurs et ses joies et nous fournit en passant des informations de tout premier ordre sur la vie judiciaire de l’époque. Il offre au spécialiste des informations inédites mais permet aussi à un public plus large de découvrir les ressorts de ce monde en révolution, qui par certains aspects n’est pas loin de rappeler notre époque.‎

‎DUPIN (André Marie Jean Jacques)‎

‎MÉMOIRES DE M. DUPIN. T. 1 : Souvenir du Barreau (sur 4 au total)‎

‎br., (fané, broch. fragile)‎

‎GREILSAMER (Laurent) et SCHNEIDERMANN (Daniel)‎

‎LES JUGES PARLENT‎

‎br., (dos lég. décollé), bon état‎

‎[Procès]‎

‎AVEUX SANS DROGUE, LE PROCÈS DE "L’INTERNATIONALE DES TRAÎTRES"‎

‎br., (couv. lég. fanée, un accroc au dos), bon état, [exemplaire de la bibliothèque de André Toulemon] Compte-rendu - partial - d’un procès en diffamation à propos du livre de R. de Jouvenel, L’internationale des traîtres, qui dénonçait la loi américaine qui a coûté 100 millions de dlrs. de crédit à l’organisation de l’espionnage et du sabotage en URSS et dans les démocraties populaires. Ce rare fascicule reproduit de manière partielle les débats judiciaires qui eurent lieu à cette occasion. Rare.‎

‎PINARD (Oscar)‎

‎LE BARREAU AU XIXe SIÈCLE, t. II, coll. d’Auteurs Contemporains‎

‎br. non rogné, (couv. fanée) Cet ouvrage parmi les plus connus sur la profession d’avocat au XIXème siècle contient trois parties, une première qui est une réflexion générale sur la profession d’avocat (absente dans notre exemplaire), une deuxième, la plus importante, qui est une série de portraits des principaux avocats du XIXème siècle et la troisième consacrée à des mélanges qui constitue une série de portraits du président de Brosse, du chancelier d’Aguesseau, etc.‎

‎[Procès]‎

‎AVEUX SANS DROGUE, LE PROCÈS DE "L’INTERNATIONALE DES TRAÎTRES"‎

‎br., bon état Compte-rendu - partial - d’un procès en diffamation à propos du livre de R. de Jouvenel, L’internationale des traîtres, qui dénonçait la loi américaine qui a coûté 100 millions de dlrs. de crédit à l’organisation de l’espionnage et du sabotage en URSS et dans les démocraties populaires. Ce rare fascicule reproduit de manière partielle les débats judiciaires qui eurent lieu à cette occasion. Rare.‎

‎Collectif‎

‎JUSTICE ET PROCÈS CRIMINELS : Sur le Père Teilhard de Chardin. Études sur Pavlov. Actualité du Nationalisme. Pour et contre le Jansénisme, coll. Recherches et débats du Centre catholique des intellectuels français, cahier n° 13‎

‎br., bon état‎

‎BAUDELOT (Bernard)‎

‎Discours prononcés à la séance solennelle de rentrée de la Conférence des avocats à la Cour de Paris le 3 décembre 1971 et aux cérémonie du souvenir le 12 novembre 1971‎

‎br., bon état, ENVOI‎

‎CHRESTEIL (Georges)‎

‎Discours prononcé à la Conférence des avocats à la Cour d’appel de Paris le 6 décembre 1952‎

‎br., (lég. fané), ENVOI À J. SAUERWEIN‎

‎LASSERRE (Bernard)‎

‎Discours prononcés à la séance solennelle de rentrée de la Conférence des avocats à la Cour de Paris le 10 janvier 1975 et à la Cérémonie du souvenir le 12 novembre 1974‎

‎br., bon état, ENVOI‎

‎LECOURT (Olivier)‎

‎Discours prononcé à la séance solennelle de rentrée de la Conférence des avocats à la Cour de Paris le 30 novembre 1973‎

‎br., bon état‎

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